#Coronavirus : « la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation »

Hygiène & sécurié

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, tel est l’article du jour proposé par O les pieds.

Article tiré du caducée « Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ».

Le Comité pour le développement durable en santé s’alarme du retour à une désinfection chimique des lieux publics au prétexte d’une lutte contre l’épidémie de Coronavirus SARS-COV-2 et au mépris du code de l’Environnement. Tout en pointant les risques inhérents à un mauvais usage des désinfectants, il rappelle que dans la plupart des cas un nettoyage simple est largement suffisant pour éliminer un virus très sensible aux détergents. Le silence du ministère de la Transition écologique, des ARS et des agences en charge de la qualité des eaux sur ce sujet est pour le moins inquiétant.

La Terre est précieuse, magique & magnifique, fragile, protégeons la !

Les innombrables recommandations d’organisations publiques nationales et régionales s’abattent sur les professionnels de santé comme sur ceux d’établissements recevant du public. Primum Non Nocere, filiale d’expertise du Comité pour le développement durable en santé, les a recensées et comparées. Elles sont complexes, parfois incohérentes ou contradictoires.
Les professionnels de santé sont formés et rompus aux pratiques d’hygiène et disposent d’experts hygiénistes au sein des établissements hospitaliers. Les bonnes pratiques en milieu hospitalier devraient inspirer les autres secteurs économiques.
Désinfecter aveuglément ?!
Une confusion est entretenue entre le nettoyage et la désinfection. Une question pourtant primordiale à se poser pour respecter la balance bénéfice/risque, alpha et oméga d’une démarche en santé.

Stop à l'hygiène excessive qui a un effet dramatique pour l'écologie, notre planète Terre !


« Il faut rappeler que dans un hôpital, seul le sol des blocs opératoires justifie une désinfection, tous les autres sols peuvent simplement être nettoyés. Or, nous assistons actuellement à des désinfections massives inutiles dans des lieux publics : écoles, rues, Ehpad, etc. La peur et la désinformation génèrent la généralisation d’une désinfection chimique massive aux conséquences humaines et environnementales délétères. Il faut stopper cette destruction microbiologique », rappelle le Dr Philippe Carenco, médecin hygiéniste.
Les détergents et les savons sont efficaces pour inactiver le virus du Covid, parce que son enveloppe est constituée d’une membrane lipidique.
Pour le virus de la grippe par exemple (virus aussi enveloppé), il est démontré que le savonnage actif est plus rapidement efficace pour détruire le virus sur les mains que la simple application d’alcool sans frottage. Il est fort probable qu’il en soit de même pour le coronavirus.
Impact de la désinfection :
Le ministère de la Santé lançait il y a plus de 10 ans la campagne « Les antibiotiques, c’est pas automatique » sur le bon usage des antibiotiques pour lutter contre les effets d’antibiorésistance, c’est-à-dire l’adaptation des bactéries aux attaques antibiotiques qui mettent en échec le ou les traitements. Cette résistance entraîne de nombreux problèmes de santé publique, car des pathologies évoluent vers des formes plus sévères. Elle génère des bactéries multi-résistantes (BMR) qui sont la cause de 25 000 décès par an (source INSERM).
Les mêmes effets délétères d’une utilisation intensive des désinfectants, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires, sont prévisibles et font craindre le renforcement de la mutation des bactéries et virus.

Se laver les mains, porter un masque dans les lieux clos, nettoyer au savon régulièrement les surfaces de contact suffit à maintenir une bonne hygiène pour lutter contre le Covid19


« Les fondamentaux de la santé publique sont oubliés dans cette folle fuite en avant. De même que “Les antibiotiques, c’est pas automatique”, la désinfection ne doit pas devenir une obligation. À court terme, nous devons déjà être très vigilants sur la santé des personnes qui utilisent ces produits. Certains établissements se sont vu proposer des désinfectants avec des allégations commerciales contre le Coronavirus, qui contiennent des substances reconnues dangereuses pour la santé comme des CMR (cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques) et/ou des perturbateurs endocriniens », souligne Olivier Toma, fondateur de l’agence Primum Non Nocere et administrateur du C2DS.
Le rejet des désinfectants dans les milieux naturels est règlementé par le code de l’Environnement !
L’article L.1331-10 du code de la Santé publique précise : « Tout déversement d’eaux usées non domestiques dans les égouts publics doit être préalablement autorisé par la collectivité compétente et à laquelle appartiennent les ouvrages qui seront empruntés par ces eaux usées avant de rejoindre le milieu naturel. »
L’article L.216-6 du code de l’Environnement prévoit 2 ans d’emprisonnement et 75 000 €
d’amende pour les contrevenants.
Des recommandations contradictoires…

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation


Le Haut Conseil en santé publique (HCSP) recommande les désinfectants, mais l’Institut national de recherche et sécurité (INRS) ou le ministère du Travail, dans le protocole de déconfinement pour les entreprises par exemple, conseillent les détergents comme virucide, en particulier dans le cas où le virus est dit « enveloppé », ce qui est le cas du Covid-19.
« Une analyse bénéfice/risque doit être appliquée pour les milieux hébergeant des personnes sensibles (petite enfance, périnatalité, personnes allergiques) afin de décider du choix de la méthode de nettoyage, pendant l’épidémie de Covid-19, comme au long cours. Les « simples » détergents sont efficaces aussi parce qu’ils sont appliqués avec une action mécanique, le frottement par exemple. Comme à l’hôpital, les sols des écoles, des crèches, des Ehpad ou des restaurants peuvent être simplement nettoyés et non désinfectés », analyse le Dr Carenco.
Pas de désinfection sans nettoyage préalable à l’aide d’un détergent.
L’état de propreté de la surface conditionne la qualité de la désinfection ultérieure. Il s’agit en effet d’éliminer les matières organiques et les germes présents (bactéries, virus, champignons).
De plus, la désinfection est une opération au résultat éphémère : 2 heures en moyenne seulement.
Ensuite, les bactéries recolonisent naturellement le milieu (elles n’ont pas forcément besoin d’un hôte pour survivre), et les virus également par le toucher, le postillonnage, etc.
Si une désinfection s’impose : comment désinfecter ?
La désinfection mécanique, parfaitement efficace, perd du terrain face au tout chimique, dont 3 industriels détiennent 97 % du marché.
La désinfection peut se faire de manière mécanique, thermique ou chimique.
Des établissements hospitaliers utilisent par exemple la vapeur recommandée par la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), les ultraviolets (utilisé chez O Les Pieds grâce à son four dans son back-office ;-), et la micro-fibre en complément.

Les détergents sont issus soit de la biologie — ils sont appelés alors probiotiques et sont produits par plusieurs entreprises françaises — ; soit issus du pétrole, ils coûtent moins cher et 97 % du marché sont entre les mains de trois entreprises internationales Unilever/Procter&Gamble/Ecolab.
« Les industriels du pétrole expliquent que la désinfection est indispensable comme ceux du plastique cherchent à nous convaincre que les surfaces plastiques sont plus hygiéniques.

Nous revenons en arrière et perdons 15 ans de connaissances et de bonnes pratiques !

Cette désinformation est dangereuse et est cautionnée par l’État qui cherche à rassurer la population, même au mépris du code de l’Environnement ou en présence de fortes contradictions. Reprenons nos esprits, analysons la situation et assurons l’hygiène
indispensable en priorité avec des produits adaptés et fabriqués en France », explique OlivierToma, fondateur de PNN.
Quels sont les impacts environnementaux de cette fuite en avant ? Les désinfectants puissants, utilisés de façon déraisonnée, sont déversés directement dans l’environnement. Une pratique hautement nuisible et totalement disproportionnée dans l’immense majorité des cas.

Le monde pleure, la Terre souffre par la pollution.


L’air intérieur se charge en composés organiques volatils issus de ces produits et sa qualité est fortement impactée. Elle est « un enjeu majeur de santé publique » pour l’ANSES.
La qualité de l’eau, et en premier lieu sa potabilité via le retour inéluctable des eaux usées, est également impactée.

« La javel (hypochlorite de sodium) est utilisée pour rendre l’eau potable or sa surconsommation actuelle met en péril son approvisionnement pour potabiliser l’eau brute. De plus, les rejets de désinfectants dans les eaux usées altèrent le
fonctionnement des stations d’épuration qui utilisent des bactéries pour épurer les égouts. Les rejets au milieu naturel s’ajoutent aux désinfectants répandus hors de tout réseau d’assainissement sur les voiries, les parkings, les milieux extérieurs, et l’ensemble provoque
un déséquilibre de la microfaune et de la flore des milieux naturels récepteurs, allant jusqu’à favoriser la résistance bactérienne aux antibiotiques », explique le Dr Carenco.
Enfin, les centres antipoison constatent une augmentation des appels de la population.
Quelle est la position des multiples administrations en charge de ce sujet ?
Le C2DS et l’agence Primum Non Nocere s’inquiètent du silence de nombreuses agences et administrations publiques concernées par ce sujet.
Quelle est la position du ministère de la Transition écologique et solidaire sur les recommandations officielles qui entraînent le non-respect du code de l’Environnement ?
Quelle est la position des agences régionales de santé qui s’enquièrent de la présence de pesticides dans l’eau, mais ne s’intéressent pas à celle des biocides ?
Que disent les organismes chargés de la gestion et la qualité de l’eau ?
La « police de l’eau » s’appuie sur des réseaux d’alertes et de mesures et des laboratoires d’analyses (chimie, physique, toxicologie, écotoxicologie, hydrologie, hydrogéologie…). Qu’en disent les 6 Agences de l’eau, la Direction départementale des territoires (DDT),
l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la Mission inter-services de l’eau et de la nature (MISEN) pôle de coordination, ainsi que les maires ?
A propos ?
Comité pour le Développement Durable en Santé (C2DS)
Association de loi 1901, le Comité pour le développement durable en santé (C2DS) fédère plus de 500 établissements sanitaires et médico-sociaux de tout type d’activité et de tout statut juridique, engagés ou souhaitant s’engager dans une démarche de développement durable. Il met à disposition de ses adhérents de l’information, des outils opérationnels et de mobilisation, et des formations.
Primum Non Nocere®
L’agence PNN est une des premières entreprises à mission depuis la loi Pacte en janvier 2020. Elle est fidèle à sa raison d’être inscrite dans ses statuts : « promouvoir un développement pérenne préservant l’environnement et la santé de chacun ». PNN est une agence de conseil et d’accompagnement en développement durable et en santé environnementale notamment dans les secteurs sanitaire et médico-social depuis 10 ans.

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, O les pieds est d’accord & vous, vous en pensé quoi ? Dites le nous sur FB ou Instagram !

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ! Prenons soin de notre planète !

Virus, vitalité, réflexologie

Virus, vitalité, réflexologie Olp

Tel est l’article du jour. Mis en avant par O les pieds cette semaine. Ecrit par Jézabel : Virus, vitalité, réflexologie & vous.

Virus (vitalité-réflexologie)

Depuis plus de 3 milliards d’années virus et bactéries sont omniprésents, de manière plus ou moins dense et active.
Dans un même environnement, certaines personnes tombent malades. Elles le sont plus ou moins gravement. & la majorité d’entre elles le portent sans symptômes. Quand d’autres passent au travers…
Certaines intègrent l’information une bonne fois pour toute. Elles sont ainsi protégées (rôle des anti-corps / principe des vaccins).
Chaque interaction, relation entre deux corps (nos cellules et notre environnement, nous et le virus) est différente.
Nos capacités d’adaptation physique, psychique, énergétique nous sont propres.
Car si l’environnement et ses caractéristiques (polluants, virus) jouent un rôle important pour notre Santé, il n’est pas le seul dans l’équation !


Les virus, ne sont pas des organismes vivants mais des chaines protéiques entourées d’une protection lipidique.
Dénués d’intention propre & inertes dans un milieu extra-cellulaire, ils se trouvent néanmoins porteurs innés de différentes stratégies. Ces différents mécanismes d’interaction les rendent capables de proliférer à nos dépends. Entrainant ainsi notre affaiblissement par destruction cellulaire.
Il a été découvert en toute fin du XXè siècle que les virus ont (eu) un rôle dans l’évolution des espèces (à ce titre les virus participent aux processus d’adaptation). Ils font même l’objet de recherches en médecine actuelle pour régulariser des erreurs génétiques ou tumeurs…
‘Mal’ pour l’un, neutre pour un autre, voire… solution dans certains cas ! ?

Vitalité (virus-réflexologie)

Pourquoi la maladie se manifeste chez certaines personnes et pas les autres ?
Réflexologues selon l’énergétique chinoise, nous connaissons l’exploration du ressenti de la notion de vitalité, de corps vital, d’équilibre du Qi.
Equilibré, il forme, au regard de la peau, un filtre efficace. Véritable garant de l’équilibre intérieur / extérieur de notre corps. Le Qi est une protection.
Affinités et résonances vibratoires (en langage commun, être sur la même longueur d’ondes), ce que les physiciens appellent phénomènes de phase pour expliquer des interactions spécifiques (ça passe / ça ne passe pas, intégration/résistance), ont probablement une part dans l’équation.

Et comment va notre intestin ? Sa paroi constitue-t-elle toujours un bon filtre grâce à la contribution d’une flore symbiotique équilibrée ?
Des corrélations ont interpellé des gastro-entérologues ayant fait des recherches sur la flore (et en particulier l’entérobactérie Prévotella) sur des liens possibles entre cette flore et la prévalence d’impact morbide du fameux virus.
Une piste bien cohérente pour l’approche naturopathique (en tous cas, cela me paraît important à explorer).

Les peurs & les insécurités suscitées par la situation actuelle mobilisent nos ressources et nos équilibres élémentaires EAU, TERRE. L’éventuelle révolte, les injustices ressenties viennent impacter notre équilibre BOIS…

Réflexologie (virus-vitalité)

La part des réflexologues et thérapeute en soins naturels, consiste à mettre en œuvre & sensibiliser aux soins, auto-soins. Les professionnels aident à soutenir l’équilibre, le renforcement de ce corps vital, manifestation du Qi. Tout ceci en passant par le développement de la perception de son propre ressenti & de sa propre vitalisation.

Alors, oui, les gestes simples d’hygiène naturelle habituels restent la base & la situation permet de les remémorer !

  • renouveler suffisamment l’air intérieur qui, sauf exception, est plus pollué que l’air extérieur ;
  • secouer, dehors, laisser au soleil, vêtements pour le séchage, couettes et couvertures car les rayons solaires régularisent la prolifération des moisissures, acariens et dénature les chaines protéiques des virus ;
  • laver les mains avec du savon car le corps gras du savon lyse l’enveloppe lipidique protégeant les protéines actives des virus ou les bactéries et l’action mécanique avec l’eau décharge.

A côté des masques, des distances et des lavages de mains, il s’agit de se souvenir que prendre soin de soi c’est prendre soin de son terrain & que c’est aussi déterminant !

N’hésitez pas à rappeler autour de vous cette donnée de l’équation & combien elle compte.


Tissons, soutenons au quotidien des relation saines et une vitalité solide par un Art de vivre, des ressourcements et d’auto-soins !

& ce chacun à notre manière :

  • rires,
  • joie du partage,
  • relations claires et équilibrées,
  • méditation dans nature ou pendant les activités quotidiennes,
  • activités de création,
  • auto-réflexologie,
  • yoga,
  • QI Gong,
  • alimentation vivante…
  • 1001 façons de nous renforcer par la Présence, juste ici et maintenant, en conscience.

Le ‘vivre ensemble’ est bousculé, les pieds bien ancrés dans la terre, bien massés, la tête haute vers le ciel, à bonne distance du stress & hop ! Le fluide vital circule.

Alors gardons la tête fraîche et le cœur chaud pour que notre discernement face aux positionnements à venir soit optimal !

COVID19

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

| 06 avril 2020 | par Caducee.net | | Partager

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COVID19 : coronavirus et cancer, quelles sont les précautions à prendre ?

En raison de la pandémie de COVID-19 qui sévit actuellement, la Ligue contre le Cancer a publié ses recommandations à destination des personnes atteintes de cancer et leurs proches. Puis-je continuer mes traitements anti-cancer ? Comment se protéger face au coronavirus ? Comment aider un proche malade ? Voici une synthèse des recommandations de la Ligue contre le Cancer proposée par le Dr André Philippe Davody.

COVID19 : Coronavirus : puis-je continuer mon traitement anti-cancer en centre de soins ?

Comme le souligne la Ligue, il ne faut pas interrompre sa chimiothérapie ou ses séances de radiothérapie si le traitement a déjà débuté. Certains traitements peuvent continuer à domicile de façon à réduire le nombre de sorties et de rendez-vous dans votre centre de soins. Si cela n’est pas possible, l’équipe soignante responsable de votre traitement fera le nécessaire pour vous transmettre une prescription de transport.

Concernant l’hormonothérapie, la décision de maintien ou d’arrêt du traitement sera aussi prise par votre médecin. Certains médicaments affaiblissent le système immunitaire. Par exemple, les patients traités pour un cancer de la prostate sous hormonothérapie longue peuvent se montrer plus fragiles face au COVID-19, en fonction du traitement et de son dosage. En cas de doute, parlez-en avec votre médecin habituel.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Ai-je plus de risques d’attraper le COVID19 si je suis un traitement anti-cancer ?

Les personnes atteintes d’un cancer subissent des traitements qui peuvent fragiliser le système immunitaire. De ce fait, elles deviennent plus fragiles face aux infections virales comme le COVID-19.

On estime que le risque de complications respiratoires est 4 à 5 fois plus élevé chez les malades porteurs d’un cancer. Leur développement est par ailleurs plus précipité, notamment lors de traitements récents, comme chez les patients ayant subi une chimiothérapie ou une chirurgie ces dernières semaines.

En cas d’infection au COVID-19, le traitement des personnes atteintes de cancer doit avoir lieu avec toutes les précautions nécessaires : isolement face aux autres patients, services dédiés, etc. Votre médecin peut aussi décider de suspendre votre traitement de façon provisoire. En cas de symptômes ou de contact avec une personne infectée, communiquez au plus vite cette information à votre équipe soignante habituelle.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : Actuellement en rémission, mon traitement passé augmente-t-il mon risque d’attraper le virus ?

Il existe des traitements anti-cancer, comme la chimiothérapie, qui peuvent fragiliser les défenses immunitaires. Certains cancers représentent également un risque accru de contracter le COVID-19. Même en période de rémission et après la fin des traitements, le système immunitaire peut rester fragile, notamment chez les personnes âgées. Il faut donc être extrêmement attentif. On conseille fortement de bien appliquer tous les gestes barrières au quotidien, de respecter les mesures de distanciation sociale, et de signaler tout symptôme anormal à son médecin.

Par ailleurs, la Ligue contre le cancer recommande d’éviter les lieux confinés si vous présentez des symptômes ressemblant à ceux du coronavirus (toux, fièvre, rhume, fatigue importante…). Si vous êtes actuellement en soins de support post cancer, il sera peut-être nécessaire de les interrompre de façon momentanée.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Covid19 : Comment protéger une personne atteinte de cancer ? Que surveiller en tant que proche ?

Si vous vivez avec une personne atteinte d’un cancer, ou si vous vous occupez d’un malade de façon rapprochée, il faut impérativement être attentif aux symptômes d’apparition récente et contacter son médecin en cas de besoin.

Par ailleurs, les gestes barrières doivent être suivis scrupuleusement pour éviter la contamination et la propagation du coronavirus :

  • Lavez-vous les mains toutes les heures (en suivant les recommandations de l’OMS) ;
  • Toussez ou éternuez dans le pli de votre coude ou dans un mouchoir ;
  • Saluez sans se serrer la main et sans embrassades ;
  • Utilisez des mouchoirs à usage unique et jetez-les ;
  • Pratiquez la distanciation sociale et respectez la distance d’au moins un mètre ;
  • Limitez les déplacements et les contacts au strict minimum ;
  • Portez un masque chirurgical en cas de symptômes ;

Éventuellement, évitez provisoirement le contact physique avec la personne atteinte de cancer et privilégiez le téléphone, les messages, et les appels vidéos. Pour autant, pensez à maintenir un lien social rapproché et contactez très régulièrement votre proche par téléphone pour être sûr que tout va bien. Cela est valable pour détecter les soucis de santé, mais aussi pour éviter tout sentiment d’isolement social.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Le Dr André Philippe Davody est Chirurgien Urologue, spécialiste en chirurgie robotique (Da Vinci) et en chirurgie urologique. Il est inscrit depuis 1984 au tableau de l’Ordre des Médecins de la ville de Paris ainsi qu’expert près la Cour Administrative d’Appel de Paris depuis 1999.

La réflexologie ? et le stress disparaît !

RéflexoRelax

La réflexologie ? et le stress disparaît ! Car la méthode de stimulation de zones sous les pieds détend en profondeur.

La réflexologie est une méthode de stimulation de zones de réflexes situées notamment sous les pieds.
Chacune de ces zones est en relation avec une partie précise du corps (chaîne musculaire, colonne vertébrale, organes…).
Une action sur chacune de ces zones réflexes permet d’agir à distance sur l’ensemble du corps.
Marc, réflexologue à Lyon nous en dit plus sur cette pratique multi-millénaire.

Les origines de la réflexologie.


Il existe d’autres écoles de réflexologie : notamment celles faisant référence à la médecine traditionnelle chinoise (MTC).
Personnellement je me situe dans l’approche dite “occidentale” qui s’appuie sur le système nerveux central et le système hormonal.
Je considère que la stimulation des zones réflexes permet une action à distance sur les parties du corps qui correspondent à ces zones.
Ceci étant possible, par l’intermédiaire de ces deux systèmes complémentaires.


Cette approche vise aussi bien à détendre une personne anxieuse ou à apaiser des tensions douloureuses, qu’à faciliter l’atténuation, voire la disparition de troubles fonctionnels générés par un stress nocif (intensif, persistant).
Il ne s’agit pas d’un acte médical ou paramédical.
Par contre la réflexologie occidentale peut, en accord avec le médecin, accompagner un traitement médical et permettre à la personne de mieux supporter un traitement lourd.

Réflexologie et gestion du stress ?


La réflexologie et le stress disparaît !

Car la réflexologie est particulièrement adaptée à la gestion du stress.
Elle permet d’abord de diminuer l’état de stress par une détente générale et une relaxation profonde.
La méthode à laquelle j’ai été formé (*), préconise de consacrer les premières séances à la relaxation.
Les suivantes pourront compléter la séquence “relaxation” par un travail personnalisé sur des zones plus spécifiquement en rapport avec le(s) trouble(s) qu’un état de stress prolongé a pu provoquer, comme par exemple : trouble du sommeil, digestion, maux de tête ou de dos, etc.
Mais souvent, surtout si la démarche est entreprise suffisamment tôt, quelques séances axées sur la relaxation permettent de soulager efficacement.


Petit rappel sur le stress.

Un stress momentané, passagé, est une alerte bénéfique prévenant d’un danger (par exemple : l’arrivée rapide d’un véhicule) et préparant le corps à réagir pour se protéger (éviter la voiture, fuir devant un éboulement, voire se défendre d’un agresseur).
C’est la persistance dans le temps d’un “état” de stress devenu nocif et sans réelle urgence qui finit par épuiser le corps et ses réserves de défenses immunitaires, avec de fortes répercussions émotionnelles et mentales.
C’est alors que survient une phase difficile à traiter et vraiment dangereuse pour la santé (dépressions, perte de l’estime de soi, etc…).
L’engagement au plus tôt d’une série de séances de réflexologie est un outil préventif précieux avant d’être un accompagnement vers le rétablissement des équilibres internes rompus.

La réflexologie et le stress disparaît !

(*) : Ecole d’Elisabeth Breton, premier centre de formation en réflexologie inscrit au “Répertoire National des Certifications Professionnelles” ( RNCP).

Par Marc Oudart, réflexologue certifié et validé par le réseau Medoucine.

Emotions & libre arbitre

Emotions & libre arbitre avec O Les Pieds,

Emotions & libre arbitre avec O Les Pieds, prenez le temps de connaître et soutenir vos émotions face au Covid, au confinement…

En ces temps de pandémie, entre deux confinements, deux interdits, deux obligations… Comment gérer nos émotions et libre arbitre ?

Je suis tombée sur un témoignage que je vous partage tant il aurait pu être écrit par mes soins, par les vôtres…

Il est 1h du matin et je n’arrive pas à trouver le sommeil. 

C’est le cœur gros que j’écris cette nuit… Demain matin, je vais accompagner mon petit garçon de 7 ans à l’école, et il devra porter un masque… J’en suis malade !

Quand j’ai appris l’annonce, mon premier élan a été de le sortir de l’école en attendant que ça se calme. Je me suis mise en mode maman-bélier/ Verveine. En 2 coups de téléphone c’était réglé, j’avais trouvé la parfaite école par correspondance agréée Education Nationale et j’étais au clair sur les modalités administratives.

C’était sans compter un élément important : Mon fils qui a ENVIE de retourner à l’école ! Je dirais même que je ne l’ai jamais vu autant motivé pour une veille de rentrée… ça m’a mis dans un état profond de détresse. Un sentiment d’impuissance de ne pas pouvoir protéger mon enfant de la folie du monde…

J’ai pris des fleurs, j’ai couru à fond dans des champs en pente, en criant très fort, et quand le tourbillon émotionnel est redescendu, je me suis souvenue d’une expérience de vie :

Quand j’étais toute jeune psychanalyste, j’ai reçu une jeune femme qui n’allait vraiment pas bien. Au début, je me demandais si j’allais être capable de l’aider, et puis rapidement, une magnifique alliance thérapeutique s’est installée. Mais ça restait difficile. Je me souviens de son compagnon toxique qui lui faisait du mal… Et vers lequel elle revenait sans cesse, malgré les humiliations et les violences…

Je me souviens de cette fois où elle avait reçu des menaces. J’ai pleuré quand elle a quitté le cabinet, car elle refusait de porter plainte. Ce jour-là, j’aurais aimé la garder avec moi, être le Sauveur qui la confie à la police pour qu’ils la protègent, pour l’empêcher de repartir dans les bras de son bourreau.

Mais je ne l’ai pas fait. Pourquoi ? Parce que j’avais déjà l’expérience de ces victimes que l’on pousse à se protéger alors qu’elles ne l’ont pas pleinement décidé, et qui reviennent se jeter encore et encore dans la gueule du loup…

Alors j’ai fait le choix de respecter son LIBRE ARBITRE. Je sentais que la seule solution était de la laisser vivre cette expérience et de trouver la force de se positionner à l’intérieur d’elle. La seule chose que je pouvais faire, c’était l’accueillir et nourrir la part d’elle vivante, celle qui pense qu’elle mérite le respect et l’amour…

Et tu sais quoi ? ça a pris du temps, mais elle a fini par le quitter définitivement… Aujourd’hui, 12 ans après, elle est mariée avec un homme tendre qui la traite comme une déesse, et heureuse maman d’un bébé… Chaque fois que je pense à son parcours, ça me remplit le cœur de joie…

Aujourd’hui, j’ai envie de me reconnecter à cette mémoire. Cette fois où j’ai considéré l’autre comme un Etre souverain, capable de sauver lui-même, de prendre ses propres décisions, libre de faire ses propres expériences.

En déposant mon fils demain matin à l’école, je vais essayer de me relier à une de mes valeurs profondes : L’importance de respecter le libre arbitre de l’être humain qui me fait l’honneur de m’avoir choisie comme maman…

Le laisser sentir, vivre et traverser l’expérience. Le laisser sentir dans son corps comment ça fait de respirer à travers un morceau de tissu toute une journée. 
Accepter que son ressenti puisse être différent du mien.
Rester dans l’amour de lui, dans l’accueil de son être…

Respecter le Libre arbitre de l’Autre, ne pas tomber dans le piège du sauveur, ce sont deux valeurs centrales qui m’animent et que j’essaie d’incarner dans mon métier et dans ma vie….

Je reconnais que c’est difficile, que parfois j’aimerais me positionner comme celle qui SAIT, celle qui SAUVE… Alors je prends Verveine, et je choisis de faire confiance en mon enfant…

Je te souhaite une belle journée, avec une pensée spéciale pour toutes les mamans qui se retrouvent bousculées par la situation

Bien floralement

Mathilde

Emotions & libre arbitre avec O Les Pieds… Prenez le temps de connaître et soutenir vos émotions face au Covid, au confinement… Prenez du temps pour vous…Prenez rendez-vous 😉

Mathilde est une personne qui utilise et recommande les fleurs de Bach comme O Les Pieds. Alors, si vous aussi, cette période de vie est compliquée, n’hésitez pas à vous faire connaître, vous faire aider. O Les Pieds est accessible sur rdv au cabinet (resté ouvert car essentiel) mais aussi par téléphone, sms ou mail avec un paiement en ligne.

10€/consultation pensez-y, prenez soin de vous !