#Coronavirus : « la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation »

Hygiène & sécurié

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, tel est l’article du jour proposé par O les pieds.

Article tiré du caducée « Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ».

Le Comité pour le développement durable en santé s’alarme du retour à une désinfection chimique des lieux publics au prétexte d’une lutte contre l’épidémie de Coronavirus SARS-COV-2 et au mépris du code de l’Environnement. Tout en pointant les risques inhérents à un mauvais usage des désinfectants, il rappelle que dans la plupart des cas un nettoyage simple est largement suffisant pour éliminer un virus très sensible aux détergents. Le silence du ministère de la Transition écologique, des ARS et des agences en charge de la qualité des eaux sur ce sujet est pour le moins inquiétant.

La Terre est précieuse, magique & magnifique, fragile, protégeons la !

Les innombrables recommandations d’organisations publiques nationales et régionales s’abattent sur les professionnels de santé comme sur ceux d’établissements recevant du public. Primum Non Nocere, filiale d’expertise du Comité pour le développement durable en santé, les a recensées et comparées. Elles sont complexes, parfois incohérentes ou contradictoires.
Les professionnels de santé sont formés et rompus aux pratiques d’hygiène et disposent d’experts hygiénistes au sein des établissements hospitaliers. Les bonnes pratiques en milieu hospitalier devraient inspirer les autres secteurs économiques.
Désinfecter aveuglément ?!
Une confusion est entretenue entre le nettoyage et la désinfection. Une question pourtant primordiale à se poser pour respecter la balance bénéfice/risque, alpha et oméga d’une démarche en santé.

Stop à l'hygiène excessive qui a un effet dramatique pour l'écologie, notre planète Terre !


« Il faut rappeler que dans un hôpital, seul le sol des blocs opératoires justifie une désinfection, tous les autres sols peuvent simplement être nettoyés. Or, nous assistons actuellement à des désinfections massives inutiles dans des lieux publics : écoles, rues, Ehpad, etc. La peur et la désinformation génèrent la généralisation d’une désinfection chimique massive aux conséquences humaines et environnementales délétères. Il faut stopper cette destruction microbiologique », rappelle le Dr Philippe Carenco, médecin hygiéniste.
Les détergents et les savons sont efficaces pour inactiver le virus du Covid, parce que son enveloppe est constituée d’une membrane lipidique.
Pour le virus de la grippe par exemple (virus aussi enveloppé), il est démontré que le savonnage actif est plus rapidement efficace pour détruire le virus sur les mains que la simple application d’alcool sans frottage. Il est fort probable qu’il en soit de même pour le coronavirus.
Impact de la désinfection :
Le ministère de la Santé lançait il y a plus de 10 ans la campagne « Les antibiotiques, c’est pas automatique » sur le bon usage des antibiotiques pour lutter contre les effets d’antibiorésistance, c’est-à-dire l’adaptation des bactéries aux attaques antibiotiques qui mettent en échec le ou les traitements. Cette résistance entraîne de nombreux problèmes de santé publique, car des pathologies évoluent vers des formes plus sévères. Elle génère des bactéries multi-résistantes (BMR) qui sont la cause de 25 000 décès par an (source INSERM).
Les mêmes effets délétères d’une utilisation intensive des désinfectants, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires, sont prévisibles et font craindre le renforcement de la mutation des bactéries et virus.

Se laver les mains, porter un masque dans les lieux clos, nettoyer au savon régulièrement les surfaces de contact suffit à maintenir une bonne hygiène pour lutter contre le Covid19


« Les fondamentaux de la santé publique sont oubliés dans cette folle fuite en avant. De même que “Les antibiotiques, c’est pas automatique”, la désinfection ne doit pas devenir une obligation. À court terme, nous devons déjà être très vigilants sur la santé des personnes qui utilisent ces produits. Certains établissements se sont vu proposer des désinfectants avec des allégations commerciales contre le Coronavirus, qui contiennent des substances reconnues dangereuses pour la santé comme des CMR (cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques) et/ou des perturbateurs endocriniens », souligne Olivier Toma, fondateur de l’agence Primum Non Nocere et administrateur du C2DS.
Le rejet des désinfectants dans les milieux naturels est règlementé par le code de l’Environnement !
L’article L.1331-10 du code de la Santé publique précise : « Tout déversement d’eaux usées non domestiques dans les égouts publics doit être préalablement autorisé par la collectivité compétente et à laquelle appartiennent les ouvrages qui seront empruntés par ces eaux usées avant de rejoindre le milieu naturel. »
L’article L.216-6 du code de l’Environnement prévoit 2 ans d’emprisonnement et 75 000 €
d’amende pour les contrevenants.
Des recommandations contradictoires…

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation


Le Haut Conseil en santé publique (HCSP) recommande les désinfectants, mais l’Institut national de recherche et sécurité (INRS) ou le ministère du Travail, dans le protocole de déconfinement pour les entreprises par exemple, conseillent les détergents comme virucide, en particulier dans le cas où le virus est dit « enveloppé », ce qui est le cas du Covid-19.
« Une analyse bénéfice/risque doit être appliquée pour les milieux hébergeant des personnes sensibles (petite enfance, périnatalité, personnes allergiques) afin de décider du choix de la méthode de nettoyage, pendant l’épidémie de Covid-19, comme au long cours. Les « simples » détergents sont efficaces aussi parce qu’ils sont appliqués avec une action mécanique, le frottement par exemple. Comme à l’hôpital, les sols des écoles, des crèches, des Ehpad ou des restaurants peuvent être simplement nettoyés et non désinfectés », analyse le Dr Carenco.
Pas de désinfection sans nettoyage préalable à l’aide d’un détergent.
L’état de propreté de la surface conditionne la qualité de la désinfection ultérieure. Il s’agit en effet d’éliminer les matières organiques et les germes présents (bactéries, virus, champignons).
De plus, la désinfection est une opération au résultat éphémère : 2 heures en moyenne seulement.
Ensuite, les bactéries recolonisent naturellement le milieu (elles n’ont pas forcément besoin d’un hôte pour survivre), et les virus également par le toucher, le postillonnage, etc.
Si une désinfection s’impose : comment désinfecter ?
La désinfection mécanique, parfaitement efficace, perd du terrain face au tout chimique, dont 3 industriels détiennent 97 % du marché.
La désinfection peut se faire de manière mécanique, thermique ou chimique.
Des établissements hospitaliers utilisent par exemple la vapeur recommandée par la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), les ultraviolets (utilisé chez O Les Pieds grâce à son four dans son back-office ;-), et la micro-fibre en complément.

Les détergents sont issus soit de la biologie — ils sont appelés alors probiotiques et sont produits par plusieurs entreprises françaises — ; soit issus du pétrole, ils coûtent moins cher et 97 % du marché sont entre les mains de trois entreprises internationales Unilever/Procter&Gamble/Ecolab.
« Les industriels du pétrole expliquent que la désinfection est indispensable comme ceux du plastique cherchent à nous convaincre que les surfaces plastiques sont plus hygiéniques.

Nous revenons en arrière et perdons 15 ans de connaissances et de bonnes pratiques !

Cette désinformation est dangereuse et est cautionnée par l’État qui cherche à rassurer la population, même au mépris du code de l’Environnement ou en présence de fortes contradictions. Reprenons nos esprits, analysons la situation et assurons l’hygiène
indispensable en priorité avec des produits adaptés et fabriqués en France », explique OlivierToma, fondateur de PNN.
Quels sont les impacts environnementaux de cette fuite en avant ? Les désinfectants puissants, utilisés de façon déraisonnée, sont déversés directement dans l’environnement. Une pratique hautement nuisible et totalement disproportionnée dans l’immense majorité des cas.

Le monde pleure, la Terre souffre par la pollution.


L’air intérieur se charge en composés organiques volatils issus de ces produits et sa qualité est fortement impactée. Elle est « un enjeu majeur de santé publique » pour l’ANSES.
La qualité de l’eau, et en premier lieu sa potabilité via le retour inéluctable des eaux usées, est également impactée.

« La javel (hypochlorite de sodium) est utilisée pour rendre l’eau potable or sa surconsommation actuelle met en péril son approvisionnement pour potabiliser l’eau brute. De plus, les rejets de désinfectants dans les eaux usées altèrent le
fonctionnement des stations d’épuration qui utilisent des bactéries pour épurer les égouts. Les rejets au milieu naturel s’ajoutent aux désinfectants répandus hors de tout réseau d’assainissement sur les voiries, les parkings, les milieux extérieurs, et l’ensemble provoque
un déséquilibre de la microfaune et de la flore des milieux naturels récepteurs, allant jusqu’à favoriser la résistance bactérienne aux antibiotiques », explique le Dr Carenco.
Enfin, les centres antipoison constatent une augmentation des appels de la population.
Quelle est la position des multiples administrations en charge de ce sujet ?
Le C2DS et l’agence Primum Non Nocere s’inquiètent du silence de nombreuses agences et administrations publiques concernées par ce sujet.
Quelle est la position du ministère de la Transition écologique et solidaire sur les recommandations officielles qui entraînent le non-respect du code de l’Environnement ?
Quelle est la position des agences régionales de santé qui s’enquièrent de la présence de pesticides dans l’eau, mais ne s’intéressent pas à celle des biocides ?
Que disent les organismes chargés de la gestion et la qualité de l’eau ?
La « police de l’eau » s’appuie sur des réseaux d’alertes et de mesures et des laboratoires d’analyses (chimie, physique, toxicologie, écotoxicologie, hydrologie, hydrogéologie…). Qu’en disent les 6 Agences de l’eau, la Direction départementale des territoires (DDT),
l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la Mission inter-services de l’eau et de la nature (MISEN) pôle de coordination, ainsi que les maires ?
A propos ?
Comité pour le Développement Durable en Santé (C2DS)
Association de loi 1901, le Comité pour le développement durable en santé (C2DS) fédère plus de 500 établissements sanitaires et médico-sociaux de tout type d’activité et de tout statut juridique, engagés ou souhaitant s’engager dans une démarche de développement durable. Il met à disposition de ses adhérents de l’information, des outils opérationnels et de mobilisation, et des formations.
Primum Non Nocere®
L’agence PNN est une des premières entreprises à mission depuis la loi Pacte en janvier 2020. Elle est fidèle à sa raison d’être inscrite dans ses statuts : « promouvoir un développement pérenne préservant l’environnement et la santé de chacun ». PNN est une agence de conseil et d’accompagnement en développement durable et en santé environnementale notamment dans les secteurs sanitaire et médico-social depuis 10 ans.

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Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ! Prenons soin de notre planète !

Réflexo & fin de vie

Coeur du projet ô les pieds faire du bien !

La fin de vie, c’est préparer les adieux avec le monde connu d’ici et se rendre disponible pour l’inconnu.

Notre vie ici n’est qu’un passage, jusqu’au jour où nous aurons le passage à faire…

«La vie est envoi en mission,
et la mort, le retour.»

Huainan Zi, chapitre 7
J’interviens en soins palliatifs avec Dominique, infirmière et réflexologue suisse formée en énergétique chinoise, à l’hôpital de notre petite ville. Nous consacrons environ 30 minutes par patient, et pratiquons soit de la réflexologie plantaire, soit palmaire, soit les deux. Dans les états assez avancés, je privilégie la palmaire, car, si la plantaire agit plus particulièrement sur le physique, la palmaire met l’accent sur l’échange. La main est « le prolongement du cœur », et dans ces moments particuliers, lorsque le corps lâche, il reste encore le cœur, le souffle vital, la « Conscience ». Non pas la « conscience » de l’état éveillé, mais la « Conscience » du Shen, de l’Esprit de Vie, qui œuvre même lorsque nous sommes en dormance…
Le Cœur est le réceptacle de la conscience, et la main en est le prolongement…

Dans ce moment particulier, l’accompagnement réflexologique consiste à apaiser les événements du passé, les choses réussies et moins réussies, les succès et les regrets… par l’expression qui reste encore possible, que ce soit par la mise en mots, ou en regard, ou même simplement en énergie… Processus similaire pour les membres de la famille, qui sont, la plupart du temps, favorables à un temps réflexologique également pour eux. Ils apprécient recevoir, dans cette situation qui ne peut que toucher l’identité profonde, cette écoute accompagnée d’un toucher réflexe. Les séances ne durent parfois que 10 minutes, mais sont d’une grande intensité et mobilisent notre humanité, ce que nous sommes en dehors de notre physicalité et temporalité. Quelle richesse de rencontres, grâce à la réflexologie exercée selon la tradition chinoise.

Mireille

Réflexologie plantaire

Bon cadeau Olespieds

La réflexologie plantaire est une méthode thérapeutique. Elle utilise le processus d’autoguérison naturel du corps. Le pied est une représentation miniature du corps humain. Lieu où chaque zone du pied correspond à un organe ou une partie de corps humain. La réflexologie soulage le corps par le pied.

Réflexologie plantaire, méthode thérapeutique qui utilise le processus d’autoguérison naturel du corps. Formé depuis 8 ans O les pieds en est un expert.

La réflexologie plantaire est une discipline millénaire. Elle est de type massage consistant à stimuler des points réflexes. Points situés au niveau des pieds. Elle était pratiquée dans la Chine ancienne. Les Chinois ont toujours accordé au pied une place importante dans le corps humain. D’ailleurs, l’étymologie du mot « pied » signifie pour eux « partie du corps qui sauvegarde la santé ».

La civilisation ancestrale égyptienne connaissait également cette médecine traditionnelle. Une fresque retrouvée dans la tombe du médecin Ankmahor, datant de 2 300 avant notre ère, représentait déjà des personnages manipulant des pieds.

Réflexologie plantaire, méthode thérapeutique qui utilise le processus d’autoguérison naturel du corps. Formé depuis 8 ans O les pieds en est un expert.

En Occident, il faudra attendre 1913 pour que le docteur William Fitzgerald introduise la réflexologie. Il découvre que la pression de certains points du pied a des répercussions sur des zones précises du corps. Partant de ce constat, il établit le concept de “théorie des zones” . Fort de ce concept il divise le corps en dix zones d’énergie.

Réflexologie plantaire, méthode thérapeutique qui utilise le processus d’autoguérison naturel du corps. Formé depuis 8 ans O les pieds en est un expert.

Son assistante, Eunice Ingham, a amélioré et vulgarisé sa théorie. D’ailleurs, elle est l’auteure du premier traité de réflexologie moderne. Dans lequel, elle établit une cartographie détaillée des pieds.

Réflexologie plantaire, méthode thérapeutique qui utilise le processus d’autoguérison naturel du corps. Formé depuis 8 ans O les pieds en est un expert.

Principe de la réflexologie plantaire

La réflexologie plantaire vise à activer le processus d’autoguérison du corps. A chaque zone du pied correspond un organe ou une fonction du corps humain. En stimulant manuellement ces zones réflexes, il est donc possible d’agir sur les organes ou les fonctions qu’elles représentent. Cette technique de digitopression soulage le corps par le pied.

Il existe d’autres formes de réflexologie : palmaire (les mains) ou auriculaire (les oreilles).

Pourquoi consulter un réflexologue plantaire ?

La réflexologie plantaire est particulièrement recommandée dans trois domaines :

  • améliorer la qualité de vie de patients atteints de maladie chronique : la réflexologie est utilisée chez des personnes souffrant de sclérose en plaques, de diabète ou de cancer. De nombreuses études démontrent que la réflexologie améliore le bien-être des patients cancéreux. Ils évoquent une baisse de l’anxiété ainsi qu’une meilleure tolérance des effets secondaires de la chimiothérapie ;
  • diminuer certains maux du quotidien : douleurs dorsales, cervicales, maux de tête et syndrome prémenstruel ;
  • agir sur le stress.

A lire aussi : La réflexologie plantaire aide à gérer son stress

Comment pratique-t-on la réflexologie plantaire ?

La réflexologie plantaire se pratique lors de consultations individuelles. Avec une personne formée appellée réflexologue. Une seule séance peut être suffisante pour ressentir un résultat. Mais il est recommandé d’en effectuer plusieurs pour installer une amélioration réelle.

L’objectif pour le patient est d’atteindre un état de santé satisfaisant et de le conserver durablement. Le réflexologue ne se concentre pas uniquement sur la zone douloureuse. Il prend en compte le corps humain dans sa globalité.

Contre-indications à la réflexologie plantaire :
Certaines contre-indications à la réflexologie plantaire existent : maladie cardiaque récente, troubles respiratoires, phlébite récente, traumatisme des pieds. La réflexologie est proscrite pendant les trois premiers mois de la grossesse. Il est aussi déconseillé d’y avoir recours en cas d’inflammation ou d’infection des pieds (mycose, verrue…).

Comment se déroule une consultation de réflexologie plantaire ?

Lors de la première séance de réflexologie, la personne précise au réflexologue ses éventuels traitements et son état général de santé. Pour compléter ce bilan, le praticien procède à un examen des pieds, à la recherche d’une éventuelle infection pouvant contre-indiquer cette thérapie manuelle.

Généralement, chaque séance débute par des mouvements de relaxation. Puis, le réflexologue parcourt le pied et la cheville. Ceci, pour y détecter les zones sensibles et les points de tension. Il commence le plus souvent par traiter le pied droit. Où se trouve la représentation de la colonne vertébrale et du diaphragme. Ainsi il va apaiser et améliorer la respiration de la personne. Le réflexologue masse rapidement toutes les zones puis s’attarde sur les zones de tension. Une fois le pied droit traité, il passe au gauche. La séance se termine par un massage relaxant des pieds pour permettre l’éveil du corps.

Comment choisir son réflexologue plantaire ?

La réflexologie est une profession non réglementée et ne bénéficiant pas d’un diplôme d’Etat. Plusieurs écoles existent, mais elles ne proposent pas le même volume d’heures de formation. Pour sélectionner un réflexologue compétent, il est recommandé de choisir son praticien dans l’annuaire de la Fédération française des réflexologues. Ces réflexologues ont suivi une formation dans l’une des huit écoles affiliées à la fédération avec un tronc commun européen de formation. De nombreux réflexologues possèdent un site internet, ils sont généralement une garantie de sérieux et de professionnalisme.

Durée et prix d’une séance de réflexologie plantaire
En moyenne, une séance de réflexologie dure une heure. Le prix d’une séance se situe entre 30 et 80 euros. La réflexologie n’est pas remboursée par l’Assurance-maladie. En revanche, certaines mutuelles peuvent prendre une partie des frais en charge, se renseigner auprès de sa mutuelle.

Livres sur la réflexologie plantaire

  • La Leçon de réflexologie, David Tran, éd. Flammarion.
  • Manuel complet de réflexologie pour les pieds et les mains, Barbara et Kevin Kunz, éd. Broquet.

Article tiré du santé magazine

A lire aussi :

Prévention

Prévention avec Olp

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! D’où l’importance, l’urgence de la prévention !

La pandémie du coronavirus frappe le monde entier depuis plusieurs mois. Nos concitoyens attendent toujours un hypothétique vaccin, ignorant largement les nombreux remèdes naturels qui fortifient l’organisme contre les virus. Cette attitude trouve son explication dans le système de santé français, axé sur le traitement plutôt que sur la prévention.
Or à O Les Pieds, nous sommes convaincus qu’une bonne santé fait des économies avec la prévention !

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! La prévention est importante. La prévention est douce et facile avec le sport, l'alimentation, la réflexologie plantaire O Les Pieds ;-)


En France, les politiques de santé sont centrées sur le curatif et insuffisamment sur la prévention des risques. Ainsi, le budget alloué annuellement à la prévention reste très faible avec seulement 2 % des dépenses de santé. Dans le même temps, dans nos facultés de médecine, on apprend aux futurs praticiens à traiter une maladie et non à la prévenir.

Or une approche en amont permet de réduire les risques chez les individus et surtout de faire des économies au niveau de l’Etat. Ces économies pourraient être investies judicieusement dans nos hôpitaux en souffrance depuis plusieurs années.
Le système de santé français doit changer de paradigme pour adopter une politique de prévention dans une vision globale (comportements, hygiène, modes de vie, etc.). À ce titre, le développement des médecines alternatives constitue une formidable opportunité et certains Français l’ont très bien compris.


Ils misent désormais sur des thérapies comme l’homéopathie et la naturopathie qui fortifient nos défenses naturelles, la réflexologie ! En phytothérapie, par exemple, certaines plantes telles que l’échinacée renforcent l’action des globules blancs et leur pouvoir phagocytaire, tout en stimulant la production d’anticorps par les lymphocytes T. Il y a aussi les huiles essentielles réputées pour aider l’organisme à se défendre contre les agents infectieux pathogènes.

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! La prévention est importante. La prévention est douce et facile avec le sport, l'alimentation, la réflexologie plantaire O Les Pieds ;-)


L’Etat doit donner la liberté de choisir ses soins.


Les médecines alternatives ont l’avantage d’appréhender l’individu dans sa globalité. Elles promeuvent un mode de vie sain à travers notamment une hygiène de vie et une alimentation appropriées. Dans ce cadre, on évite les infections ou on tombe peu malade.
Et même si la maladie survenait, les défenses immunitaires déjà très solides permettront d’en venir à bout plus facilement.

Par conséquent, la prévention, qu’elle soit primaire (en amont de la maladie), secondaire (à un stade précoce de son évolution) ou tertiaire (sur les complications et les risques de récidive) obtient de meilleurs résultats que le traitement.
En plus de miser davantage sur la prévention, les autorités françaises devraient laisser aux citoyens la liberté de choisir leurs soins. Dans un article du quotidien L’Alsace, Gérard, un habitant de Morschwiller-le-Bas (Mulhouse), estime à juste titre qu’« il faudrait que chaque médecin puisse librement proposer ce qu’il pense être le plus adapté à son patient. Et il faudrait permettre à chaque citoyen de pouvoir choisir lui-même son mode de soin, quitte à lui faire signer un document qui engage sa responsabilité ».
Il faut sauver des vies dans l’urgence !


Cette liberté de choisir s’impose d’autant que les médecines alternatives ont largement fait leur preuve malgré les polémiques. Elles ont montré des résultats probants là où la médecine allopathique cherche toujours ses repères. Si certains ont le droit d’ignorer ces thérapies, d’autres ont également le droit d’y avoir accès si ces personnes y trouvent leur bien-être. D’ailleurs, le bon sens voudrait qu’on considère tout ce qui peut sauver des vies, surtout dans l’urgence comme c’est le cas avec le Covid-19. Au lieu d’attendre un hypothétique vaccin…

Propos tirés de l’article 28/05/2020 – Par SafeMed – Médecines intégratives

http://olespieds.fr/virginie/reflexologie/1439/des-etres-de-contact/

Virus, vitalité, réflexologie

Virus, vitalité, réflexologie Olp

Tel est l’article du jour. Mis en avant par O les pieds cette semaine. Ecrit par Jézabel : Virus, vitalité, réflexologie & vous.

Virus (vitalité-réflexologie)

Depuis plus de 3 milliards d’années virus et bactéries sont omniprésents, de manière plus ou moins dense et active.
Dans un même environnement, certaines personnes tombent malades. Elles le sont plus ou moins gravement. & la majorité d’entre elles le portent sans symptômes. Quand d’autres passent au travers…
Certaines intègrent l’information une bonne fois pour toute. Elles sont ainsi protégées (rôle des anti-corps / principe des vaccins).
Chaque interaction, relation entre deux corps (nos cellules et notre environnement, nous et le virus) est différente.
Nos capacités d’adaptation physique, psychique, énergétique nous sont propres.
Car si l’environnement et ses caractéristiques (polluants, virus) jouent un rôle important pour notre Santé, il n’est pas le seul dans l’équation !


Les virus, ne sont pas des organismes vivants mais des chaines protéiques entourées d’une protection lipidique.
Dénués d’intention propre & inertes dans un milieu extra-cellulaire, ils se trouvent néanmoins porteurs innés de différentes stratégies. Ces différents mécanismes d’interaction les rendent capables de proliférer à nos dépends. Entrainant ainsi notre affaiblissement par destruction cellulaire.
Il a été découvert en toute fin du XXè siècle que les virus ont (eu) un rôle dans l’évolution des espèces (à ce titre les virus participent aux processus d’adaptation). Ils font même l’objet de recherches en médecine actuelle pour régulariser des erreurs génétiques ou tumeurs…
‘Mal’ pour l’un, neutre pour un autre, voire… solution dans certains cas ! ?

Vitalité (virus-réflexologie)

Pourquoi la maladie se manifeste chez certaines personnes et pas les autres ?
Réflexologues selon l’énergétique chinoise, nous connaissons l’exploration du ressenti de la notion de vitalité, de corps vital, d’équilibre du Qi.
Equilibré, il forme, au regard de la peau, un filtre efficace. Véritable garant de l’équilibre intérieur / extérieur de notre corps. Le Qi est une protection.
Affinités et résonances vibratoires (en langage commun, être sur la même longueur d’ondes), ce que les physiciens appellent phénomènes de phase pour expliquer des interactions spécifiques (ça passe / ça ne passe pas, intégration/résistance), ont probablement une part dans l’équation.

Et comment va notre intestin ? Sa paroi constitue-t-elle toujours un bon filtre grâce à la contribution d’une flore symbiotique équilibrée ?
Des corrélations ont interpellé des gastro-entérologues ayant fait des recherches sur la flore (et en particulier l’entérobactérie Prévotella) sur des liens possibles entre cette flore et la prévalence d’impact morbide du fameux virus.
Une piste bien cohérente pour l’approche naturopathique (en tous cas, cela me paraît important à explorer).

Les peurs & les insécurités suscitées par la situation actuelle mobilisent nos ressources et nos équilibres élémentaires EAU, TERRE. L’éventuelle révolte, les injustices ressenties viennent impacter notre équilibre BOIS…

Réflexologie (virus-vitalité)

La part des réflexologues et thérapeute en soins naturels, consiste à mettre en œuvre & sensibiliser aux soins, auto-soins. Les professionnels aident à soutenir l’équilibre, le renforcement de ce corps vital, manifestation du Qi. Tout ceci en passant par le développement de la perception de son propre ressenti & de sa propre vitalisation.

Alors, oui, les gestes simples d’hygiène naturelle habituels restent la base & la situation permet de les remémorer !

  • renouveler suffisamment l’air intérieur qui, sauf exception, est plus pollué que l’air extérieur ;
  • secouer, dehors, laisser au soleil, vêtements pour le séchage, couettes et couvertures car les rayons solaires régularisent la prolifération des moisissures, acariens et dénature les chaines protéiques des virus ;
  • laver les mains avec du savon car le corps gras du savon lyse l’enveloppe lipidique protégeant les protéines actives des virus ou les bactéries et l’action mécanique avec l’eau décharge.

A côté des masques, des distances et des lavages de mains, il s’agit de se souvenir que prendre soin de soi c’est prendre soin de son terrain & que c’est aussi déterminant !

N’hésitez pas à rappeler autour de vous cette donnée de l’équation & combien elle compte.


Tissons, soutenons au quotidien des relation saines et une vitalité solide par un Art de vivre, des ressourcements et d’auto-soins !

& ce chacun à notre manière :

  • rires,
  • joie du partage,
  • relations claires et équilibrées,
  • méditation dans nature ou pendant les activités quotidiennes,
  • activités de création,
  • auto-réflexologie,
  • yoga,
  • QI Gong,
  • alimentation vivante…
  • 1001 façons de nous renforcer par la Présence, juste ici et maintenant, en conscience.

Le ‘vivre ensemble’ est bousculé, les pieds bien ancrés dans la terre, bien massés, la tête haute vers le ciel, à bonne distance du stress & hop ! Le fluide vital circule.

Alors gardons la tête fraîche et le cœur chaud pour que notre discernement face aux positionnements à venir soit optimal !