Comment expliquer le succès des médecines complémentaires ?
Selon une enquête réalisée en 2019 lorsqu’Olespieds c’est installé (par l’institut Harris Interactive pour Santéclair) près de 60% des Français ont consulté un spécialiste en médecine alternative dite médecine complémentaire. Et ce chiffre est en constante augmentation ! Pourtant ces thérapies sont souvent discréditées. Les tenants de la médecine conventionnelle et un certain nombre de médias se moquent régulièrement, les suspectent.
Comment alors comprendre la popularité croissante des médecines complémentaires ?
Premièrement, la médecine conventionnelle est en perte de vitesse. Aujourd’hui, on répertorie plus de 400 médecines complémentaires en France. La phytothérapie, l’acupuncture, l’homéopathie et la naturopathie comptent parmi les plus connues. La réflexologie plantaire les talonne de peu 😉 Aussi appelées médecines alternatives, ces pratiques se différencient par l’usage exclusif de techniques ou de médicaments naturels. Contrairement à la médecine conventionnelle, elles puisent dans les ressources existantes (nature, travail sur la psychologie) pour débloquer des mécanismes de guérison.
Ces dernières années, les médecines complémentaires ont énormément gagné le cœur des Français. Selon une enquête réalisée en 2019 (par l’institut Harris Interactive pour Santéclair)près de 60% de nos compatriotes ont consulté un spécialiste en médecine alternative. Aussi, plus de 40% des Français utilisent régulièrement ces thérapeutiques. Et ces chiffres sont en constante augmentation.
Pourquoi un tel engouement pour ces pratiques vilipendées par les tenants de la médecine officielle ?
Naturelles, non invasives, inoffensives, voilà pourquoi elles ont le vent en poupe ! Ces médecines complémentaires font une percée parce qu’on ne leur connait pas d’effets secondaires. A l’inverse des médicaments classiques qui traînent souvent des scandales (affaire Mediator par exemple). Les médecines alternatives reposent également sur des techniques ou des médicaments naturels qui rassurent et apaisent. Elles ne sont pas invasives ou douloureuses comme la radio et la chirurgie. Par ailleurs, les médecines complémentaires sont extrêmement utiles dans le traitement des maux ou douleurs basiques. Des rhumes, des courbatures ou des maux de tête sont très bien suivis. Elles peuvent en outre soigner des problèmes plus profonds tels que la difficulté d’endormissement, de concentration ou les soucis digestifs.
Chez le thérapeute, en médecines complémentaires, l’attention accordée au patient fait la différence.
Car enfin, les Français préfèrent les médecines alternatives parce qu’elles sont portées sur le respect de l’équilibre naturel (qui évite de tomber malade par la prévention notamment) et surtout sur l’humain. Le Dr Michel Raymond (directeur de recherche au CNRS et auteur du livre Le pouvoir de guérir) souligne justement que ce n’est pas le médicament qui soigne le patient. Il y a aussi l’attitude. L’attitude du médecin dans le supposé effet placebo des médecines alternatives. « Plus il est empathique et avenant, plus il passe de temps avec le patient, plus l’effet placebo va être important », expliquait le Dr Michel Raymond (sur Europe 1, le lundi 18 mai 2020). Ce rôle du médecin est particulièrement déterminant au niveau des enfants. Car, ils considèrent l’adulte comme une personne impressionnante. Et quand le médecin est une femme (la femme serait plus empathique que l’homme), les bénéfices sur la santé du patient seraient plus importants encore.
L’avenir de la médecine n’est-elle dans les médecines complémentaires ?.
« Le véritable effet passe par l’importance que le médecin accorde à son patient ». Ainsi insiste le Dr Michel Raymond. Cela se vérifie particulièrement avec les traitements homéopathiques, devenus des exemples emblématiques de l’effet placebo. « Le médecin homéopathe passe énormément de temps avec son patient, une heure en moyenne, contre moins d’un quart d’heure pour un médecin traditionnel », explique-t-il. Une approche qui fait des médecines complémentaires l’avenir de la médecine
Article paru le 26/05/2020 – Par SafeMed – Médecine iatrogène
Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, tel est l’article du jour proposé par O les pieds.
Article tiré du caducée « Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ».
Le Comité pour le développement durable en santé s’alarme du retour à une désinfection chimique des lieux publics au prétexte d’une lutte contre l’épidémie de Coronavirus SARS-COV-2 et au mépris du code de l’Environnement. Tout en pointant les risques inhérents à un mauvais usage des désinfectants, il rappelle que dans la plupart des cas un nettoyage simple est largement suffisant pour éliminer un virus très sensible aux détergents. Le silence du ministère de la Transition écologique, des ARS et des agences en charge de la qualité des eaux sur ce sujet est pour le moins inquiétant.
Les innombrables recommandations d’organisations publiques nationales et régionales s’abattent sur les professionnels de santé comme sur ceux d’établissements recevant du public. Primum Non Nocere, filiale d’expertise du Comité pour le développement durable en santé, les a recensées et comparées. Elles sont complexes, parfois incohérentes ou contradictoires. Les professionnels de santé sont formés et rompus aux pratiques d’hygiène et disposent d’experts hygiénistes au sein des établissements hospitaliers. Les bonnes pratiques en milieu hospitalier devraient inspirer les autres secteurs économiques. Désinfecter aveuglément ?! Une confusion est entretenue entre le nettoyage et la désinfection. Une question pourtant primordiale à se poser pour respecter la balance bénéfice/risque, alpha et oméga d’une démarche en santé.
« Il faut rappeler que dans un hôpital, seul le sol des blocs opératoires justifie une désinfection, tous les autres sols peuvent simplement être nettoyés. Or, nous assistons actuellement à des désinfections massives inutiles dans des lieux publics : écoles, rues, Ehpad, etc. La peur et la désinformation génèrent la généralisation d’une désinfection chimique massive aux conséquences humaines et environnementales délétères. Il faut stopper cette destruction microbiologique », rappelle le Dr Philippe Carenco, médecin hygiéniste. Les détergents et les savons sont efficaces pour inactiver le virus du Covid, parce que son enveloppe est constituée d’une membrane lipidique. Pour le virus de la grippe par exemple (virus aussi enveloppé), il est démontré que le savonnage actif est plus rapidement efficace pour détruire le virus sur les mains que la simple application d’alcool sans frottage. Il est fort probable qu’il en soit de même pour le coronavirus. Impact de la désinfection : Le ministère de la Santé lançait il y a plus de 10 ans la campagne « Les antibiotiques, c’est pas automatique » sur le bon usage des antibiotiques pour lutter contre les effets d’antibiorésistance, c’est-à-dire l’adaptation des bactéries aux attaques antibiotiques qui mettent en échec le ou les traitements. Cette résistance entraîne de nombreux problèmes de santé publique, car des pathologies évoluent vers des formes plus sévères. Elle génère des bactéries multi-résistantes (BMR) qui sont la cause de 25 000 décès par an (source INSERM). Les mêmes effets délétères d’une utilisation intensive des désinfectants, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires, sont prévisibles et font craindre le renforcement de la mutation des bactéries et virus.
« Les fondamentaux de la santé publique sont oubliés dans cette folle fuite en avant. De même que “Les antibiotiques, c’est pas automatique”, la désinfection ne doit pas devenir une obligation. À court terme, nous devons déjà être très vigilants sur la santé des personnes qui utilisent ces produits. Certains établissements se sont vu proposer des désinfectants avec des allégations commerciales contre le Coronavirus, qui contiennent des substances reconnues dangereuses pour la santé comme des CMR (cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques) et/ou des perturbateurs endocriniens », souligne Olivier Toma, fondateur de l’agence Primum Non Nocere et administrateur du C2DS. Le rejet des désinfectants dans les milieux naturels est règlementé par le code de l’Environnement ! L’article L.1331-10 du code de la Santé publique précise : « Tout déversement d’eaux usées non domestiques dans les égouts publics doit être préalablement autorisé par la collectivité compétente et à laquelle appartiennent les ouvrages qui seront empruntés par ces eaux usées avant de rejoindre le milieu naturel. » L’article L.216-6 du code de l’Environnement prévoit 2 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende pour les contrevenants. Des recommandations contradictoires…
Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation
Le Haut Conseil en santé publique (HCSP) recommande les désinfectants, mais l’Institut national de recherche et sécurité (INRS) ou le ministère du Travail, dans le protocole de déconfinement pour les entreprises par exemple, conseillent les détergents comme virucide, en particulier dans le cas où le virus est dit « enveloppé », ce qui est le cas du Covid-19. « Une analyse bénéfice/risque doit être appliquée pour les milieux hébergeant des personnes sensibles (petite enfance, périnatalité, personnes allergiques) afin de décider du choix de la méthode de nettoyage, pendant l’épidémie de Covid-19, comme au long cours. Les « simples » détergents sont efficaces aussi parce qu’ils sont appliqués avec une action mécanique, le frottement par exemple. Comme à l’hôpital, les sols des écoles, des crèches, des Ehpad ou des restaurants peuvent être simplement nettoyés et non désinfectés », analyse le Dr Carenco. Pas de désinfection sans nettoyage préalable à l’aide d’un détergent. L’état de propreté de la surface conditionne la qualité de la désinfection ultérieure. Il s’agit en effet d’éliminer les matières organiques et les germes présents (bactéries, virus, champignons). De plus, la désinfection est une opération au résultat éphémère : 2 heures en moyenne seulement. Ensuite, les bactéries recolonisent naturellement le milieu (elles n’ont pas forcément besoin d’un hôte pour survivre), et les virus également par le toucher, le postillonnage, etc. Si une désinfection s’impose : comment désinfecter ? La désinfection mécanique, parfaitement efficace, perd du terrain face au tout chimique, dont 3 industriels détiennent 97 % du marché. La désinfection peut se faire de manière mécanique, thermique ou chimique. Des établissements hospitaliers utilisent par exemple la vapeur recommandée par la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), les ultraviolets (utilisé chez O Les Pieds grâce à son four dans son back-office ;-), et la micro-fibre en complément.
Les détergents sont issus soit de la biologie — ils sont appelés alors probiotiques et sont produits par plusieurs entreprises françaises — ; soit issus du pétrole, ils coûtent moins cher et 97 % du marché sont entre les mains de trois entreprises internationales Unilever/Procter&Gamble/Ecolab. « Les industriels du pétrole expliquent que la désinfection est indispensable comme ceux du plastique cherchent à nous convaincre que les surfaces plastiques sont plus hygiéniques.
Nous revenons en arrière et perdons 15 ans de connaissances et de bonnes pratiques !
Cette désinformation est dangereuse et est cautionnée par l’État qui cherche à rassurer la population, même au mépris du code de l’Environnement ou en présence de fortes contradictions. Reprenons nos esprits, analysons la situation et assurons l’hygiène indispensable en priorité avec des produits adaptés et fabriqués en France », explique OlivierToma, fondateur de PNN. Quels sont les impacts environnementaux de cette fuite en avant ? Les désinfectants puissants, utilisés de façon déraisonnée, sont déversés directement dans l’environnement. Une pratique hautement nuisible et totalement disproportionnée dans l’immense majorité des cas.
L’air intérieur se charge en composés organiques volatils issus de ces produits et sa qualité est fortement impactée. Elle est « un enjeu majeur de santé publique » pour l’ANSES. La qualité de l’eau, et en premier lieu sa potabilité via le retour inéluctable des eaux usées, est également impactée.
« La javel (hypochlorite de sodium) est utilisée pour rendre l’eau potable or sa surconsommation actuelle met en péril son approvisionnement pour potabiliser l’eau brute. De plus, les rejets de désinfectants dans les eaux usées altèrent le fonctionnement des stations d’épuration qui utilisent des bactéries pour épurer les égouts. Les rejets au milieu naturel s’ajoutent aux désinfectants répandus hors de tout réseau d’assainissement sur les voiries, les parkings, les milieux extérieurs, et l’ensemble provoque un déséquilibre de la microfaune et de la flore des milieux naturels récepteurs, allant jusqu’à favoriser la résistance bactérienne aux antibiotiques », explique le Dr Carenco. Enfin, les centres antipoison constatent une augmentation des appels de la population. Quelle est la position des multiples administrations en charge de ce sujet ? Le C2DS et l’agence Primum Non Nocere s’inquiètent du silence de nombreuses agences et administrations publiques concernées par ce sujet. Quelle est la position du ministère de la Transition écologique et solidaire sur les recommandations officielles qui entraînent le non-respect du code de l’Environnement ? Quelle est la position des agences régionales de santé qui s’enquièrent de la présence de pesticides dans l’eau, mais ne s’intéressent pas à celle des biocides ? Que disent les organismes chargés de la gestion et la qualité de l’eau ? La « police de l’eau » s’appuie sur des réseaux d’alertes et de mesures et des laboratoires d’analyses (chimie, physique, toxicologie, écotoxicologie, hydrologie, hydrogéologie…). Qu’en disent les 6 Agences de l’eau, la Direction départementale des territoires (DDT), l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la Mission inter-services de l’eau et de la nature (MISEN) pôle de coordination, ainsi que les maires ? A propos ? Comité pour le Développement Durable en Santé (C2DS) Association de loi 1901, le Comité pour le développement durable en santé (C2DS) fédère plus de 500 établissements sanitaires et médico-sociaux de tout type d’activité et de tout statut juridique, engagés ou souhaitant s’engager dans une démarche de développement durable. Il met à disposition de ses adhérents de l’information, des outils opérationnels et de mobilisation, et des formations. Primum Non Nocere® L’agence PNN est une des premières entreprises à mission depuis la loi Pacte en janvier 2020. Elle est fidèle à sa raison d’être inscrite dans ses statuts : « promouvoir un développement pérenne préservant l’environnement et la santé de chacun ». PNN est une agence de conseil et d’accompagnement en développement durable et en santé environnementale notamment dans les secteurs sanitaire et médico-social depuis 10 ans.
Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, O les pieds est d’accord & vous, vous en pensé quoi ? Dites le nous sur FB ou Instagram !
Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ! Prenons soin de notre planète !
La réflexologie plantaire est une méthode thérapeutique. Elle utilise le processus d’autoguérison naturel du corps. Le pied est une représentation miniature du corps humain. Lieu où chaque zone du pied correspond à un organe ou une partie de corps humain. La réflexologie soulage le corps par le pied.
La réflexologie plantaire est une discipline millénaire. Elle est de type massage consistant à stimuler des points réflexes. Points situés au niveau des pieds. Elle était pratiquée dans la Chine ancienne. Les Chinois ont toujours accordé au pied une place importante dans le corps humain. D’ailleurs, l’étymologie du mot « pied » signifie pour eux « partie du corps qui sauvegarde la santé ».
La civilisation ancestrale égyptienne connaissait également cette médecine traditionnelle. Une fresque retrouvée dans la tombe du médecin Ankmahor, datant de 2 300 avant notre ère, représentait déjà des personnages manipulant des pieds.
En Occident, il faudra attendre 1913 pour que le docteur William Fitzgerald introduise la réflexologie. Il découvre que la pression de certains points du pied a des répercussions sur des zones précises du corps. Partant de ce constat, il établit le concept de “théorie des zones” . Fort de ce concept il divise le corps en dix zones d’énergie.
Son assistante, Eunice Ingham, a amélioré et vulgarisé sa théorie. D’ailleurs, elle est l’auteure du premier traité de réflexologie moderne. Dans lequel, elle établit une cartographie détaillée des pieds.
Principe de la réflexologie plantaire
La réflexologie plantaire vise à activer le processus d’autoguérison du corps. A chaque zone du pied correspond un organe ou une fonction du corps humain. En stimulant manuellement ces zones réflexes, il est donc possible d’agir sur les organes ou les fonctions qu’elles représentent. Cette technique de digitopression soulage le corps par le pied.
Il existe d’autres formes de réflexologie : palmaire (les mains) ou auriculaire (les oreilles).
Pourquoi consulter un réflexologue plantaire ?
La réflexologie plantaire est particulièrement recommandée dans trois domaines :
améliorer la qualité de vie de patients atteints de maladie chronique : la réflexologie est utilisée chez des personnes souffrant de sclérose en plaques, de diabète ou de cancer. De nombreuses études démontrent que la réflexologie améliore le bien-être des patients cancéreux. Ils évoquent une baisse de l’anxiété ainsi qu’une meilleure tolérance des effets secondaires de la chimiothérapie ;
diminuer certains maux du quotidien : douleurs dorsales, cervicales, maux de tête et syndrome prémenstruel ;
La réflexologie plantaire se pratique lors de consultations individuelles. Avec une personne formée appellée réflexologue. Une seule séance peut être suffisante pour ressentir un résultat. Mais il est recommandé d’en effectuer plusieurs pour installer une amélioration réelle.
L’objectif pour le patient est d’atteindre un état de santé satisfaisant et de le conserver durablement. Le réflexologue ne se concentre pas uniquement sur la zone douloureuse. Il prend en compte le corps humain dans sa globalité.
Contre-indications à la réflexologie plantaire : Certaines contre-indications à la réflexologie plantaire existent : maladie cardiaque récente, troubles respiratoires, phlébite récente, traumatisme des pieds. La réflexologie est proscrite pendant les trois premiers mois de la grossesse. Il est aussi déconseillé d’y avoir recours en cas d’inflammation ou d’infection des pieds (mycose, verrue…).
Comment se déroule une consultation de réflexologie plantaire ?
Lors de la première séance de réflexologie, la personne précise au réflexologue ses éventuels traitements et son état général de santé. Pour compléter ce bilan, le praticien procède à un examen des pieds, à la recherche d’une éventuelle infection pouvant contre-indiquer cette thérapie manuelle.
Généralement, chaque séance débute par des mouvements de relaxation. Puis, le réflexologue parcourt le pied et la cheville. Ceci, pour y détecter les zones sensibles et les points de tension. Il commence le plus souvent par traiter le pied droit. Où se trouve la représentation de la colonne vertébrale et du diaphragme. Ainsi il va apaiser et améliorer la respiration de la personne. Le réflexologue masse rapidement toutes les zones puis s’attarde sur les zones de tension. Une fois le pied droit traité, il passe au gauche. La séance se termine par un massage relaxant des pieds pour permettre l’éveil du corps.
Comment choisir son réflexologue plantaire ?
La réflexologie est une profession non réglementée et ne bénéficiant pas d’un diplôme d’Etat. Plusieurs écoles existent, mais elles ne proposent pas le même volume d’heures de formation. Pour sélectionner un réflexologue compétent, il est recommandé de choisir son praticien dans l’annuaire de la Fédération française des réflexologues. Ces réflexologues ont suivi une formation dans l’une des huit écoles affiliées à la fédération avec un tronc commun européen de formation. De nombreux réflexologues possèdent un site internet, ils sont généralement une garantie de sérieux et de professionnalisme.
Durée et prix d’une séance de réflexologie plantaire En moyenne, une séance de réflexologie dure une heure. Le prix d’une séance se situe entre 30 et 80 euros. La réflexologie n’est pas remboursée par l’Assurance-maladie. En revanche, certaines mutuelles peuvent prendre une partie des frais en charge, se renseigner auprès de sa mutuelle.
Livres sur la réflexologie plantaire
La Leçon de réflexologie, David Tran, éd. Flammarion.
Manuel complet de réflexologie pour les pieds et les mains, Barbara et Kevin Kunz, éd. Broquet.
Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! D’où l’importance, l’urgence de la prévention !
La pandémie du coronavirus frappe le monde entier depuis plusieurs mois. Nos concitoyens attendent toujours un hypothétique vaccin, ignorant largement les nombreux remèdes naturels qui fortifient l’organisme contre les virus. Cette attitude trouve son explication dans le système de santé français, axé sur le traitement plutôt que sur la prévention. Or à O Les Pieds, nous sommes convaincus qu’une bonne santé fait des économies avec la prévention !
En France, les politiques de santé sont centrées sur le curatif et insuffisamment sur la prévention des risques. Ainsi, le budget alloué annuellement à la prévention reste très faible avec seulement 2 % des dépenses de santé. Dans le même temps, dans nos facultés de médecine, on apprend aux futurs praticiens à traiter une maladie et non à la prévenir.
Or une approche en amont permet de réduire les risques chez les individus et surtout de faire des économies au niveau de l’Etat. Ces économies pourraient être investies judicieusement dans nos hôpitaux en souffrance depuis plusieurs années. Le système de santé français doit changer de paradigme pour adopter une politique de prévention dans une vision globale (comportements, hygiène, modes de vie, etc.). À ce titre, le développement des médecines alternatives constitue une formidable opportunité et certains Français l’ont très bien compris.
Ils misent désormais sur des thérapies comme l’homéopathie et la naturopathie qui fortifient nos défenses naturelles, la réflexologie ! En phytothérapie, par exemple, certaines plantes telles que l’échinacée renforcent l’action des globules blancs et leur pouvoir phagocytaire, tout en stimulant la production d’anticorps par les lymphocytes T. Il y a aussi les huiles essentielles réputées pour aider l’organisme à se défendre contre les agents infectieux pathogènes.
L’Etat doit donner la liberté de choisir ses soins.
Les médecines alternatives ont l’avantage d’appréhender l’individu dans sa globalité. Elles promeuvent un mode de vie sain à travers notamment une hygiène de vie et une alimentation appropriées. Dans ce cadre, on évite les infections ou on tombe peu malade. Et même si la maladie survenait, les défenses immunitaires déjà très solides permettront d’en venir à bout plus facilement.
Par conséquent, la prévention, qu’elle soit primaire (en amont de la maladie), secondaire (à un stade précoce de son évolution) ou tertiaire (sur les complications et les risques de récidive) obtient de meilleurs résultats que le traitement. En plus de miser davantage sur la prévention, les autorités françaises devraient laisser aux citoyens la liberté de choisir leurs soins. Dans un article du quotidien L’Alsace, Gérard, un habitant de Morschwiller-le-Bas (Mulhouse), estime à juste titre qu’« il faudrait que chaque médecin puisse librement proposer ce qu’il pense être le plus adapté à son patient. Et il faudrait permettre à chaque citoyen de pouvoir choisir lui-même son mode de soin, quitte à lui faire signer un document qui engage sa responsabilité ». Il faut sauver des vies dans l’urgence !
Cette liberté de choisir s’impose d’autant que les médecines alternatives ont largement fait leur preuve malgré les polémiques. Elles ont montré des résultats probants là où la médecine allopathique cherche toujours ses repères. Si certains ont le droit d’ignorer ces thérapies, d’autres ont également le droit d’y avoir accès si ces personnes y trouvent leur bien-être. D’ailleurs, le bon sens voudrait qu’on considère tout ce qui peut sauver des vies, surtout dans l’urgence comme c’est le cas avec le Covid-19. Au lieu d’attendre un hypothétique vaccin…
Bonne nouvelle ! La reconnaissance du métier de réflexologue est en marche !
La reconnaissance des professionnels &… de leurs clients avance !
Ainsi vient de paraître le descriptif, la fiche type du réflexologue :
Qui est réflexologue ?
En touchant des zones réflexes spécifiques des pieds, des mains ou du crâne, le réflexologue apporte un mieux-être à ses patients. Généralement à son compte, le réflexologue peut exercer cette activité en complément d’une autre, ou à temps complet comme à O Les Pieds !
Le Niveau minimum d’accès est bac + 3
Le salaire débutant est estimé à 1539 €
Le réflexologue a le statut d’Indépendant
Il agit dans les secteurs professionnels :
de la Santé,
du Social
Ces Centres d’intérêt sont d’être utile aux autres, ayant la vocation de soigner.
Comment se déroule une séance de réflexologie ?
La réflexologie se pratique au cours de séances individuelles qui débutent par un dialogue avec le client pour comprendre sa demande, ce qu’il attend de la séance, les points qui lui sont douloureux, etc.Le réflexologue ne pose pas de diagnostic mais apporte un mieux-être, notamment dans la gestion du stress ou de la douleur, les troubles du sommeil ou de la digestion.
Le réflexologue travaille sur la plante des pieds (réflexologie plantaire), mais il peut aussi s’intéresser à la main (réflexologie palmaire), au visage, au crâne, aux oreilles (réflexologie auriculaire). Ces zones sont constituées de points réflexes que le professionnel stimule par un toucher précis qui libère les facultés d’autorégulation du corps en considérant que chaque zone est la représentation miniaturisée du corps. Chaque point réflexe correspond à un organe, une glande ou une partie du corps. Des pressions sur ces zones permettent donc de localiser les tensions et de rétablir l’équilibre.
Ce qu’implique la reconnaissance du métier de réflexologue ?
Afin de compléter son activité, le réflexologue est amené à animer des ateliers et/ou des conférences sur les différentes techniques et leurs bienfaits. Il participe aux congrès, colloques et autres manifestations pour faire connaître son métier. Enfin, il doit promouvoir et gérer sa structure.
Avant tout, le réflexologue est à l’écoute de son patient pour comprendre sa demande et le mieux-être attendu par la pratique. Il doit aussi être pédagogue pour expliquer ce qu’est la réflexologie et ce qu’elle peut ou ne peut pas apporter au patient, lui conseiller une hygiène de vie pour prolonger les bénéfices de son action ou éviter une récidive.
Le réflexologue doit connaître la cartographie complète des pieds, des mains, du visage et du crâne pour aller y chercher les points réflexes correspondants aux maux de son client. Il doit également être attentif et précis dans ses gestes pour repérer un éventuel point de tension. Ce professionnel peut compléter sa formation pour élargir sa pratique au shiatsu, à l’ostéopathie ou à l’acupuncture, par exemple.
Le réflexologue étant la plupart du temps à son compte, il doit avoir des notions de gestion pour créer et gérer son activité au quotidien. Il doit en outre se faire connaître (site internet, réseaux sociaux, affiches ou flyers, etc.) et ne doit pas hésiter à démarcher les structures autour de chez lui qui peuvent le solliciter ou lui envoyer des clients (hôtels, spa, podologues, médecin, professionnels de santé, maisons de retraites, entreprises, etc.).