Cabinet de réflexologie plantaire Olespieds

Depuis 2022 dans une cabane, dans un arbre, dans le cocon du guépard Virginie vous reçoit pour le Cabinet de réflexologie plantaire Olespieds 25 avenue Arisitide Briand à Castelanau-le-lez.

Après le Cabinet de Réflexologie Plantaire du Pôle Santé Philippidès qui a déménagé rue du Professeur Grasset toujours à Boutonnet pour vous recevoir.

Virginie Delolme-Forest

06 01 95 91 52

Reflexologue O les Pieds

25 Avenue Aristide Briand

34170 Castelnau-le-lez

41 Avenue Bouisson Bertrand

(Face entrée Clinique Saint Jean Cap Santé)

34090 Montpellier

(voir sur une carte Cabinet O Les Pieds)

Les bienfaits de l’eau, de l’eau informée, même l’hiver !

Pourquoi boire de l’eau informée ?

Elle nous constitue à plus de 70%. Elle nous équilibre, nous vitalise.

L’eau a une structure moléculaire naturelle douce et agréable à boire. L’institut des électro-photoniques de Berlin a effectué des tests complets. Ces tests ont révélé que boire de l’eau vitalisée (eau potable bu à sa source), par rapport à de l’eau potable du robinet ou mise en bouteilles en plastique, améliore le champ bioénergétique humain de plus de 12% tout en diminuant son taux d’anxiété, de stress de 25% !

L’eau… L’eau informée…

Si nous devions protéger, plus que tout, un trésor naturel et planétaire… Continuer la lecture de « Les bienfaits de l’eau, de l’eau informée, même l’hiver ! »

Accompagnement de la douleur

Réflexologie olp accompagne la douleur

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

L’accompagnement de la douleur constitue l’un des motifs de consultation très fréquents en réflexologie.
Douleur aigüe ou chronique, ancienne ou récente, fixe ou changeante, suite à un accident ou survenue ‘sans raison apparente’.
Chaque histoire de douleur est particulière, souvent teintée d’affects.
La douleur est une alerte. Une alerte de lésion potentielle, parfois une douleur ‘psychologique’ consciente ou non.

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

Quoi qu’en soient sa typologie et son origine, elle est là, modulable par le filtre de notre cerveau via l’amygdale.
La réflexologie permet un équilibrage neuro-endocrinien qui donne à la personne en souffrance les capacités à la métaboliser.
Le réflexologue a ainsi au travers de son accompagnement les capacités d’apporter de l’aide.
Il est souvent amené à accompagner des personnes face à leur(s) douleur(s), à la prendre en charge.
Il le fait parfois en dernier ressort lorsque les antalgiques, même puissants, restent sans effet.

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

Au niveau tissulaire, le stress crée comme un enroulement des fascias qui entraine une mauvaise circulation capillaire et veineuse.
Le stress entraîne une plus faible oxygénation, intoxication des tissus par mauvaise évacuation des déchets métaboliques.
La malnutrition des tissus se met ainsi en place et, ceci dans les zones locales comme dans les zones réflexes (chaîne réflexe).
Les voyants d’alertes sont alors au rouge…

Pour qu’un résultat se manifeste rapidement et durablement, il est efficace de travailler les points réflexes très en profondeur.
Parfois même dans des zones réflexes non plantaires.

En quoi consiste l’accompagnement à la douleur ?

Evaluer la douleur, prendre des repères adaptés, écouter et accueillir l’histoire et les émotions qui émergent sont des étapes importantes.
La pratique de la réflexologie plantaire apporte bien souvent une amélioration.
En particulier lorsqu’il s’agit de douleur aigüe.
Alors, connaître et maîtriser cette technique réflexe d’une grande précision peut inhiber la nociception ou sa mémoire.
En quelques secondes parfois ce qui est bien utile.
Les apports de la réflexologie sont très riches et complémentaires.
ll est fréquent que je les combine avec des fleurs de bach et des huiles essentielles.
Lorsque paraît un blocage, l’apport de ces soutiens donne souvent un meilleur résultat : l’information ‘passe’ mieux.

Le rôle de la respiration pour cet accompagnement de la douleur est lui aussi très important.
Celle du praticien et celle de la personne en souffrance.
Il convient donc de s’apprivoiser, se laisser guider.
Et lorsque nécessaire, soutenir le travail de soin, le décupler pour avancer ensemble.

Comment l’accompagnement de la douleur peut-être vu autrement ?

https://www.recherche-reflexologie.org/https-recherche-reflexologie.jimdo.com-2016-10-31-r%C3%A9flexologie-plantaire-apr%C3%A8s-c%C3%A9sarienne/

Traitement de la douleur

Traitement de la douleur via la réflexologie Olp

Selon le Livre Blanc de la Douleur datant de 2017 et établi par la Société Française d’Étude et de Traitement de la Douleur (SFETD) :


12 millions de Français souffrent de douleurs chroniques.

Et, 70% d’entre eux ne reçoivent pas un traitement approprié.


Les traitements mal adaptés manquent d’efficacité, chronicisent les douleurs.
Pire, ils causent souvent des effets secondaires difficiles à supporter, voire des addictions.
De telles situations peuvent s’avérer très invalidantes physiquement et moralement, tant au niveau privé qu’au niveau professionnel.


Bien entendu, une prise en charge inadaptée ou défaillante des patients douloureux entraîne alors d’importants coûts pour la collectivité.


Il existe certes des centres spécialisés qui accueillent les patients douloureux chroniques.
Tels que les centres d’évaluation et de traitement de la douleur (CETD) qui manquent malheureusement de moyens mais qui sont engorgés.
Car on peut expérimenter que pour prendre rendez-vous dans un CETD, il faut avoir été adressé par son médecin, spécialiste ou généraliste, et que le délai pour un premier rendez-vous se situe aux alentours de 3 mois, ce qui est très long quand on souffre.
Une donnée m’a particulièrement interpellée.


Près de 20 % des patients opérés garderaient des séquelles douloureuses après une opération chirurgicale.


Pratiquant des accompagnements avec plusieurs techniques réflexes complémentaires, j’ai pu expérimenter que de nombreuses solutions d’aide souvent efficaces existent.


Alors, les réflexologues ont-ils leur place dans cet accompagnement, et la prennent-il ? Oui et pour preuve :

https://www.recherche-reflexologie.org/2019/12/28/les-effets-de-la-r%C3%A9flexologie-plantaire-sur-les-maux-de-dos-apr%C3%A8s-angiographie-coronaire-un-essai-contr%C3%B4l%C3%A9-randomis%C3%A9/

Réflexologie & burn-out

Prévention avec Olp

Réflexologie & burn-out ou plus exactement : Comment éviter le burn-out lorsque ce trouble psychologique se profile à l’horizon ?
Que signifie vraiment le mot burn-out, et comment l’accompagner ?
De quelle manière la réflexologie peut-elle être une solution efficace pour éviter de sombrer ?

Burn out, kezako ?


L’OMS décrit le burn-out comme un “syndrome résultant d’un stress chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès”.
En tout état de cause, il s’agit d’un état d’épuisement mental, émotionnel, et finalement physique, du à des tensions répétées auxquelles la personne ne peut plus faire face.

3 stades du burn-out :

Le stress aigu, que l’on appelle aussi “phase d’alarme”. A ce moment de la crise, le corps réagit comme en cas d’urgence avec toute la cohorte de réactions biologiques et physiologiques qui s’imposent (augmentation du rythme cardiaque, de la fréquence respiratoire, de la glycémie, du tonus musculaire etc.)
Le stress chronique ou “phase de résistance”. Les situations stressantes sont permanentes, le corps et le mental sont en alerte continue.
Le “burn-in”, puis finalement le “burn-out”, autrement appelés “phase d’épuisement”. On brule ses dernières cartouches. On a conscience d’être en surrégime mais on n’arrive pas à stopper l’emballement. Puis un jour, tout s’arrête brutalement, le moteur cale.

Burn out & réflexologie
Sur le plan physique, la séance va permettre de réduire les taux d’ACTH, adrénaline, cortisol, ocytocine et vasopressine, autrement dit répondre au stress.

Lorsque l’on se trouve en phase 1 ou 2, la réflexologie va nous aider de 2 manières :
Sur le plan physique, la séance va permettre de réduire drastiquement et significativement les taux d’ACTH, adrénaline, cortisol, ocytocine et vasopressine, autrement dit la réponse au stress.
Une étude conduite par Bernard Payraud – cardiologue, Elisabeth Breton – réflexologue et Nathalie Tilly – professeur d’épidémiologie et santé publique, montre même qu’elle est plus efficace que le seul repos.
Sur le plan émotionnel, la verbalisation qui accompagne toute séance de réflexologie holistique, permettra de relativiser ce stress et de le mettre en perspective par rapport à la réalité des choses.
Autrement dit : je prends le temps de me poser (1 heure de séance offre une certaine amplitude).
Je réfléchis à la réalité des événements stressants, la pression professionnelle, la surcharge mentale liée aux tâches domestiques ou autre, méritent-elles que je me stresse autant ? Je lâche prise.
La réflexologie, en soulageant le corps, libère également l’esprit.
Les personnes qui consultent régulièrement un.e réflexologue savent mieux gérer les mécanismes du stress et le subissent moins sur le plan physique.
C’est donc doublement gagnant.

Délogé le burn in installé :

Ici encore, la réflexologie holistique (celle qui considère le corps et l’esprit comme intimement liés) traitera le problème sur 2 fronts :
Le physique : elle permettra de reconstituer les réserves, recharger l’énergie disparue. Elle favorisera un sommeil récupérateur. Elle permettra que vous vous reposiez vraiment et efficacement puisque c’est cela dont vous aurez besoin dans un premier temps. Tous vos organes auront été durement éprouvés, les séances de réflexologie aideront la réparation, la cicatrisation, la régénération, elle mobilisera les ressources d’auto-guérison du corps.
Le mental : sous l’effet de la détente, vous pourrez exprimer et évacuer les pensées parasites qui vous empêchent de reprendre confiance en vous. Séances après séances, vous vous sentirez apaisé et donc plus à même de reprendre une vie normale.
Finalement, vous retrouverez le goût et l’envie d’être actif. Comme cette nouvelle ardeur viendra de vous-même, vous vous sentirez valorisé et renouerez avec ce cercle vertueux qui utilise nos réussites pour nous pousser à l’action.

Il faut donc savoir identifier ce syndrome d’épuisement dès les signes avant-coureurs, et ne pas attendre qu’il s’installe.
Une étude de 2019 montre qu’1 Français sur 3 craint de faire un burn-out un jour.
Ce chiffre monterait à 50 % chez les cadres.
L’OMS le reconnait désormais comme une maladie.
Il y a donc urgence à trouver des solutions.
La réflexologie comme approche non médicamenteuse, aussi bien en prévention qu’en accompagnement, y a toute sa place.

Par Emmanuelle Cossu, réflexologue certifiée et validée du réseau Medoucine.