Ne rien faire, le meilleur moyen de lutter contre le stress et l’anxiété

RéflexoRelax

O Les pieds vous diffuse une tribune utile. Une tribune essentielle (en plus de vos séances de réflexologie plantaire à O Les Pieds ;-). Un article d’Hélène Bert, psychologue clinicienne sur les bienfaits de l’oisiveté. Un texte ou Ne rien faire est le meilleur moyen de lutter contre le stress et l’anxiété !

L’oisiveté

Selon sa définition, l’oisiveté désigne l’état d’une personne n’ayant pas d’activité laborieuse, pas d’occupation ni de contrainte. Est-il possible d’atteindre cet état ? Et si oui, quels sont les effets sur notre santé physique et mentale ?

Entre, ne pas avoir de contrainte, ne rien faire, s’ennuyer ou encore être paresseux, le concept d’oisiveté est très large et tend à évoluer. On commence à voir apparaître, notamment dans les cultures nordiques, une tendance qui invite à reprendre possession de notre temps et accorder à notre cerveau un moment de repos. Par exemple, le développement du « niksen » aux Pays-Bas ou encore le concept danois, le « hygge », qui consiste à créer un cocon de bien-être chez soi avec des bougies, des plaids, des tisanes et autres objets nécessaires à la création d’une ambiance paisible pour favoriser le repos cérébral.

Lâcher prise

Dans notre culture française, où la productivité et la compétition sont valorisées en tant que normes, comment ces concepts sont-ils perçus ? Comme on peut facilement l’imaginer, ils sont bien souvent mal accueillis avec un amalgame autour de la fainéantise et la paresse. Nous le savons bien, en France, la paresse est loin d’être perçue comme une qualité, et pourtant, nous voyons se développer de plus en plus des moments réservés à la sieste, même en entreprise. Et pour cause, elle favoriserait justement la productivité grâce au lâcher-prise.

Déconnecter notre cerveau est également bon pour notre santé. Le corps humain, les cellules et les organes ont besoin de repos pour se régénérer. Selon les travaux de Vincente Saavedra, spécialiste en médecine biologique, avoir trop d’activités entraînent souvent du stress, qui lui entraîne la formation de cortisol, une hormone qui, si produite trop longtemps, va nuire à la santé et provoquer des effets secondaires comme l’obésité, l’hypertension, les reflux gastro-œsophagiens ou encore la baisse du système immunitaire.

Ces impacts négatifs sur la santé renforcent également le mal-être psychique et alimentent un cercle vicieux. Il a été démontré que le fait de rester chez soi et de pratiquer des activités calmes comme la lecture, le jardinage ou la cuisine contribuerait à faire baisser le stress et donc le taux de cortisol.

Ne rien faire

Nous constatons également que ne rien faire est une notion subjective. Beaucoup de personnes pensent que rester chez soi, même en ayant une occupation, s’apparente à ne rien faire et que cela n’est pas valorisant. Je citerais d’ailleurs Christophe André, Psychiatre, sur sa notion de l’oisiveté : « Ne rien faire ne consiste pas à somnoler ou rêvasser, mais à rester pleinement éveillé dans la “non-action”.

La non-action n’est pas de l’inaction, c’est une pleine activité intérieure. On ne fait rien, mais on ressent tout, on voit tout, on écoute tout». Il utilise d’ailleurs pleinement ces techniques de méditation de pleine conscience pour réduire les effets du stress. Je soulignerais également l’importance d’apprendre à nos enfants à ne rien faire au lieu de vouloir sans arrêt remplir leur emploi du temps ou de les abandonner devant leurs écrans. Notre cerveau a en effet besoin de « périodes de jeûne ».

La pleine conscience, c’est savoir s’arrêter pour être. L’ennui est important et même utile pour chacun d’entre nous, il favorise la créativité, pousse à aller vers les autres, et permet de se détendre. Ne cherchons pas constamment à remplir notre temps en regardant chaque jour, chaque heure, chaque minute nos messages, nos mails, nos appels manqués, etc. Laissons-nous quelques instants de tranquillité et réduisons ainsi le stress quotidien.

Contre le stress et l’anxiété vous dit-on ici !

Ne rien faire le meilleur moyen de lutter contre le stress et l’anxiété !

Il a été démontré que des zones du cerveau s’activent lorsque nous ne faisons rien. François Eustache, neuropsychologue, indique même : « ne rien faire c’est vital». Il évoque un état de notre cerveau défini comme « le mode par défaut» qu’il décrit comme une activité cérébrale quand on ne fait rien. Lors de moment d’oisiveté, il est possible de se tourner vers tout un univers inexploité, être dans le moment présent plutôt que de le subir.

Par exemple, dans les embouteillages, à un feu rouge, ou dans les transports en commun, nous allons rapidement stresser et être anxieux de ne pas arriver à l’heure. Pourtant, nous pourrions utiliser ces moments à notre avantage, par exemple, en contemplant les passants, le ciel, en écoutant une musique relaxante pour nous évader un court instant. Si vous faites cela, vous verrez que ces moments de stress quotidiens pourront réellement devenir de petites parenthèses enchantées pour soi. Nous pensons toujours manquer de temps. Utilisons déjà chacun de ces moments, nous les approprier et non plus les subir.

Par Hélène Bert, comité Psychologue.net, psychologue clinicienne

https://www.caducee.net/actualite-medicale/15342/ne-rien-faire-le-meilleur-moyen-de-lutter-contre-le-stress-et-l-anxiete.html?&utm_medium=email&utm_source=nl&utm_campaign=NL82&utm_content=424181

VIRUS, VITALITE, Réflexologie et VOUS…

Virus, vitalité, réflexologie et vous...

Virus, vitalité, réflexologie et vous est une réédition toujours d’actualité depuis sa parution en avril 2020de Jézabel. Bonne lecture !

Depuis plus de 3 milliards d’années virus et bactéries sont omniprésents, de manière plus ou moins dense et active.
Dans un même environnement, certaines personnes tombent malades, plus ou moins gravement, la majorité porte sans symptômes, d’autre passent au travers…
Certains intègrent l’information une bonne fois et sont ainsi protégés (rôle des anti-corps / principe des vaccins).
Chaque interaction, relation entre deux corps (nos cellules et notre environnement, nous et le virus) est différente.


Nos capacités d’adaptation physique, psychique, énergétique sont uniques également.
Car si l’environnement et ses caractéristiques (polluants, virus) jouent un rôle important pour notre Santé, il n’est pas le seul dans l’équation.
Les virus, ne sont pas des organismes vivants mais des chaines protéiques entourées d’une protection lipidique.
Dénués d’intention propre et inertes dans un milieu extra-cellulaire, ils se trouvent néanmoins porteurs innés de différentes stratégies. Ainsi leurs différents mécanismes d’interaction les rendent capables de proliférer à nos dépends. Ils entrainent dès lors notre affaiblissement par destruction cellulaire.
Il a été découvert en toute fin du XXè siècle que les virus ont (eu) un rôle dans l’évolution des espèces (à ce titre les virus participent aux processus d’adaptation). Ils font l’objet de recherches en médecine actuelle pour régulariser des erreurs génétiques ou tumeurs…
‘Mal’ pour l’un, neutre pour un autre, voire solution dans certains cas !

Pourquoi la maladie se manifeste chez certaines personnes et pas les autres ?


Réflexologues selon l’énergétique chinoise, nous connaissons l’exploration du ressenti de la notion de vitalité, de corps vital, d’équilibre du Qi.
Equilibré, il forme, au regard de la peau, un filtre efficace, un garant de l’équilibre intérieur / extérieur de notre corps, une protection.
Affinités et résonances vibratoires (en langage commun être sur la même longueur d’ondes), est ce que les physiciens appellent phénomènes de phase. Ce qui explique des interactions spécifiques (ça passe / ça ne passe pas, intégration/résistance). Ils ont probablement une part dans l’équation.

Et comment va notre intestin ? Sa paroi constitue-t-elle toujours un bon filtre et grâce à la contribution d’une flore symbiotique équilibrée ?
Des corrélations ont interpellé des gastro-entérologues ayant fait des recherches sur la flore (et en particulier l’entérobactérie Prévotella) sur des liens possibles entre cette flore et la prévalence d’impact morbide du fameux virus.
Une piste bien cohérente pour l’approche naturopathique qui paraît important à explorer.

Les peurs et insécurités suscitées par la situation actuelle mobilisent nos ressources et nos équilibres élémentaires EAU, TERRE. L’éventuelle révolte, les injustices ressenties viennent impacter notre équilibre BOIS…

Virus, vitalité, réflexologie plantaire O Les Pieds et vous...
Virus, vitalité, réflexologie et vous…

La part des réflexologues et thérapeute en soins naturels, consiste à mettre en œuvre et sensibiliser aux soins. Soins et auto-soins qui soutiennent l’équilibre et le renforcement de ce corps vital. Corps qui manifeste son Qi, passant par le développement de la perception de son propre ressenti et de sa propre vitalisation.

Gestes simples d’hygiène etVirus, vitalité, réflexologie et vous…

Alors, oui, les gestes simples d’hygiène naturelle habituels restent la base. Ainsi la situation permet de les remémorer à ceux qui les auraient oubliés. C’est-à-dire :

  • Renouveler suffisamment l’air intérieur. Air qui, sauf exception, est plus pollué que l’air extérieur.
  • Secouer dehors, laisser au soleil les vêtements pour le séchage, couettes et couvertures. Car les rayons solaires régularisent la prolifération des moisissures, acariens et dénature les chaines protéiques des virus.
  • Laver les mains avec du savon. Car le corps gras du savon lyse l’enveloppe lipidique protégeant les protéines actives des virus ou les bactéries et l’action mécanique avec l’eau décharge.

A côté des masques, des distances et des lavages de mains, il s’agit plus de se souvenir que prendre soin de notre terrain est aussi déterminant.
Tissons, soutenons au quotidien des relation saines et une vitalité solide par un Art de vivre, des ressourcements et auto-soins. Car, chacun à notre manière :

  • nos rires,
  • notre joie du partage,
  • nos relations claires et équilibrées,
  • nos méditations dans nature ou pendant les activités quotidiennes,
  • nos activités de création,
  • notre auto-réflexologie,
  • yoga,
  • QI Gong,
  • alimentation vivante…

sont nos 1001 façons de nous renforcer par la Présence, juste ici et maintenant, en conscience ! Le ‘vivre ensemble’ est bousculé.

Virus, vitalité, réflexologie et vous…


Les pieds bien ancrés dans la terre, la tête haute vers le ciel, le fluide vital circule.
Alors gardons la tête fraîche et le cœur chaud pour que notre discernement face aux positionnements à venir soit optimal !

Et prenez soin de vous, prenez soin de vos pieds, confiez-les à un réflexologue de qualité tel qu’à O Les Pieds !

Apport des Réflexothérapies sur les symptômes liés à la COVID-19

Apport des Réflexothérapies sur les symptômes liés à la COVID-19 sont nombreux et mis en avant dans cet article.

Les symptômes multiples à prendre en compte

Les principaux symptômes, combinés ou isolés de l’infection par la Covid-19 sont multiples : une fièvre ou sensation de fièvre, des signes respiratoires comme une toux, un essoufflement ou une sensation d’oppression dans la poitrine, des maux de tête, courbatures, une fatigue inhabituelle ; une perte brutale de l’odorat, une disparition totale du goût, ou une diarrhée. Dans les formes plus graves : difficultés respiratoires pouvant mener jusqu’à une hospitalisation en réanimation voire au décès.

Pour une personne âgée, l’entourage peut constater une altération brutale de l’état général, l’apparition ou l’aggravation des capacités mentales, un état de confusion, des chutes répétées, une aggravation rapide d’une maladie déjà connue.

Anxiété développée

Hormis les symptômes physiques énumérés ci-dessus, c’est un drame invisible qui se joue en coulisse : augmentation des états anxieux et de peur qui prédominent. Soit la santé mentale des personnes. Durant la première phase de confinement, la Normandie, Région où j’exerce, les cas positifs liés à ce virus ont été peu recensés. Ce sont les semaines d’enfermement et d’isolement qui ont été très impactant. L’arrêt brutal de tout contact, l’état anxiogène national ont générés une forte hausse d’états de grande fatigue psychique et des états d’angoisses sont apparus.

Le second confinement de novembre vient entretenir les peurs générées dès mars 2020 et crée des états dépressifs en grand nombre. La situation générale accentue, favorise et est donc propice à l’augmentation des états de stress avec tous les troubles liés à la crise : mélancolie, tristesse, désespoir…

Mise en avant de l’étude de cas

L’étude observationnelle a été menée à l’issue du premier confinement, soit à partir du 12 mai 2020 jusqu’au 24 novembre 2020 où nous connaissons un second confinement. Les personnes ont été reçues dans mon cabinet situé au sein de la maison Paramédicale du Fort, située Allé du Fort – 50130 Cherbourg-en-Cotentin mais aussi dans les quatre résidences autonomie de la communauté urbaine de Cherbourg-en-Cotentin qui sont : Le Vieux Château, Les Roquettes, La Chênaie et La Chancelière.

Public visé

  • des individus majeurs et en activité professionnelle et des personnes âgées.

Outils utilisés

  1. Logiciel « La Gestion du Bien-être » permettant un suivi régulier sur l’évolution de l’état des personnes.
  2. Questionnaire HAD – Echelle d’anxiété (A) et de dépression (D) rempli avant chaque séance.
  3. Verbalisation de l’état avant et après séance. Cotation du stress par une échelle visuelle analogique.

Les critères d’inclusion à l’étude

  • troubles fonctionnels associés au post-Covid. Les états anxieux, dépressifs et de grande fatigue physique et psychique indiqués durant le bilan réflexologique avant séance.

Techniques utilisées

  • massages réflexes plantaire, palmaire, crânio-facial par les Techniques réflexes conjonctive, périostée et viscéro-cutanées (contribution ostéopathique à la réflexologie)® Méthode Elisabeth Breton. Pour les personnes des résidences autonomies, seules les techniques réflexes de relaxation plantaire et palmaire ont été pratiquées.

L’étude porte sur cent personnes reçues en cabinet ou visitées en résidences autonomies et consentant à participer.

Les résultats mis en avant de l’apport des Réflexothérapies sur les symptômes liés à la COVID-19

La répétition des Techniques réflexes s’avère être essentielle dans cette gestion si complexe du contexte actuel et nouveau. Un suivi régulier sur 5 séances vise à avoir une action durable sur la gestion du stress et les troubles liés.

histogramme

Une hausse de l’état d’anxiété et de dépression est constatée à la 4e séance. Elle correspond à l’annonce du second confinement. Le stress et les troubles liés : états anxieux, angoisses, mélancolie et tristesse réapparaissent.

Ce constat est surtout réel en résidence autonomie où l’arrêt de tout contact génère très rapidement de nombreux troubles sérieux. Supposition est également portée sur les personnes actives qui peuvent à ce moment-là passer un palier d’adaptation aux techniques réflexes pratiquées : c’est-à-dire l’ajustement naturel de l’organisme face à sa gestion interne du stress.

schema

Au fur et à mesure des séances, les troubles liés à la Covid-19 (aucune personne reçue n’a été atteinte par le virus) : anxiété, mélancolie, tristesse, désespoir, fatigue, tension nerveuse, troubles du sommeil diminuent. Par contre les personnes âgées chez qui le manque de sorties et de contact se poursuit, l’état physique et psychique demeure fragile.

Pour conclure

Points forts de l’étude

  • observation d’une diminution du stress chez les personnes qui en ont bénéficié
  • baisse significative de la fatigue physique et psychique et de l’état d’anxiété et amélioration de la qualité de vie au quotidien
  • meilleur moral et bien-être et qualité de sommeil retrouvé.

Points faibles

  • Le bénéfice exprimé par les scores obtenus des échelles et la verbalisation des personnes ne nous permet pas à ce jour de préciser si les facteurs des résultats obtenus est un effet propre de la méthode ou des effets non spécifiques
  • prise en charge globale (la présence, le toucher réflexe et la communication rétablie notamment pour les personnes âges) ou simplement un effet placebo.

Cette étude nous a permis de constater une régulation progressive des équilibres physiques et psychiques ainsi que d’une meilleure gestion du stress et des troubles liés.

Les sources exploitées ci-dessus

Participation aux Congrès 

  • GETCOP (Groupe d’évaluation des thérapies complémentaires personnalisées et des pratiques innovantes) : www.getcop.com
  • ICEPS 2020 (congrès scientifique des interventions non médicamenteuses) : exposé « Douleur et techniques réflexes » par Elisabeth Breton. www.iceps2020.fr

Livres Elisabeth Breton aux Editions Vie

  • La Réflexologie, un vrai remède au stress
  • Réflexologie pour la forme et le bien-être
  • Réflexologie Faciale et Crânienne

SARS-CoV-2 et bain de bouche

Stop covid avec le bain de bouche !

De nouvelles données en faveur de l’utilisation du bain de bouche contre la transmission du SARS-CoV-2

Une nouvelle étude in vitro démontre une efficacité virucide d’un bain de bouche avec la technologie CPC (chlorure de cétylpyridinium) pour réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %. Cette étude a été réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant, de renommée internationale, Microbac Laboratories, pour le compte d’Unilever Research Laboratories.

  • Les résultats préliminaires de ces essais montrent qu’une utilisation appropriée d’un bain de bouche contenant la technologie CPC pourrait jouer un rôle important en tant que mesure d’hygiène préventive supplémentaire pour réduire la transmission virale de la COVID-19, en plus de prévenir certains problèmes bucco-dentaires, lorsqu’il est utilisé comme indiqué sur l’emballage.
  • Le CPC est déjà largement utilisé dans le milieu médical et est connu pour ses propriétés antivirales.

« Même s’il est évident qu’il ne s’agit ni d’un traitement curatif ni d’un moyen totalement éprouvé de prévenir la transmission du SARS-CoV, les résultats obtenus ici sont très prometteurs. Étant donné le stade critique actuel de la pandémie, nous pensons qu’il est important de les partager afin que les consommateurs soient conscients des avantages potentiels des bains de bouche contenant du CPC, parallèlement aux autres mesures d’hygiène préventives », Glyn Roberts, PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever.

Aujourd’hui, la meilleure façon de se prémunir contre cette maladie qui a causé plus d’un million de décès à travers le monde à ce jour reste les mesures d’hygiène préventives visant à limiter la propagation du SARS-CoV. Comme le rappelle le ministère des Solidarités et de la Santé, il est primordial d’appliquer les mesures barrières suivantes pour limiter la transmission du virus : se laver les mains régulièrement, tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir, se moucher dans un mouchoir à usage unique et se laver les mains après, ne pas serrer les mains et éviter les embrassades, respecter une distance d’au moins 1 mètre avec les autres et enfin porter un masque en public. Les données disponibles à date indiquent que le SARS-CoV semble être principalement transmis par les gouttelettes de salive ou les écoulements nasaux lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue, avant, pendant et après la phase aiguë de la maladie, ainsi que dans les cas asymptomatiques. Par conséquent, réduire la charge virale buccale pourrait permettre de réduire la transmission de la COVID-19.

SARS-CoV-2 présent dans la bouche (Copyright Unilever).

Une nouvelle étude, menée in vitro par l’équipe de Glyn Roberts PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever, et réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant de renommée internationale — Microbac Laboratories — fournit des preuves d’une activité virucide efficace contre le SARS-CoV-2 d’un bain de bouche avec du CPC (chlorure de cétylpyridinium), une molécule aux propriétés antiseptiques présentes dans certains bains de bouche. Comme l’explique Glyn Roberts : « Le bain de bouche, qui contient du CPC à hauteur de 0,07 % et que nous avons testé, réduit de 99,9 % la charge virale du SARS-CoV, le virus responsable de la COVID-19, après 30 secondes de rinçage ».

Les résultats préliminaires de ces essais menés sur le SARS-CoV s’appuient sur des recherches réalisées précédemment par Unilever sur un substitut du virus dont les résultats ont été publiés sur la plateforme bioRxiv, et font suite aux discussions en cours au sein de la communauté médicale et scientifique mondiale sur l’utilisation potentielle d’un bain de bouche contenant du CPC comme mesure complémentaire pour réduire la transmission du virus. Les recherches effectuées sur la durée de l’effet du CPC se poursuivent, mais une étude publiée plus tôt cette année et qui portait sur un petit groupe de patients atteints de la COVID-19 suggère que la charge virale — la quantité de particules virales — pourrait être réduite dans la bouche sur une durée allant jusqu’à 6 heures avec des bains de bouche contenant du CPC.

Ces résultats d’essais préliminaires montrant l’efficacité du CPC contre le SARS-CoV sont parmi les plus avancés et les derniers d’une large série d’études en cours qui ont pour objectifs d’évaluer l’efficacité des bains de bouche contre un certain nombre de virus. Dans les tests effectués par Unilever, seule la technologie CPC a jusqu’à présent donné des résultats positifs et cohérents contre le SARS-CoV.

« Les bains de bouche contenant du CPC, produits par d’autres entreprises, pourraient également avoir un effet positif. Nous partageons ici nos résultats dans un esprit d’ouverture et de collaboration avec la communauté scientifique. Nous encourageons les autres laboratoires à poursuivre leurs recherches sur le rôle que les produits d’hygiène buccale pourraient jouer en tant que mesure préventive complémentaire pendant la pandémie. D’éminents scientifiques ont examiné les données issues des recherches d’Unilever et conviennent qu’il est dans l’intérêt général de partager largement ces résultats » déclare Glyn Roberts.

« La cavité buccale est une zone de forte concentration de SARS-CoV : un millilitre de salive peut contenir jusqu’à un million de particules virales. La désinfection de la bouche par l’utilisation régulière d’un bain de bouche est donc un geste simple, peu contraignant qui peut renforcer la série des gestes barrières recommandés par les autorités de santé.

L’étude in vitro conduite par Unilever est la première à démontrer qu’un bain de bouche contenant du CPC permettrait de réduire la charge virale du SARS-CoV de 99,9 %. D’autres recherches sur la durée de l’effet du CPC suggèrent que la réduction de la charge virale est susceptible d’être durable.

Le CPC est un actif connu depuis plus de 40 ans, largement utilisé en hygiène buccale pour le contrôle de la plaque. Il induit peu de résistances bactériennes lui permettant ainsi d’être globalement bien toléré. De sensation agréable, il permet une utilisation régulière.

Dans le cadre de la pandémie de COVID-19, l’utilisation avant tout soin d’un bain de bouche à base de CPC pourrait donc constituer un nouveau geste barrière qui améliorerait la maitrise de la contamination de la COVID-19 en cabinet dentaire », explique le Pr. Michel Sixou, PU — PH, Professeur en Santé Publique, département d’Épidémiologie et de Prévention (Université Paul Sabatier, Toulouse).

« Dans la transmission d’une infection virale, plusieurs éléments jouent des rôles importants : la quantité de virus émise par la personne infectée et la quantité de virus nécessaire au déclenchement de l’infection y tiennent une place majeure. Ainsi, les résultats obtenus sur le CPC par l’étude conduite par Unilever, selon les normes de référence “ASTM International Standard  suspension protocol” et faisant l ’objet d’une pré-publication, sont particulièrement intéressants. De fait, en réduisant la charge virale présente dans la cavité buccale d’une personne infectée, on peut également espérer diminuer le risque de transmission du virus. Certaines études indiquent également que plus la quantité de virus émise est faible, plus le risque de développer une infection sévère pour la personne contaminée diminue. Les travaux préliminaires présentés par Unilever suggèrent ainsi que des bains de bouche contenant du CPC ajouteraient une sécurité complémentaire, en association avec les gestes barrière. Un des futurs objectifs sera de démontrer la durée d’action de ce type de produit sur la charge virale buccale.

L’utilisation de ces bains de bouche pourrait être particulièrement utile dans toutes les situations où une personne éventuellement infectée ne serait pas en mesure de porter un masque chirurgical ; par exemple pour la réalisation de soins dans la cavité buccale par des professionnels de santé », ajoute le Pr. Vincent Thibault, Chef de service du laboratoire de virologie, CHU de Rennes.

Pour en savoir plus

  • Comment ces essais ont-ils été effectués ? Ces essais ont été menés aux États-Unis par un laboratoire de virologie indépendant de renommée internationale, Microbac Laboratories. Les tests ont été effectués avec un temps de rinçage de 30 et 60secondes, dans le but de reproduire, dans un contexte in vitro, les conditions réelles d’utilisation du bain de bouche.
  • Que montrent les résultats ? Les résultats préliminaires montrent qu’un bain de bouche contenant du CPC permet de réduire la quantité de SARS-CoV-2 de 99,9%, après 30 secondes de rinçage, ce qui correspond au temps d’utilisation classique d’un bain de bouche. Les tests ne suggèrent pas que ce bain de bouche puisse servir de traitement contre la COVID -19, ni qu’il permettra de prévenir la transmission à lui seule. Les mesures barrières (lavage des mains, distanciation sociale et port de masque) recommandées par les autorités de santé doivent être poursuivies.
  • Qu’est-ce que le CPC ? Le chlorure de cétylpyridinium ou CPC est un ingrédient largement utilisé et connu pour ses propriétés antibactériennes et antivirales. Il est d’ores et déjà recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) contre le SARS-CoV-2 dans le cadre de la désinfection et de la stérilisation des établissements de soins de santé.
  • Qu’en est-il de l’alcool présent dans les bains de bouche ? Les bains de bouche contenant de l’alcool (éthanol) en contiennent généralement entre 11 et 14%. Les données à disposition suggèrent qu’à cette concentration et à cette durée d’utilisation du bain de bouche, l’éthanol a peu de chances d’être efficace contre les virus.

UNILEVER

1 Test in vitro tentant de simuler la charge virale dans la bouche.

2 Résultats soumis à un audit final.

3 Résultats soumis à un audit final.

4 Toutes les références aux coronavirus font référence au « SRAS-CoV-2 », la souche virale responsable du Covid-19].

5 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) (Sept. 2020) Mise à jour de la situation de la COVID-19 dans le monde https://www.ecdc.europa.eu/en/geographical-distribution-2019-ncov- cases# : ~ : text=Summary: Since 31 December 2019, reported, including 893 084 deaths.

6 Je limite la transmission du virus en adoptant la bonne conduite à tenir. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_grand_public-2.pdf.

7 Coronavirus. OMS. https://www.who.int/health-topics/coronavirus#tab=tab_1.

8 Fernandes LL, et al. Saliva in the Diagnosis of COVID-19: A Review and New Research Directions. J Dent Res 2020 ; 22034520960070.

9 Wölfel R, et al. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature 2020 ; 581 (7809) : 465-9.

10 Stadnytskyi V, et al. The airborne lifetime of small speech droplets and their potential importance in SARS -CoV-2 transmission Proc NatlAcad Sci U S A. 2020; 117(22):11875-7.

11 Résultats soumis à un audit final.

12 Résultats soumis à un audit final.

13 Résultats soumis à un audit final.

14 Green A, et al. In vitro assessment of the virucidal activity of four mouthwashes containing Cetylpyridinium Chloride, ethanol, zinc and a mix of enzyme and proteins against a human coronavirus. https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.10.28.359257v1.

15 Seneviratne CJ, et al. Efficacy of commercial mouth-rinses on SARS-CoV-2 viral load in saliva : Randomized Control Trial in Singapore (non-Unilever research). https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.14.20186494v1.

Bain de bouche contre Covid

info relayée par Olespiedsbain de bouche et covid

Article bain de bouche contre covid du :
| 04 déc. 2020 | par Unilever | | Partager

De nouvelles données en faveur de l’utilisation du bain de bouche contre la transmission du SARS-CoV-2 vous sont partagée ici sur olespieds.fr

Une nouvelle étude

Parce qu’une nouvelle étude in vitro démontre une efficacité virucide d’un bain de bouche avec la technologie CPC (chlorure de cétylpyridinium) pour réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %.

Cette étude a été réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant, de renommée internationale, Microbac Laboratories, pour le compte d’Unilever Research Laboratories.

Les résultats préliminaires de ces essais montrent qu’une utilisation appropriée d’un bain de bouche contenant la technologie CPC pourrait jouer un rôle important en tant que mesure d’hygiène préventive supplémentaire pour réduire la transmission virale de la COVID-19. En plus de prévenir certains problèmes bucco-dentaires, lorsqu’il est utilisé comme indiqué sur l’emballage.
Le CPC est déjà largement utilisé dans le milieu médical et est connu pour ses propriétés antivirales.

Mise en garde


« Même s’il est évident qu’il ne s’agit ni d’un traitement curatif, ni d’un moyen totalement éprouvé de prévenir la transmission du SARS-CoV-24, les résultats obtenus ici sont très prometteurs. Étant donné le stade critique actuel de la pandémie, nous pensons qu’il est important de les partager afin que les consommateurs soient conscients des avantages potentiels des bains de bouche contenant du CPC. Parallèlement aux autres mesures d’hygiène préventives précise, Glyn Roberts, PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever.

Aujourd’hui

Aujourd’hui, la meilleure façon de se prémunir contre cette maladie qui a causé plus d’un million de décès 5 à travers le monde à ce jour reste les mesures d’hygiène préventives visant à limiter la propagation du SARS-CoV-2. Comme le rappelle le ministère des Solidarités et de la Santé. Il est primordial d’appliquer les mesures barrières suivantes pour limiter la transmission du virus : se laver les mains régulièrement, tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir, se moucher dans un mouchoir à usage unique et se laver les mains après, ne pas serrer les mains et éviter les embrassades, respecter une distance d’au moins 1 mètre avec les autres et enfin porter un masque en public. Sans oublier une bonne hygiène de vie, sport, sommeil, alimentation équilibrée & une séance de réflexologie plantaire à O Les Pieds le plus régulièrement et souvent possible 😉

Des données disponibles

Les données disponibles à date indiquent que le SARS-CoV-2 semble être principalement transmis par les gouttelettes de salive ou les écoulements nasaux lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue, avant, pendant et après la phase aiguë de la maladie, ainsi que dans les cas asymptomatiques. Par conséquent, réduire la charge virale buccale pourrait permettre de réduire la transmission de la COVID-19.

Une nouvelle étude, menée in vitro par l’équipe de Glyn Roberts PhD, responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever, et réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant de renommée internationale — Microbac Laboratories — fournit des preuves d’une activité virucide efficace contre le SARS-CoV-2 d’un bain de bouche avec du CPC (chlorure de cétylpyridinium). Une molécule aux propriétés antiseptiques présentes dans certains bains de bouche. Comme l’explique Glyn Roberts : « Le bain de bouche, qui contient du CPC à hauteur de 0,07 % et que nous avons testé, réduit de 99,9 % la charge virale du SARS-CoV -2, le virus responsable de la COVID-19, après 30 secondes de rinçage».

Les résultats

Les résultats préliminaires de ces essais menés sur le SARS-CoV-2 s’appuient sur des recherches réalisées précédemment par Unilever sur un substitut du virus dont les résultats ont été publiés sur la plateforme bioRxiv, et font suite aux discussions en cours au sein de la communauté médicale et scientifique mondiale sur l’utilisation potentielle d’un bain de bouche contenant du CPC comme mesure complémentaire pour réduire la transmission du virus. Les recherches effectuées sur la durée de l’effet du CPC se poursuivent, mais une étude publiée plus tôt cette année et qui portait sur un petit groupe de patients atteints de la COVID-19 suggère que la charge virale — la quantité de particules virales — pourrait être réduite dans la bouche sur une durée allant jusqu’à 6 heures avec des bains de bouche contenant du CPC15.

Ces résultats d’essais préliminaires montrant l’efficacité du CPC contre le SARS-CoV-2 sont parmi les plus avancés et les derniers d’une large série d’études en cours qui ont pour objectifs d’évaluer l’efficacité des bains de bouche contre un certain nombre de virus. Dans les tests effectués par Unilever, seule la technologie CPC a jusqu’à présent donné des résultats positifs et cohérents contre le SARS-CoV-2.

La preuve

« Les bains de bouche contenant du CPC, produits par d’autres entreprises, pourraient également avoir un effet positif. Nous partageons ici nos résultats dans un esprit d’ouverture et de collaboration avec la communauté scientifique. Nous encourageons les autres laboratoires à poursuivre leurs recherches sur le rôle que les produits d’hygiène buccale pourraient jouer en tant que mesure préventive complémentaire pendant la pandémie. D’éminents scientifiques ont examiné les données issues des recherches d’Unilever et conviennent qu’il est dans l’intérêt général de partager largement ces résultats » déclare Glyn Roberts.

« La cavité buccale est une zone de forte concentration de SARS-CoV-2 : un millilitre de salive peut contenir jusqu’à un million de particules virales. La désinfection de la bouche par l’utilisation régulière d’un bain de bouche est donc un geste simple, peu contraignant qui peut renforcer la série des gestes barrières recommandés par les autorités de santé.

L’étude in vitro conduite par Unilever est la première à démontrer qu’un bain de bouche contenant du CPC permettrait de réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %. D’autres recherches sur la durée de l’effet du CPC suggèrent que la réduction de la charge virale est susceptible d’être durable.

Le CPC

Le CPC est un actif connu depuis plus de 40 ans, largement utilisé en hygiène buccale pour le contrôle de la plaque. Il induit peu de résistances bactériennes lui permettant ainsi d’être globalement bien toléré. De sensation agréable, il permet une utilisation régulière.

Dans le cadre de la pandémie de COVID-19, l’utilisation avant tout soin d’un bain de bouche à base de CPC pourrait donc constituer un nouveau geste barrière qui améliorerait la maitrise de la contamination de la COVID-19 en cabinet dentaire », explique le Pr. Michel Sixou, PU — PH, Professeur en Santé Publique, département d’Épidémiologie et de Prévention (Université Paul Sabatier, Toulouse).

L’explication

« Dans la transmission d’une infection virale, plusieurs éléments jouent des rôles importants : la quantité de virus émise par la personne infectée et la quantité de virus nécessaire au déclenchement de l’infection y tiennent une place majeure. Ainsi, les résultats obtenus sur le CPC par l’étude conduite par Unilever, selon les normes de référence “ASTM International Standard E1052-20 suspension protocole” et faisant l ’objet d’une pré-publication, sont particulièrement intéressants.

De fait, en réduisant la charge virale présente dans la cavité buccale d’une personne infectée, on peut également espérer diminuer le risque de transmission du virus.

Certaines études indiquent également que plus la quantité de virus émise est faible, plus le risque de développer une infection sévère pour la personne contaminée diminue.

Les travaux préliminaires présentés par Unilever suggèrent ainsi que des bains de bouche contenant du CPC ajouteraient une sécurité complémentaire, en association avec les gestes barrière.

Un des futurs objectifs sera de démontrer la durée d’action de ce type de produit sur la charge virale buccale.

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Bain de bouche contre covid

L’utilisation de ces bains de bouche pourrait être particulièrement utile dans toutes les situations où une personne éventuellement infectée ne serait pas en mesure de porter un masque chirurgical ; par exemple pour la réalisation de soins dans la cavité buccale par des professionnels de santé », ajoute le Pr. Vincent Thibault, Chef de service du laboratoire de virologie, CHU de Rennes.

Comment ces essais ont-ils été effectués ?

Ces essais ont été menés aux États-Unis par un laboratoire de virologie indépendant de renommée internationale, Microbac Laboratories. Les tests ont été effectués avec un temps de rinçage de 30 et 60secondes, dans le but de reproduire, dans un contexte in vitro, les conditions réelles d’utilisation du bain de bouche.


Que montrent les résultats ?

Les résultats préliminaires montrent qu’un bain de bouche contenant du CPC permet de réduire la quantité de SARS-CoV-2 de 99,9%, après 30 secondes de rinçage, ce qui correspond au temps d’utilisation classique d’un bain de bouche. Les tests ne suggèrent pas que ce bain de bouche puisse servir de traitement contre la COVID -19, ni qu’il permettra de prévenir la transmission à lui seule. Les mesures barrières (lavage des mains, distanciation sociale et port de masque) recommandées par les autorités de santé doivent être poursuivies.


Qu’est-ce que le CPC ?

Le chlorure de cétylpyridinium ou CPC est un ingrédient largement utilisé et connu pour ses propriétés antibactériennes et antivirales. Il est d’ores et déjà recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) contre le SARS-CoV-2 dans le cadre de la désinfection et de la stérilisation des établissements de soins de santé16.


Qu’en est-il de l’alcool présent dans les bains de bouche ?

Les bains de bouche contenant de l’alcool (éthanol) en contiennent généralement entre 11 et 14%. Les données à disposition suggèrent qu’à cette concentration et à cette durée d’utilisation du bain de bouche, l’éthanol a peu de chances d’être efficace contre les virus17.
UNILEVER

Les sources

1 Test in vitro tentant de simuler la charge virale dans la bouche.

2 Résultats soumis à un audit final.

3 Résultats soumis à un audit final.

4 Toutes les références aux coronavirus font référence au « SRAS-CoV-2 », la souche virale responsable du Covid-19].

5 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) (Sept. 2020) Mise à jour de la situation de la COVID-19 dans le monde https://www.ecdc.europa.eu/en/geographical-distribution-2019-ncov- cases# : ~ : text=Summary: Since 31 December 2019, reported, including 893 084 deaths.

6 Je limite la transmission du virus en adoptant la bonne conduite à tenir. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_grand_public-2.pdf.

7 Coronavirus. OMS. https://www.who.int/health-topics/coronavirus#tab=tab_1.

8 Fernandes LL, et al. Saliva in the Diagnosis of COVID-19: A Review and New Research Directions. J Dent Res 2020 ; 22034520960070.

9 Wölfel R, et al. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature 2020 ; 581 (7809) : 465-9.

10 Stadnytskyi V, et al. The airborne lifetime of small speech droplets and their potential importance in SARS -CoV-2 transmission Proc NatlAcad Sci U S A. 2020; 117(22):11875-7.

11 Résultats soumis à un audit final.

12 Résultats soumis à un audit final.

13 Résultats soumis à un audit final.

14 Green A, et al. In vitro assessment of the virucidal activity of four mouthwashes containing Cetylpyridinium Chloride, ethanol, zinc and a mix of enzyme and proteins against a human coronavirus. https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.10.28.359257v1.

15 Seneviratne CJ, et al. Efficacy of commercial mouth-rinses on SARS-CoV-2 viral load in saliva : Randomized Control Trial in Singapore (non-Unilever research). https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.14.20186494v1.

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