#Coronavirus : « la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation »

Hygiène & sécurié

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, tel est l’article du jour proposé par O les pieds.

Article tiré du caducée « Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ».

Le Comité pour le développement durable en santé s’alarme du retour à une désinfection chimique des lieux publics au prétexte d’une lutte contre l’épidémie de Coronavirus SARS-COV-2 et au mépris du code de l’Environnement. Tout en pointant les risques inhérents à un mauvais usage des désinfectants, il rappelle que dans la plupart des cas un nettoyage simple est largement suffisant pour éliminer un virus très sensible aux détergents. Le silence du ministère de la Transition écologique, des ARS et des agences en charge de la qualité des eaux sur ce sujet est pour le moins inquiétant.

La Terre est précieuse, magique & magnifique, fragile, protégeons la !

Les innombrables recommandations d’organisations publiques nationales et régionales s’abattent sur les professionnels de santé comme sur ceux d’établissements recevant du public. Primum Non Nocere, filiale d’expertise du Comité pour le développement durable en santé, les a recensées et comparées. Elles sont complexes, parfois incohérentes ou contradictoires.
Les professionnels de santé sont formés et rompus aux pratiques d’hygiène et disposent d’experts hygiénistes au sein des établissements hospitaliers. Les bonnes pratiques en milieu hospitalier devraient inspirer les autres secteurs économiques.
Désinfecter aveuglément ?!
Une confusion est entretenue entre le nettoyage et la désinfection. Une question pourtant primordiale à se poser pour respecter la balance bénéfice/risque, alpha et oméga d’une démarche en santé.

Stop à l'hygiène excessive qui a un effet dramatique pour l'écologie, notre planète Terre !


« Il faut rappeler que dans un hôpital, seul le sol des blocs opératoires justifie une désinfection, tous les autres sols peuvent simplement être nettoyés. Or, nous assistons actuellement à des désinfections massives inutiles dans des lieux publics : écoles, rues, Ehpad, etc. La peur et la désinformation génèrent la généralisation d’une désinfection chimique massive aux conséquences humaines et environnementales délétères. Il faut stopper cette destruction microbiologique », rappelle le Dr Philippe Carenco, médecin hygiéniste.
Les détergents et les savons sont efficaces pour inactiver le virus du Covid, parce que son enveloppe est constituée d’une membrane lipidique.
Pour le virus de la grippe par exemple (virus aussi enveloppé), il est démontré que le savonnage actif est plus rapidement efficace pour détruire le virus sur les mains que la simple application d’alcool sans frottage. Il est fort probable qu’il en soit de même pour le coronavirus.
Impact de la désinfection :
Le ministère de la Santé lançait il y a plus de 10 ans la campagne « Les antibiotiques, c’est pas automatique » sur le bon usage des antibiotiques pour lutter contre les effets d’antibiorésistance, c’est-à-dire l’adaptation des bactéries aux attaques antibiotiques qui mettent en échec le ou les traitements. Cette résistance entraîne de nombreux problèmes de santé publique, car des pathologies évoluent vers des formes plus sévères. Elle génère des bactéries multi-résistantes (BMR) qui sont la cause de 25 000 décès par an (source INSERM).
Les mêmes effets délétères d’une utilisation intensive des désinfectants, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires, sont prévisibles et font craindre le renforcement de la mutation des bactéries et virus.

Se laver les mains, porter un masque dans les lieux clos, nettoyer au savon régulièrement les surfaces de contact suffit à maintenir une bonne hygiène pour lutter contre le Covid19


« Les fondamentaux de la santé publique sont oubliés dans cette folle fuite en avant. De même que “Les antibiotiques, c’est pas automatique”, la désinfection ne doit pas devenir une obligation. À court terme, nous devons déjà être très vigilants sur la santé des personnes qui utilisent ces produits. Certains établissements se sont vu proposer des désinfectants avec des allégations commerciales contre le Coronavirus, qui contiennent des substances reconnues dangereuses pour la santé comme des CMR (cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques) et/ou des perturbateurs endocriniens », souligne Olivier Toma, fondateur de l’agence Primum Non Nocere et administrateur du C2DS.
Le rejet des désinfectants dans les milieux naturels est règlementé par le code de l’Environnement !
L’article L.1331-10 du code de la Santé publique précise : « Tout déversement d’eaux usées non domestiques dans les égouts publics doit être préalablement autorisé par la collectivité compétente et à laquelle appartiennent les ouvrages qui seront empruntés par ces eaux usées avant de rejoindre le milieu naturel. »
L’article L.216-6 du code de l’Environnement prévoit 2 ans d’emprisonnement et 75 000 €
d’amende pour les contrevenants.
Des recommandations contradictoires…

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation


Le Haut Conseil en santé publique (HCSP) recommande les désinfectants, mais l’Institut national de recherche et sécurité (INRS) ou le ministère du Travail, dans le protocole de déconfinement pour les entreprises par exemple, conseillent les détergents comme virucide, en particulier dans le cas où le virus est dit « enveloppé », ce qui est le cas du Covid-19.
« Une analyse bénéfice/risque doit être appliquée pour les milieux hébergeant des personnes sensibles (petite enfance, périnatalité, personnes allergiques) afin de décider du choix de la méthode de nettoyage, pendant l’épidémie de Covid-19, comme au long cours. Les « simples » détergents sont efficaces aussi parce qu’ils sont appliqués avec une action mécanique, le frottement par exemple. Comme à l’hôpital, les sols des écoles, des crèches, des Ehpad ou des restaurants peuvent être simplement nettoyés et non désinfectés », analyse le Dr Carenco.
Pas de désinfection sans nettoyage préalable à l’aide d’un détergent.
L’état de propreté de la surface conditionne la qualité de la désinfection ultérieure. Il s’agit en effet d’éliminer les matières organiques et les germes présents (bactéries, virus, champignons).
De plus, la désinfection est une opération au résultat éphémère : 2 heures en moyenne seulement.
Ensuite, les bactéries recolonisent naturellement le milieu (elles n’ont pas forcément besoin d’un hôte pour survivre), et les virus également par le toucher, le postillonnage, etc.
Si une désinfection s’impose : comment désinfecter ?
La désinfection mécanique, parfaitement efficace, perd du terrain face au tout chimique, dont 3 industriels détiennent 97 % du marché.
La désinfection peut se faire de manière mécanique, thermique ou chimique.
Des établissements hospitaliers utilisent par exemple la vapeur recommandée par la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), les ultraviolets (utilisé chez O Les Pieds grâce à son four dans son back-office ;-), et la micro-fibre en complément.

Les détergents sont issus soit de la biologie — ils sont appelés alors probiotiques et sont produits par plusieurs entreprises françaises — ; soit issus du pétrole, ils coûtent moins cher et 97 % du marché sont entre les mains de trois entreprises internationales Unilever/Procter&Gamble/Ecolab.
« Les industriels du pétrole expliquent que la désinfection est indispensable comme ceux du plastique cherchent à nous convaincre que les surfaces plastiques sont plus hygiéniques.

Nous revenons en arrière et perdons 15 ans de connaissances et de bonnes pratiques !

Cette désinformation est dangereuse et est cautionnée par l’État qui cherche à rassurer la population, même au mépris du code de l’Environnement ou en présence de fortes contradictions. Reprenons nos esprits, analysons la situation et assurons l’hygiène
indispensable en priorité avec des produits adaptés et fabriqués en France », explique OlivierToma, fondateur de PNN.
Quels sont les impacts environnementaux de cette fuite en avant ? Les désinfectants puissants, utilisés de façon déraisonnée, sont déversés directement dans l’environnement. Une pratique hautement nuisible et totalement disproportionnée dans l’immense majorité des cas.

Le monde pleure, la Terre souffre par la pollution.


L’air intérieur se charge en composés organiques volatils issus de ces produits et sa qualité est fortement impactée. Elle est « un enjeu majeur de santé publique » pour l’ANSES.
La qualité de l’eau, et en premier lieu sa potabilité via le retour inéluctable des eaux usées, est également impactée.

« La javel (hypochlorite de sodium) est utilisée pour rendre l’eau potable or sa surconsommation actuelle met en péril son approvisionnement pour potabiliser l’eau brute. De plus, les rejets de désinfectants dans les eaux usées altèrent le
fonctionnement des stations d’épuration qui utilisent des bactéries pour épurer les égouts. Les rejets au milieu naturel s’ajoutent aux désinfectants répandus hors de tout réseau d’assainissement sur les voiries, les parkings, les milieux extérieurs, et l’ensemble provoque
un déséquilibre de la microfaune et de la flore des milieux naturels récepteurs, allant jusqu’à favoriser la résistance bactérienne aux antibiotiques », explique le Dr Carenco.
Enfin, les centres antipoison constatent une augmentation des appels de la population.
Quelle est la position des multiples administrations en charge de ce sujet ?
Le C2DS et l’agence Primum Non Nocere s’inquiètent du silence de nombreuses agences et administrations publiques concernées par ce sujet.
Quelle est la position du ministère de la Transition écologique et solidaire sur les recommandations officielles qui entraînent le non-respect du code de l’Environnement ?
Quelle est la position des agences régionales de santé qui s’enquièrent de la présence de pesticides dans l’eau, mais ne s’intéressent pas à celle des biocides ?
Que disent les organismes chargés de la gestion et la qualité de l’eau ?
La « police de l’eau » s’appuie sur des réseaux d’alertes et de mesures et des laboratoires d’analyses (chimie, physique, toxicologie, écotoxicologie, hydrologie, hydrogéologie…). Qu’en disent les 6 Agences de l’eau, la Direction départementale des territoires (DDT),
l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la Mission inter-services de l’eau et de la nature (MISEN) pôle de coordination, ainsi que les maires ?
A propos ?
Comité pour le Développement Durable en Santé (C2DS)
Association de loi 1901, le Comité pour le développement durable en santé (C2DS) fédère plus de 500 établissements sanitaires et médico-sociaux de tout type d’activité et de tout statut juridique, engagés ou souhaitant s’engager dans une démarche de développement durable. Il met à disposition de ses adhérents de l’information, des outils opérationnels et de mobilisation, et des formations.
Primum Non Nocere®
L’agence PNN est une des premières entreprises à mission depuis la loi Pacte en janvier 2020. Elle est fidèle à sa raison d’être inscrite dans ses statuts : « promouvoir un développement pérenne préservant l’environnement et la santé de chacun ». PNN est une agence de conseil et d’accompagnement en développement durable et en santé environnementale notamment dans les secteurs sanitaire et médico-social depuis 10 ans.

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Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ! Prenons soin de notre planète !

Prévention

Prévention avec Olp

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! D’où l’importance, l’urgence de la prévention !

La pandémie du coronavirus frappe le monde entier depuis plusieurs mois. Nos concitoyens attendent toujours un hypothétique vaccin, ignorant largement les nombreux remèdes naturels qui fortifient l’organisme contre les virus. Cette attitude trouve son explication dans le système de santé français, axé sur le traitement plutôt que sur la prévention.
Or à O Les Pieds, nous sommes convaincus qu’une bonne santé fait des économies avec la prévention !

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! La prévention est importante. La prévention est douce et facile avec le sport, l'alimentation, la réflexologie plantaire O Les Pieds ;-)


En France, les politiques de santé sont centrées sur le curatif et insuffisamment sur la prévention des risques. Ainsi, le budget alloué annuellement à la prévention reste très faible avec seulement 2 % des dépenses de santé. Dans le même temps, dans nos facultés de médecine, on apprend aux futurs praticiens à traiter une maladie et non à la prévenir.

Or une approche en amont permet de réduire les risques chez les individus et surtout de faire des économies au niveau de l’Etat. Ces économies pourraient être investies judicieusement dans nos hôpitaux en souffrance depuis plusieurs années.
Le système de santé français doit changer de paradigme pour adopter une politique de prévention dans une vision globale (comportements, hygiène, modes de vie, etc.). À ce titre, le développement des médecines alternatives constitue une formidable opportunité et certains Français l’ont très bien compris.


Ils misent désormais sur des thérapies comme l’homéopathie et la naturopathie qui fortifient nos défenses naturelles, la réflexologie ! En phytothérapie, par exemple, certaines plantes telles que l’échinacée renforcent l’action des globules blancs et leur pouvoir phagocytaire, tout en stimulant la production d’anticorps par les lymphocytes T. Il y a aussi les huiles essentielles réputées pour aider l’organisme à se défendre contre les agents infectieux pathogènes.

Se soigner, c’est prévenir pour mieux guérir ! La prévention est importante. La prévention est douce et facile avec le sport, l'alimentation, la réflexologie plantaire O Les Pieds ;-)


L’Etat doit donner la liberté de choisir ses soins.


Les médecines alternatives ont l’avantage d’appréhender l’individu dans sa globalité. Elles promeuvent un mode de vie sain à travers notamment une hygiène de vie et une alimentation appropriées. Dans ce cadre, on évite les infections ou on tombe peu malade.
Et même si la maladie survenait, les défenses immunitaires déjà très solides permettront d’en venir à bout plus facilement.

Par conséquent, la prévention, qu’elle soit primaire (en amont de la maladie), secondaire (à un stade précoce de son évolution) ou tertiaire (sur les complications et les risques de récidive) obtient de meilleurs résultats que le traitement.
En plus de miser davantage sur la prévention, les autorités françaises devraient laisser aux citoyens la liberté de choisir leurs soins. Dans un article du quotidien L’Alsace, Gérard, un habitant de Morschwiller-le-Bas (Mulhouse), estime à juste titre qu’« il faudrait que chaque médecin puisse librement proposer ce qu’il pense être le plus adapté à son patient. Et il faudrait permettre à chaque citoyen de pouvoir choisir lui-même son mode de soin, quitte à lui faire signer un document qui engage sa responsabilité ».
Il faut sauver des vies dans l’urgence !


Cette liberté de choisir s’impose d’autant que les médecines alternatives ont largement fait leur preuve malgré les polémiques. Elles ont montré des résultats probants là où la médecine allopathique cherche toujours ses repères. Si certains ont le droit d’ignorer ces thérapies, d’autres ont également le droit d’y avoir accès si ces personnes y trouvent leur bien-être. D’ailleurs, le bon sens voudrait qu’on considère tout ce qui peut sauver des vies, surtout dans l’urgence comme c’est le cas avec le Covid-19. Au lieu d’attendre un hypothétique vaccin…

Propos tirés de l’article 28/05/2020 – Par SafeMed – Médecines intégratives

http://olespieds.fr/virginie/reflexologie/1439/des-etres-de-contact/

COVID19

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

| 06 avril 2020 | par Caducee.net | | Partager

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COVID19 : coronavirus et cancer, quelles sont les précautions à prendre ?

En raison de la pandémie de COVID-19 qui sévit actuellement, la Ligue contre le Cancer a publié ses recommandations à destination des personnes atteintes de cancer et leurs proches. Puis-je continuer mes traitements anti-cancer ? Comment se protéger face au coronavirus ? Comment aider un proche malade ? Voici une synthèse des recommandations de la Ligue contre le Cancer proposée par le Dr André Philippe Davody.

COVID19 : Coronavirus : puis-je continuer mon traitement anti-cancer en centre de soins ?

Comme le souligne la Ligue, il ne faut pas interrompre sa chimiothérapie ou ses séances de radiothérapie si le traitement a déjà débuté. Certains traitements peuvent continuer à domicile de façon à réduire le nombre de sorties et de rendez-vous dans votre centre de soins. Si cela n’est pas possible, l’équipe soignante responsable de votre traitement fera le nécessaire pour vous transmettre une prescription de transport.

Concernant l’hormonothérapie, la décision de maintien ou d’arrêt du traitement sera aussi prise par votre médecin. Certains médicaments affaiblissent le système immunitaire. Par exemple, les patients traités pour un cancer de la prostate sous hormonothérapie longue peuvent se montrer plus fragiles face au COVID-19, en fonction du traitement et de son dosage. En cas de doute, parlez-en avec votre médecin habituel.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Ai-je plus de risques d’attraper le COVID19 si je suis un traitement anti-cancer ?

Les personnes atteintes d’un cancer subissent des traitements qui peuvent fragiliser le système immunitaire. De ce fait, elles deviennent plus fragiles face aux infections virales comme le COVID-19.

On estime que le risque de complications respiratoires est 4 à 5 fois plus élevé chez les malades porteurs d’un cancer. Leur développement est par ailleurs plus précipité, notamment lors de traitements récents, comme chez les patients ayant subi une chimiothérapie ou une chirurgie ces dernières semaines.

En cas d’infection au COVID-19, le traitement des personnes atteintes de cancer doit avoir lieu avec toutes les précautions nécessaires : isolement face aux autres patients, services dédiés, etc. Votre médecin peut aussi décider de suspendre votre traitement de façon provisoire. En cas de symptômes ou de contact avec une personne infectée, communiquez au plus vite cette information à votre équipe soignante habituelle.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

COVID19 : Actuellement en rémission, mon traitement passé augmente-t-il mon risque d’attraper le virus ?

Il existe des traitements anti-cancer, comme la chimiothérapie, qui peuvent fragiliser les défenses immunitaires. Certains cancers représentent également un risque accru de contracter le COVID-19. Même en période de rémission et après la fin des traitements, le système immunitaire peut rester fragile, notamment chez les personnes âgées. Il faut donc être extrêmement attentif. On conseille fortement de bien appliquer tous les gestes barrières au quotidien, de respecter les mesures de distanciation sociale, et de signaler tout symptôme anormal à son médecin.

Par ailleurs, la Ligue contre le cancer recommande d’éviter les lieux confinés si vous présentez des symptômes ressemblant à ceux du coronavirus (toux, fièvre, rhume, fatigue importante…). Si vous êtes actuellement en soins de support post cancer, il sera peut-être nécessaire de les interrompre de façon momentanée.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Covid19 : Comment protéger une personne atteinte de cancer ? Que surveiller en tant que proche ?

Si vous vivez avec une personne atteinte d’un cancer, ou si vous vous occupez d’un malade de façon rapprochée, il faut impérativement être attentif aux symptômes d’apparition récente et contacter son médecin en cas de besoin.

Par ailleurs, les gestes barrières doivent être suivis scrupuleusement pour éviter la contamination et la propagation du coronavirus :

  • Lavez-vous les mains toutes les heures (en suivant les recommandations de l’OMS) ;
  • Toussez ou éternuez dans le pli de votre coude ou dans un mouchoir ;
  • Saluez sans se serrer la main et sans embrassades ;
  • Utilisez des mouchoirs à usage unique et jetez-les ;
  • Pratiquez la distanciation sociale et respectez la distance d’au moins un mètre ;
  • Limitez les déplacements et les contacts au strict minimum ;
  • Portez un masque chirurgical en cas de symptômes ;

Éventuellement, évitez provisoirement le contact physique avec la personne atteinte de cancer et privilégiez le téléphone, les messages, et les appels vidéos. Pour autant, pensez à maintenir un lien social rapproché et contactez très régulièrement votre proche par téléphone pour être sûr que tout va bien. Cela est valable pour détecter les soucis de santé, mais aussi pour éviter tout sentiment d’isolement social.

COVID19 : coronavirus et cancer. Précautions à prendre.

Le Dr André Philippe Davody est Chirurgien Urologue, spécialiste en chirurgie robotique (Da Vinci) et en chirurgie urologique. Il est inscrit depuis 1984 au tableau de l’Ordre des Médecins de la ville de Paris ainsi qu’expert près la Cour Administrative d’Appel de Paris depuis 1999.

Ne rien faire, le meilleur moyen de lutter contre le stress et l’anxiété

RéflexoRelax

O Les pieds vous diffuse une tribune utile. Une tribune essentielle (en plus de vos séances de réflexologie plantaire à O Les Pieds ;-). Un article d’Hélène Bert, psychologue clinicienne sur les bienfaits de l’oisiveté. Un texte ou Ne rien faire est le meilleur moyen de lutter contre le stress et l’anxiété !

L’oisiveté

Selon sa définition, l’oisiveté désigne l’état d’une personne n’ayant pas d’activité laborieuse, pas d’occupation ni de contrainte. Est-il possible d’atteindre cet état ? Et si oui, quels sont les effets sur notre santé physique et mentale ?

Entre, ne pas avoir de contrainte, ne rien faire, s’ennuyer ou encore être paresseux, le concept d’oisiveté est très large et tend à évoluer. On commence à voir apparaître, notamment dans les cultures nordiques, une tendance qui invite à reprendre possession de notre temps et accorder à notre cerveau un moment de repos. Par exemple, le développement du « niksen » aux Pays-Bas ou encore le concept danois, le « hygge », qui consiste à créer un cocon de bien-être chez soi avec des bougies, des plaids, des tisanes et autres objets nécessaires à la création d’une ambiance paisible pour favoriser le repos cérébral.

Lâcher prise

Dans notre culture française, où la productivité et la compétition sont valorisées en tant que normes, comment ces concepts sont-ils perçus ? Comme on peut facilement l’imaginer, ils sont bien souvent mal accueillis avec un amalgame autour de la fainéantise et la paresse. Nous le savons bien, en France, la paresse est loin d’être perçue comme une qualité, et pourtant, nous voyons se développer de plus en plus des moments réservés à la sieste, même en entreprise. Et pour cause, elle favoriserait justement la productivité grâce au lâcher-prise.

Déconnecter notre cerveau est également bon pour notre santé. Le corps humain, les cellules et les organes ont besoin de repos pour se régénérer. Selon les travaux de Vincente Saavedra, spécialiste en médecine biologique, avoir trop d’activités entraînent souvent du stress, qui lui entraîne la formation de cortisol, une hormone qui, si produite trop longtemps, va nuire à la santé et provoquer des effets secondaires comme l’obésité, l’hypertension, les reflux gastro-œsophagiens ou encore la baisse du système immunitaire.

Ces impacts négatifs sur la santé renforcent également le mal-être psychique et alimentent un cercle vicieux. Il a été démontré que le fait de rester chez soi et de pratiquer des activités calmes comme la lecture, le jardinage ou la cuisine contribuerait à faire baisser le stress et donc le taux de cortisol.

Ne rien faire

Nous constatons également que ne rien faire est une notion subjective. Beaucoup de personnes pensent que rester chez soi, même en ayant une occupation, s’apparente à ne rien faire et que cela n’est pas valorisant. Je citerais d’ailleurs Christophe André, Psychiatre, sur sa notion de l’oisiveté : « Ne rien faire ne consiste pas à somnoler ou rêvasser, mais à rester pleinement éveillé dans la “non-action”.

La non-action n’est pas de l’inaction, c’est une pleine activité intérieure. On ne fait rien, mais on ressent tout, on voit tout, on écoute tout». Il utilise d’ailleurs pleinement ces techniques de méditation de pleine conscience pour réduire les effets du stress. Je soulignerais également l’importance d’apprendre à nos enfants à ne rien faire au lieu de vouloir sans arrêt remplir leur emploi du temps ou de les abandonner devant leurs écrans. Notre cerveau a en effet besoin de « périodes de jeûne ».

La pleine conscience, c’est savoir s’arrêter pour être. L’ennui est important et même utile pour chacun d’entre nous, il favorise la créativité, pousse à aller vers les autres, et permet de se détendre. Ne cherchons pas constamment à remplir notre temps en regardant chaque jour, chaque heure, chaque minute nos messages, nos mails, nos appels manqués, etc. Laissons-nous quelques instants de tranquillité et réduisons ainsi le stress quotidien.

Contre le stress et l’anxiété vous dit-on ici !

Ne rien faire le meilleur moyen de lutter contre le stress et l’anxiété !

Il a été démontré que des zones du cerveau s’activent lorsque nous ne faisons rien. François Eustache, neuropsychologue, indique même : « ne rien faire c’est vital». Il évoque un état de notre cerveau défini comme « le mode par défaut» qu’il décrit comme une activité cérébrale quand on ne fait rien. Lors de moment d’oisiveté, il est possible de se tourner vers tout un univers inexploité, être dans le moment présent plutôt que de le subir.

Par exemple, dans les embouteillages, à un feu rouge, ou dans les transports en commun, nous allons rapidement stresser et être anxieux de ne pas arriver à l’heure. Pourtant, nous pourrions utiliser ces moments à notre avantage, par exemple, en contemplant les passants, le ciel, en écoutant une musique relaxante pour nous évader un court instant. Si vous faites cela, vous verrez que ces moments de stress quotidiens pourront réellement devenir de petites parenthèses enchantées pour soi. Nous pensons toujours manquer de temps. Utilisons déjà chacun de ces moments, nous les approprier et non plus les subir.

Par Hélène Bert, comité Psychologue.net, psychologue clinicienne

https://www.caducee.net/actualite-medicale/15342/ne-rien-faire-le-meilleur-moyen-de-lutter-contre-le-stress-et-l-anxiete.html?&utm_medium=email&utm_source=nl&utm_campaign=NL82&utm_content=424181

VIRUS, VITALITE, Réflexologie et VOUS…

Virus, vitalité, réflexologie et vous...

Virus, vitalité, réflexologie et vous est une réédition toujours d’actualité depuis sa parution en avril 2020de Jézabel. Bonne lecture !

Depuis plus de 3 milliards d’années virus et bactéries sont omniprésents, de manière plus ou moins dense et active.
Dans un même environnement, certaines personnes tombent malades, plus ou moins gravement, la majorité porte sans symptômes, d’autre passent au travers…
Certains intègrent l’information une bonne fois et sont ainsi protégés (rôle des anti-corps / principe des vaccins).
Chaque interaction, relation entre deux corps (nos cellules et notre environnement, nous et le virus) est différente.


Nos capacités d’adaptation physique, psychique, énergétique sont uniques également.
Car si l’environnement et ses caractéristiques (polluants, virus) jouent un rôle important pour notre Santé, il n’est pas le seul dans l’équation.
Les virus, ne sont pas des organismes vivants mais des chaines protéiques entourées d’une protection lipidique.
Dénués d’intention propre et inertes dans un milieu extra-cellulaire, ils se trouvent néanmoins porteurs innés de différentes stratégies. Ainsi leurs différents mécanismes d’interaction les rendent capables de proliférer à nos dépends. Ils entrainent dès lors notre affaiblissement par destruction cellulaire.
Il a été découvert en toute fin du XXè siècle que les virus ont (eu) un rôle dans l’évolution des espèces (à ce titre les virus participent aux processus d’adaptation). Ils font l’objet de recherches en médecine actuelle pour régulariser des erreurs génétiques ou tumeurs…
‘Mal’ pour l’un, neutre pour un autre, voire solution dans certains cas !

Pourquoi la maladie se manifeste chez certaines personnes et pas les autres ?


Réflexologues selon l’énergétique chinoise, nous connaissons l’exploration du ressenti de la notion de vitalité, de corps vital, d’équilibre du Qi.
Equilibré, il forme, au regard de la peau, un filtre efficace, un garant de l’équilibre intérieur / extérieur de notre corps, une protection.
Affinités et résonances vibratoires (en langage commun être sur la même longueur d’ondes), est ce que les physiciens appellent phénomènes de phase. Ce qui explique des interactions spécifiques (ça passe / ça ne passe pas, intégration/résistance). Ils ont probablement une part dans l’équation.

Et comment va notre intestin ? Sa paroi constitue-t-elle toujours un bon filtre et grâce à la contribution d’une flore symbiotique équilibrée ?
Des corrélations ont interpellé des gastro-entérologues ayant fait des recherches sur la flore (et en particulier l’entérobactérie Prévotella) sur des liens possibles entre cette flore et la prévalence d’impact morbide du fameux virus.
Une piste bien cohérente pour l’approche naturopathique qui paraît important à explorer.

Les peurs et insécurités suscitées par la situation actuelle mobilisent nos ressources et nos équilibres élémentaires EAU, TERRE. L’éventuelle révolte, les injustices ressenties viennent impacter notre équilibre BOIS…

Virus, vitalité, réflexologie plantaire O Les Pieds et vous...
Virus, vitalité, réflexologie et vous…

La part des réflexologues et thérapeute en soins naturels, consiste à mettre en œuvre et sensibiliser aux soins. Soins et auto-soins qui soutiennent l’équilibre et le renforcement de ce corps vital. Corps qui manifeste son Qi, passant par le développement de la perception de son propre ressenti et de sa propre vitalisation.

Gestes simples d’hygiène etVirus, vitalité, réflexologie et vous…

Alors, oui, les gestes simples d’hygiène naturelle habituels restent la base. Ainsi la situation permet de les remémorer à ceux qui les auraient oubliés. C’est-à-dire :

  • Renouveler suffisamment l’air intérieur. Air qui, sauf exception, est plus pollué que l’air extérieur.
  • Secouer dehors, laisser au soleil les vêtements pour le séchage, couettes et couvertures. Car les rayons solaires régularisent la prolifération des moisissures, acariens et dénature les chaines protéiques des virus.
  • Laver les mains avec du savon. Car le corps gras du savon lyse l’enveloppe lipidique protégeant les protéines actives des virus ou les bactéries et l’action mécanique avec l’eau décharge.

A côté des masques, des distances et des lavages de mains, il s’agit plus de se souvenir que prendre soin de notre terrain est aussi déterminant.
Tissons, soutenons au quotidien des relation saines et une vitalité solide par un Art de vivre, des ressourcements et auto-soins. Car, chacun à notre manière :

  • nos rires,
  • notre joie du partage,
  • nos relations claires et équilibrées,
  • nos méditations dans nature ou pendant les activités quotidiennes,
  • nos activités de création,
  • notre auto-réflexologie,
  • yoga,
  • QI Gong,
  • alimentation vivante…

sont nos 1001 façons de nous renforcer par la Présence, juste ici et maintenant, en conscience ! Le ‘vivre ensemble’ est bousculé.

Virus, vitalité, réflexologie et vous…


Les pieds bien ancrés dans la terre, la tête haute vers le ciel, le fluide vital circule.
Alors gardons la tête fraîche et le cœur chaud pour que notre discernement face aux positionnements à venir soit optimal !

Et prenez soin de vous, prenez soin de vos pieds, confiez-les à un réflexologue de qualité tel qu’à O Les Pieds !