Réflexo & fin de vie

Coeur du projet ô les pieds faire du bien !

La fin de vie, c’est préparer les adieux avec le monde connu d’ici et se rendre disponible pour l’inconnu.

Notre vie ici n’est qu’un passage, jusqu’au jour où nous aurons le passage à faire…

«La vie est envoi en mission,
et la mort, le retour.»

Huainan Zi, chapitre 7
J’interviens en soins palliatifs avec Dominique, infirmière et réflexologue suisse formée en énergétique chinoise, à l’hôpital de notre petite ville. Nous consacrons environ 30 minutes par patient, et pratiquons soit de la réflexologie plantaire, soit palmaire, soit les deux. Dans les états assez avancés, je privilégie la palmaire, car, si la plantaire agit plus particulièrement sur le physique, la palmaire met l’accent sur l’échange. La main est « le prolongement du cœur », et dans ces moments particuliers, lorsque le corps lâche, il reste encore le cœur, le souffle vital, la « Conscience ». Non pas la « conscience » de l’état éveillé, mais la « Conscience » du Shen, de l’Esprit de Vie, qui œuvre même lorsque nous sommes en dormance…
Le Cœur est le réceptacle de la conscience, et la main en est le prolongement…

Dans ce moment particulier, l’accompagnement réflexologique consiste à apaiser les événements du passé, les choses réussies et moins réussies, les succès et les regrets… par l’expression qui reste encore possible, que ce soit par la mise en mots, ou en regard, ou même simplement en énergie… Processus similaire pour les membres de la famille, qui sont, la plupart du temps, favorables à un temps réflexologique également pour eux. Ils apprécient recevoir, dans cette situation qui ne peut que toucher l’identité profonde, cette écoute accompagnée d’un toucher réflexe. Les séances ne durent parfois que 10 minutes, mais sont d’une grande intensité et mobilisent notre humanité, ce que nous sommes en dehors de notre physicalité et temporalité. Quelle richesse de rencontres, grâce à la réflexologie exercée selon la tradition chinoise.

Mireille

Accompagnement de la douleur

Réflexologie olp accompagne la douleur

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

L’accompagnement de la douleur constitue l’un des motifs de consultation très fréquents en réflexologie.
Douleur aigüe ou chronique, ancienne ou récente, fixe ou changeante, suite à un accident ou survenue ‘sans raison apparente’.
Chaque histoire de douleur est particulière, souvent teintée d’affects.
La douleur est une alerte. Une alerte de lésion potentielle, parfois une douleur ‘psychologique’ consciente ou non.

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

Quoi qu’en soient sa typologie et son origine, elle est là, modulable par le filtre de notre cerveau via l’amygdale.
La réflexologie permet un équilibrage neuro-endocrinien qui donne à la personne en souffrance les capacités à la métaboliser.
Le réflexologue a ainsi au travers de son accompagnement les capacités d’apporter de l’aide.
Il est souvent amené à accompagner des personnes face à leur(s) douleur(s), à la prendre en charge.
Il le fait parfois en dernier ressort lorsque les antalgiques, même puissants, restent sans effet.

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

Au niveau tissulaire, le stress crée comme un enroulement des fascias qui entraine une mauvaise circulation capillaire et veineuse.
Le stress entraîne une plus faible oxygénation, intoxication des tissus par mauvaise évacuation des déchets métaboliques.
La malnutrition des tissus se met ainsi en place et, ceci dans les zones locales comme dans les zones réflexes (chaîne réflexe).
Les voyants d’alertes sont alors au rouge…

Pour qu’un résultat se manifeste rapidement et durablement, il est efficace de travailler les points réflexes très en profondeur.
Parfois même dans des zones réflexes non plantaires.

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

Evaluer la douleur, prendre des repères adaptés, écouter et accueillir l’histoire et les émotions qui émergent sont des étapes importantes.
La pratique de la réflexologie plantaire apporte bien souvent une amélioration.
En particulier lorsqu’il s’agit de douleur aigüe.
Alors, connaître et maîtriser cette technique réflexe d’une grande précision peut inhiber la nociception ou sa mémoire.
En quelques secondes parfois ce qui est bien utile.
Les apports de la réflexologie sont très riches et complémentaires.
ll est fréquent que je les combine avec des fleurs de bach et des huiles essentielles.
Lorsque paraît un blocage, l’apport de ces soutiens donne souvent un meilleur résultat : l’information ‘passe’ mieux.

Le rôle de la respiration pour cet accompagnement de la douleur est lui aussi très important.
Celle du praticien et celle de la personne en souffrance.
Il convient donc de s’apprivoiser, se laisser guider.
Et lorsque nécessaire, soutenir le travail de soin, le décupler pour avancer ensemble.

Comment l’accompagnement de la douleur peut-être vu autrement ?

https://www.recherche-reflexologie.org/https-recherche-reflexologie.jimdo.com-2016-10-31-r%C3%A9flexologie-plantaire-apr%C3%A8s-c%C3%A9sarienne/

Réflexologie & burn-out

Prévention avec Olp

Réflexologie & burn-out ou plus exactement : Comment éviter le burn-out lorsque ce trouble psychologique se profile à l’horizon ?
Que signifie vraiment le mot burn-out, et comment l’accompagner ?
De quelle manière la réflexologie peut-elle être une solution efficace pour éviter de sombrer ?

Burn out, kezako ?


L’OMS décrit le burn-out comme un “syndrome résultant d’un stress chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès”.
En tout état de cause, il s’agit d’un état d’épuisement mental, émotionnel, et finalement physique, du à des tensions répétées auxquelles la personne ne peut plus faire face.

3 stades du burn-out :

Le stress aigu, que l’on appelle aussi “phase d’alarme”. A ce moment de la crise, le corps réagit comme en cas d’urgence avec toute la cohorte de réactions biologiques et physiologiques qui s’imposent (augmentation du rythme cardiaque, de la fréquence respiratoire, de la glycémie, du tonus musculaire etc.)
Le stress chronique ou “phase de résistance”. Les situations stressantes sont permanentes, le corps et le mental sont en alerte continue.
Le “burn-in”, puis finalement le “burn-out”, autrement appelés “phase d’épuisement”. On brule ses dernières cartouches. On a conscience d’être en surrégime mais on n’arrive pas à stopper l’emballement. Puis un jour, tout s’arrête brutalement, le moteur cale.

Burn out & réflexologie
Sur le plan physique, la séance va permettre de réduire les taux d’ACTH, adrénaline, cortisol, ocytocine et vasopressine, autrement dit répondre au stress.

Lorsque l’on se trouve en phase 1 ou 2, la réflexologie va nous aider de 2 manières :
Sur le plan physique, la séance va permettre de réduire drastiquement et significativement les taux d’ACTH, adrénaline, cortisol, ocytocine et vasopressine, autrement dit la réponse au stress.
Une étude conduite par Bernard Payraud – cardiologue, Elisabeth Breton – réflexologue et Nathalie Tilly – professeur d’épidémiologie et santé publique, montre même qu’elle est plus efficace que le seul repos.
Sur le plan émotionnel, la verbalisation qui accompagne toute séance de réflexologie holistique, permettra de relativiser ce stress et de le mettre en perspective par rapport à la réalité des choses.
Autrement dit : je prends le temps de me poser (1 heure de séance offre une certaine amplitude).
Je réfléchis à la réalité des événements stressants, la pression professionnelle, la surcharge mentale liée aux tâches domestiques ou autre, méritent-elles que je me stresse autant ? Je lâche prise.
La réflexologie, en soulageant le corps, libère également l’esprit.
Les personnes qui consultent régulièrement un.e réflexologue savent mieux gérer les mécanismes du stress et le subissent moins sur le plan physique.
C’est donc doublement gagnant.

Délogé le burn in installé :

Ici encore, la réflexologie holistique (celle qui considère le corps et l’esprit comme intimement liés) traitera le problème sur 2 fronts :
Le physique : elle permettra de reconstituer les réserves, recharger l’énergie disparue. Elle favorisera un sommeil récupérateur. Elle permettra que vous vous reposiez vraiment et efficacement puisque c’est cela dont vous aurez besoin dans un premier temps. Tous vos organes auront été durement éprouvés, les séances de réflexologie aideront la réparation, la cicatrisation, la régénération, elle mobilisera les ressources d’auto-guérison du corps.
Le mental : sous l’effet de la détente, vous pourrez exprimer et évacuer les pensées parasites qui vous empêchent de reprendre confiance en vous. Séances après séances, vous vous sentirez apaisé et donc plus à même de reprendre une vie normale.
Finalement, vous retrouverez le goût et l’envie d’être actif. Comme cette nouvelle ardeur viendra de vous-même, vous vous sentirez valorisé et renouerez avec ce cercle vertueux qui utilise nos réussites pour nous pousser à l’action.

Il faut donc savoir identifier ce syndrome d’épuisement dès les signes avant-coureurs, et ne pas attendre qu’il s’installe.
Une étude de 2019 montre qu’1 Français sur 3 craint de faire un burn-out un jour.
Ce chiffre monterait à 50 % chez les cadres.
L’OMS le reconnait désormais comme une maladie.
Il y a donc urgence à trouver des solutions.
La réflexologie comme approche non médicamenteuse, aussi bien en prévention qu’en accompagnement, y a toute sa place.

Par Emmanuelle Cossu, réflexologue certifiée et validée du réseau Medoucine.

Prévention

Prévention avec Olp

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! D’où l’importance, l’urgence de la prévention !

La pandémie du coronavirus frappe le monde entier depuis plusieurs mois. Nos concitoyens attendent toujours un hypothétique vaccin, ignorant largement les nombreux remèdes naturels qui fortifient l’organisme contre les virus. Cette attitude trouve son explication dans le système de santé français, axé sur le traitement plutôt que sur la prévention.
Or à O Les Pieds, nous sommes convaincus qu’une bonne santé fait des économies avec la prévention !

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! La prévention est importante. La prévention est douce et facile avec le sport, l'alimentation, la réflexologie plantaire O Les Pieds ;-)


En France, les politiques de santé sont centrées sur le curatif et insuffisamment sur la prévention des risques. Ainsi, le budget alloué annuellement à la prévention reste très faible avec seulement 2 % des dépenses de santé. Dans le même temps, dans nos facultés de médecine, on apprend aux futurs praticiens à traiter une maladie et non à la prévenir.

Or une approche en amont permet de réduire les risques chez les individus et surtout de faire des économies au niveau de l’Etat. Ces économies pourraient être investies judicieusement dans nos hôpitaux en souffrance depuis plusieurs années.
Le système de santé français doit changer de paradigme pour adopter une politique de prévention dans une vision globale (comportements, hygiène, modes de vie, etc.). À ce titre, le développement des médecines alternatives constitue une formidable opportunité et certains Français l’ont très bien compris.


Ils misent désormais sur des thérapies comme l’homéopathie et la naturopathie qui fortifient nos défenses naturelles, la réflexologie ! En phytothérapie, par exemple, certaines plantes telles que l’échinacée renforcent l’action des globules blancs et leur pouvoir phagocytaire, tout en stimulant la production d’anticorps par les lymphocytes T. Il y a aussi les huiles essentielles réputées pour aider l’organisme à se défendre contre les agents infectieux pathogènes.

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! La prévention est importante. La prévention est douce et facile avec le sport, l'alimentation, la réflexologie plantaire O Les Pieds ;-)


L’Etat doit donner la liberté de choisir ses soins.


Les médecines alternatives ont l’avantage d’appréhender l’individu dans sa globalité. Elles promeuvent un mode de vie sain à travers notamment une hygiène de vie et une alimentation appropriées. Dans ce cadre, on évite les infections ou on tombe peu malade.
Et même si la maladie survenait, les défenses immunitaires déjà très solides permettront d’en venir à bout plus facilement.

Par conséquent, la prévention, qu’elle soit primaire (en amont de la maladie), secondaire (à un stade précoce de son évolution) ou tertiaire (sur les complications et les risques de récidive) obtient de meilleurs résultats que le traitement.
En plus de miser davantage sur la prévention, les autorités françaises devraient laisser aux citoyens la liberté de choisir leurs soins. Dans un article du quotidien L’Alsace, Gérard, un habitant de Morschwiller-le-Bas (Mulhouse), estime à juste titre qu’« il faudrait que chaque médecin puisse librement proposer ce qu’il pense être le plus adapté à son patient. Et il faudrait permettre à chaque citoyen de pouvoir choisir lui-même son mode de soin, quitte à lui faire signer un document qui engage sa responsabilité ».
Il faut sauver des vies dans l’urgence !


Cette liberté de choisir s’impose d’autant que les médecines alternatives ont largement fait leur preuve malgré les polémiques. Elles ont montré des résultats probants là où la médecine allopathique cherche toujours ses repères. Si certains ont le droit d’ignorer ces thérapies, d’autres ont également le droit d’y avoir accès si ces personnes y trouvent leur bien-être. D’ailleurs, le bon sens voudrait qu’on considère tout ce qui peut sauver des vies, surtout dans l’urgence comme c’est le cas avec le Covid-19. Au lieu d’attendre un hypothétique vaccin…

Propos tirés de l’article 28/05/2020 – Par SafeMed – Médecines intégratives

http://olespieds.fr/virginie/reflexologie/1439/des-etres-de-contact/

COVID19

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

| 06 avril 2020 | par Caducee.net | | Partager

illustration

COVID19 : coronavirus et cancer, quelles sont les précautions à prendre ?

En raison de la pandémie de COVID-19 qui sévit actuellement, la Ligue contre le Cancer a publié ses recommandations à destination des personnes atteintes de cancer et leurs proches. Puis-je continuer mes traitements anti-cancer ? Comment se protéger face au coronavirus ? Comment aider un proche malade ? Voici une synthèse des recommandations de la Ligue contre le Cancer proposée par le Dr André Philippe Davody.

COVID19 : Coronavirus : puis-je continuer mon traitement anti-cancer en centre de soins ?

Comme le souligne la Ligue, il ne faut pas interrompre sa chimiothérapie ou ses séances de radiothérapie si le traitement a déjà débuté. Certains traitements peuvent continuer à domicile de façon à réduire le nombre de sorties et de rendez-vous dans votre centre de soins. Si cela n’est pas possible, l’équipe soignante responsable de votre traitement fera le nécessaire pour vous transmettre une prescription de transport.

Concernant l’hormonothérapie, la décision de maintien ou d’arrêt du traitement sera aussi prise par votre médecin. Certains médicaments affaiblissent le système immunitaire. Par exemple, les patients traités pour un cancer de la prostate sous hormonothérapie longue peuvent se montrer plus fragiles face au COVID-19, en fonction du traitement et de son dosage. En cas de doute, parlez-en avec votre médecin habituel.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Ai-je plus de risques d’attraper le COVID19 si je suis un traitement anti-cancer ?

Les personnes atteintes d’un cancer subissent des traitements qui peuvent fragiliser le système immunitaire. De ce fait, elles deviennent plus fragiles face aux infections virales comme le COVID-19.

On estime que le risque de complications respiratoires est 4 à 5 fois plus élevé chez les malades porteurs d’un cancer. Leur développement est par ailleurs plus précipité, notamment lors de traitements récents, comme chez les patients ayant subi une chimiothérapie ou une chirurgie ces dernières semaines.

En cas d’infection au COVID-19, le traitement des personnes atteintes de cancer doit avoir lieu avec toutes les précautions nécessaires : isolement face aux autres patients, services dédiés, etc. Votre médecin peut aussi décider de suspendre votre traitement de façon provisoire. En cas de symptômes ou de contact avec une personne infectée, communiquez au plus vite cette information à votre équipe soignante habituelle.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : Actuellement en rémission, mon traitement passé augmente-t-il mon risque d’attraper le virus ?

Il existe des traitements anti-cancer, comme la chimiothérapie, qui peuvent fragiliser les défenses immunitaires. Certains cancers représentent également un risque accru de contracter le COVID-19. Même en période de rémission et après la fin des traitements, le système immunitaire peut rester fragile, notamment chez les personnes âgées. Il faut donc être extrêmement attentif. On conseille fortement de bien appliquer tous les gestes barrières au quotidien, de respecter les mesures de distanciation sociale, et de signaler tout symptôme anormal à son médecin.

Par ailleurs, la Ligue contre le cancer recommande d’éviter les lieux confinés si vous présentez des symptômes ressemblant à ceux du coronavirus (toux, fièvre, rhume, fatigue importante…). Si vous êtes actuellement en soins de support post cancer, il sera peut-être nécessaire de les interrompre de façon momentanée.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Covid19 : Comment protéger une personne atteinte de cancer ? Que surveiller en tant que proche ?

Si vous vivez avec une personne atteinte d’un cancer, ou si vous vous occupez d’un malade de façon rapprochée, il faut impérativement être attentif aux symptômes d’apparition récente et contacter son médecin en cas de besoin.

Par ailleurs, les gestes barrières doivent être suivis scrupuleusement pour éviter la contamination et la propagation du coronavirus :

  • Lavez-vous les mains toutes les heures (en suivant les recommandations de l’OMS) ;
  • Toussez ou éternuez dans le pli de votre coude ou dans un mouchoir ;
  • Saluez sans se serrer la main et sans embrassades ;
  • Utilisez des mouchoirs à usage unique et jetez-les ;
  • Pratiquez la distanciation sociale et respectez la distance d’au moins un mètre ;
  • Limitez les déplacements et les contacts au strict minimum ;
  • Portez un masque chirurgical en cas de symptômes ;

Éventuellement, évitez provisoirement le contact physique avec la personne atteinte de cancer et privilégiez le téléphone, les messages, et les appels vidéos. Pour autant, pensez à maintenir un lien social rapproché et contactez très régulièrement votre proche par téléphone pour être sûr que tout va bien. Cela est valable pour détecter les soucis de santé, mais aussi pour éviter tout sentiment d’isolement social.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Le Dr André Philippe Davody est Chirurgien Urologue, spécialiste en chirurgie robotique (Da Vinci) et en chirurgie urologique. Il est inscrit depuis 1984 au tableau de l’Ordre des Médecins de la ville de Paris ainsi qu’expert près la Cour Administrative d’Appel de Paris depuis 1999.