Tel est l’article du jour. Mis en avant par O les pieds cette semaine. Ecrit par Jézabel : Virus, vitalité, réflexologie & vous.
Virus (vitalité-réflexologie)
Depuis plus de 3 milliards d’années virus et bactéries sont omniprésents, de manière plus ou moins dense et active. Dans un même environnement, certaines personnes tombent malades. Elles le sont plus ou moins gravement. & la majorité d’entre elles le portent sans symptômes. Quand d’autres passent au travers… Certaines intègrent l’information une bonne fois pour toute. Elles sont ainsi protégées (rôle des anti-corps / principe des vaccins). Chaque interaction, relation entre deux corps (nos cellules et notre environnement, nous et le virus) est différente. Nos capacités d’adaptation physique, psychique, énergétique nous sont propres. Car si l’environnement et ses caractéristiques (polluants, virus) jouent un rôle important pour notre Santé, il n’est pas le seul dans l’équation !
Les virus, ne sont pas des organismes vivants mais des chaines protéiques entourées d’une protection lipidique. Dénués d’intention propre & inertes dans un milieu extra-cellulaire, ils se trouvent néanmoins porteurs innés de différentes stratégies. Ces différents mécanismes d’interaction les rendent capables de proliférer à nos dépends. Entrainant ainsi notre affaiblissement par destruction cellulaire. Il a été découvert en toute fin du XXè siècle que les virus ont (eu) un rôle dans l’évolution des espèces (à ce titre les virus participent aux processus d’adaptation). Ils font même l’objet de recherches en médecine actuelle pour régulariser des erreurs génétiques ou tumeurs… ‘Mal’ pour l’un, neutre pour un autre, voire… solution dans certains cas ! ?
Vitalité (virus-réflexologie)
Pourquoi la maladie se manifeste chez certaines personnes et pas les autres ? Réflexologues selon l’énergétique chinoise, nous connaissons l’exploration du ressenti de la notion de vitalité, de corps vital, d’équilibre du Qi. Equilibré, il forme, au regard de la peau, un filtre efficace. Véritable garant de l’équilibre intérieur / extérieur de notre corps. Le Qi est une protection. Affinités et résonances vibratoires (en langage commun, être sur la même longueur d’ondes), ce que les physiciens appellent phénomènes de phase pour expliquer des interactions spécifiques (ça passe / ça ne passe pas, intégration/résistance), ont probablement une part dans l’équation.
Et comment va notre intestin ? Sa paroi constitue-t-elle toujours un bon filtre grâce à la contribution d’une flore symbiotique équilibrée ? Des corrélations ont interpellé des gastro-entérologues ayant fait des recherches sur la flore (et en particulier l’entérobactérie Prévotella) sur des liens possibles entre cette flore et la prévalence d’impact morbide du fameux virus. Une piste bien cohérente pour l’approche naturopathique (en tous cas, cela me paraît important à explorer).
Les peurs & les insécurités suscitées par la situation actuelle mobilisent nos ressources et nos équilibres élémentaires EAU, TERRE. L’éventuelle révolte, les injustices ressenties viennent impacter notre équilibre BOIS…
Réflexologie (virus-vitalité)
La part des réflexologues et thérapeute en soins naturels, consiste à mettre en œuvre & sensibiliser aux soins, auto-soins. Les professionnels aident à soutenir l’équilibre, le renforcement de ce corps vital, manifestation du Qi. Tout ceci en passant par le développement de la perception de son propre ressenti & de sa propre vitalisation.
Alors, oui, les gestes simples d’hygiène naturelle habituels restent la base & la situation permet de les remémorer !
renouveler suffisamment l’air intérieur qui, sauf exception, est plus pollué que l’air extérieur ;
secouer, dehors, laisser au soleil, vêtements pour le séchage, couettes et couvertures car les rayons solaires régularisent la prolifération des moisissures, acariens et dénature les chaines protéiques des virus ;
laver les mains avec du savon car le corps gras du savon lyse l’enveloppe lipidique protégeant les protéines actives des virus ou les bactéries et l’action mécanique avec l’eau décharge.
A côté des masques, des distances et des lavages de mains, il s’agit de se souvenir que prendre soin de soi c’est prendre soin de son terrain & que c’est aussi déterminant !
N’hésitez pas à rappeler autour de vous cette donnée de l’équation & combien elle compte.
Tissons, soutenons au quotidien des relation saines et une vitalité solide par un Art de vivre, des ressourcements et d’auto-soins !
& ce chacun à notre manière :
rires,
joie du partage,
relations claires et équilibrées,
méditation dans nature ou pendant les activités quotidiennes,
activités de création,
auto-réflexologie,
yoga,
QI Gong,
alimentation vivante…
1001 façons de nous renforcer par la Présence, juste ici et maintenant, en conscience.
Le ‘vivre ensemble’ est bousculé, les pieds bien ancrés dans la terre, bien massés, la tête haute vers le ciel, à bonne distance du stress & hop ! Le fluide vital circule.
Alors gardons la tête fraîche et le cœur chaud pour que notre discernement face aux positionnements à venir soit optimal !
Article bain de bouche contre covid du : | 04 déc. 2020 | par Unilever | | Partager
De nouvelles données en faveur de l’utilisation du bain de bouche contre la transmission du SARS-CoV-2 vous sont partagée ici sur olespieds.fr
Une nouvelle étude
Parce qu’une nouvelle étude in vitro démontre une efficacité virucide d’un bain de bouche avec la technologie CPC (chlorure de cétylpyridinium) pour réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %.
Cette étude a été réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant, de renommée internationale, Microbac Laboratories, pour le compte d’Unilever Research Laboratories.
Les résultats préliminaires de ces essais montrent qu’une utilisation appropriée d’un bain de bouche contenant la technologie CPC pourrait jouer un rôle important en tant que mesure d’hygiène préventive supplémentaire pour réduire la transmission virale de la COVID-19. En plus de prévenir certains problèmes bucco-dentaires, lorsqu’il est utilisé comme indiqué sur l’emballage. Le CPC est déjà largement utilisé dans le milieu médical et est connu pour ses propriétés antivirales.
Mise en garde
« Même s’il est évident qu’il ne s’agit ni d’un traitement curatif, ni d’un moyen totalement éprouvé de prévenir la transmission du SARS-CoV-24, les résultats obtenus ici sont très prometteurs. Étant donné le stade critique actuel de la pandémie, nous pensons qu’il est important de les partager afin que les consommateurs soient conscients des avantages potentiels des bains de bouche contenant du CPC. Parallèlement aux autres mesures d’hygiène préventives précise, Glyn Roberts, PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever.
Aujourd’hui
Aujourd’hui, la meilleure façon de se prémunir contre cette maladie qui a causé plus d’un million de décès 5 à travers le monde à ce jour reste les mesures d’hygiène préventives visant à limiter la propagation du SARS-CoV-2. Comme le rappelle le ministère des Solidarités et de la Santé. Il est primordial d’appliquer les mesures barrières suivantes pour limiter la transmission du virus : se laver les mains régulièrement, tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir, se moucher dans un mouchoir à usage unique et se laver les mains après, ne pas serrer les mains et éviter les embrassades, respecter une distance d’au moins 1 mètre avec les autres et enfin porter un masque en public. Sans oublier une bonne hygiène de vie, sport, sommeil, alimentation équilibrée & une séance de réflexologie plantaire à O Les Pieds le plus régulièrement et souvent possible 😉
Des données disponibles
Les données disponibles à date indiquent que le SARS-CoV-2 semble être principalement transmis par les gouttelettes de salive ou les écoulements nasaux lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue, avant, pendant et après la phase aiguë de la maladie, ainsi que dans les cas asymptomatiques. Par conséquent, réduire la charge virale buccale pourrait permettre de réduire la transmission de la COVID-19.
Une nouvelle étude, menée in vitro par l’équipe de Glyn Roberts PhD, responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever, et réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant de renommée internationale — Microbac Laboratories — fournit des preuves d’une activité virucide efficace contre le SARS-CoV-2 d’un bain de bouche avec du CPC (chlorure de cétylpyridinium). Une molécule aux propriétés antiseptiques présentes dans certains bains de bouche. Comme l’explique Glyn Roberts : « Le bain de bouche, qui contient du CPC à hauteur de 0,07 % et que nous avons testé, réduit de 99,9 % la charge virale du SARS-CoV -2, le virus responsable de la COVID-19, après 30 secondes de rinçage».
Les résultats
Les résultats préliminaires de ces essais menés sur le SARS-CoV-2 s’appuient sur des recherches réalisées précédemment par Unilever sur un substitut du virus dont les résultats ont été publiés sur la plateforme bioRxiv, et font suite aux discussions en cours au sein de la communauté médicale et scientifique mondiale sur l’utilisation potentielle d’un bain de bouche contenant du CPC comme mesure complémentaire pour réduire la transmission du virus. Les recherches effectuées sur la durée de l’effet du CPC se poursuivent, mais une étude publiée plus tôt cette année et qui portait sur un petit groupe de patients atteints de la COVID-19 suggère que la charge virale — la quantité de particules virales — pourrait être réduite dans la bouche sur une durée allant jusqu’à 6 heures avec des bains de bouche contenant du CPC15.
Ces résultats d’essais préliminaires montrant l’efficacité du CPC contre le SARS-CoV-2 sont parmi les plus avancés et les derniers d’une large série d’études en cours qui ont pour objectifs d’évaluer l’efficacité des bains de bouche contre un certain nombre de virus. Dans les tests effectués par Unilever, seule la technologie CPC a jusqu’à présent donné des résultats positifs et cohérents contre le SARS-CoV-2.
La preuve
« Les bains de bouche contenant du CPC, produits par d’autres entreprises, pourraient également avoir un effet positif. Nous partageons ici nos résultats dans un esprit d’ouverture et de collaboration avec la communauté scientifique. Nous encourageons les autres laboratoires à poursuivre leurs recherches sur le rôle que les produits d’hygiène buccale pourraient jouer en tant que mesure préventive complémentaire pendant la pandémie. D’éminents scientifiques ont examiné les données issues des recherches d’Unilever et conviennent qu’il est dans l’intérêt général de partager largement ces résultats » déclare Glyn Roberts.
« La cavité buccale est une zone de forte concentration de SARS-CoV-2 : un millilitre de salive peut contenir jusqu’à un million de particules virales. La désinfection de la bouche par l’utilisation régulière d’un bain de bouche est donc un geste simple, peu contraignant qui peut renforcer la série des gestes barrières recommandés par les autorités de santé.
L’étude in vitro conduite par Unilever est la première à démontrer qu’un bain de bouche contenant du CPC permettrait de réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %. D’autres recherches sur la durée de l’effet du CPC suggèrent que la réduction de la charge virale est susceptible d’être durable.
Le CPC
Le CPC est un actif connu depuis plus de 40 ans, largement utilisé en hygiène buccale pour le contrôle de la plaque. Il induit peu de résistances bactériennes lui permettant ainsi d’être globalement bien toléré. De sensation agréable, il permet une utilisation régulière.
Dans le cadre de la pandémie de COVID-19, l’utilisation avant tout soin d’un bain de bouche à base de CPC pourrait donc constituer un nouveau geste barrière qui améliorerait la maitrise de la contamination de la COVID-19 en cabinet dentaire », explique le Pr. Michel Sixou, PU — PH, Professeur en Santé Publique, département d’Épidémiologie et de Prévention (Université Paul Sabatier, Toulouse).
L’explication
« Dans la transmission d’une infection virale, plusieurs éléments jouent des rôles importants : la quantité de virus émise par la personne infectée et la quantité de virus nécessaire au déclenchement de l’infection y tiennent une place majeure. Ainsi, les résultats obtenus sur le CPC par l’étude conduite par Unilever, selon les normes de référence “ASTM International Standard E1052-20 suspension protocole” et faisant l ’objet d’une pré-publication, sont particulièrement intéressants.
De fait, en réduisant la charge virale présente dans la cavité buccale d’une personne infectée, on peut également espérer diminuer le risque de transmission du virus.
Certaines études indiquent également que plus la quantité de virus émise est faible, plus le risque de développer une infection sévère pour la personne contaminée diminue.
Les travaux préliminaires présentés par Unilever suggèrent ainsi que des bains de bouche contenant du CPC ajouteraient une sécurité complémentaire, en association avec les gestes barrière.
Un des futurs objectifs sera de démontrer la durée d’action de ce type de produit sur la charge virale buccale.
Bain de bouche contre covid
L’utilisation de ces bains de bouche pourrait être particulièrement utile dans toutes les situations où une personne éventuellement infectée ne serait pas en mesure de porter un masque chirurgical ; par exemple pour la réalisation de soins dans la cavité buccale par des professionnels de santé », ajoute le Pr. Vincent Thibault, Chef de service du laboratoire de virologie, CHU de Rennes.
Comment ces essais ont-ils été effectués ?
Ces essais ont été menés aux États-Unis par un laboratoire de virologie indépendant de renommée internationale, Microbac Laboratories. Les tests ont été effectués avec un temps de rinçage de 30 et 60secondes, dans le but de reproduire, dans un contexte in vitro, les conditions réelles d’utilisation du bain de bouche.
Que montrent les résultats ?
Les résultats préliminaires montrent qu’un bain de bouche contenant du CPC permet de réduire la quantité de SARS-CoV-2 de 99,9%, après 30 secondes de rinçage, ce qui correspond au temps d’utilisation classique d’un bain de bouche. Les tests ne suggèrent pas que ce bain de bouche puisse servir de traitement contre la COVID -19, ni qu’il permettra de prévenir la transmission à lui seule. Les mesures barrières (lavage des mains, distanciation sociale et port de masque) recommandées par les autorités de santé doivent être poursuivies.
Qu’est-ce que le CPC ?
Le chlorure de cétylpyridinium ou CPC est un ingrédient largement utilisé et connu pour ses propriétés antibactériennes et antivirales. Il est d’ores et déjà recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) contre le SARS-CoV-2 dans le cadre de la désinfection et de la stérilisation des établissements de soins de santé16.
Qu’en est-il de l’alcool présent dans les bains de bouche ?
Les bains de bouche contenant de l’alcool (éthanol) en contiennent généralement entre 11 et 14%. Les données à disposition suggèrent qu’à cette concentration et à cette durée d’utilisation du bain de bouche, l’éthanol a peu de chances d’être efficace contre les virus17. UNILEVER
Les sources
1 Test in vitro tentant de simuler la charge virale dans la bouche.
2 Résultats soumis à un audit final.
3 Résultats soumis à un audit final.
4 Toutes les références aux coronavirus font référence au « SRAS-CoV-2 », la souche virale responsable du Covid-19].
5 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) (Sept. 2020) Mise à jour de la situation de la COVID-19 dans le monde https://www.ecdc.europa.eu/en/geographical-distribution-2019-ncov- cases# : ~ : text=Summary: Since 31 December 2019, reported, including 893 084 deaths.
6 Je limite la transmission du virus en adoptant la bonne conduite à tenir. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_grand_public-2.pdf.
8 Fernandes LL, et al. Saliva in the Diagnosis of COVID-19: A Review and New Research Directions. J Dent Res 2020 ; 22034520960070.
9 Wölfel R, et al. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature 2020 ; 581 (7809) : 465-9.
10 Stadnytskyi V, et al. The airborne lifetime of small speech droplets and their potential importance in SARS -CoV-2 transmission Proc NatlAcad Sci U S A. 2020; 117(22):11875-7.
11 Résultats soumis à un audit final.
12 Résultats soumis à un audit final.
13 Résultats soumis à un audit final.
14 Green A, et al. In vitro assessment of the virucidal activity of four mouthwashes containing Cetylpyridinium Chloride, ethanol, zinc and a mix of enzyme and proteins against a human coronavirus. https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.10.28.359257v1.
15 Seneviratne CJ, et al. Efficacy of commercial mouth-rinses on SARS-CoV-2 viral load in saliva : Randomized Control Trial in Singapore (non-Unilever research). https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.14.20186494v1.
& surtout, prenez bien soin de vous en faisant appel à la réflexologie plantaire Olespieds 😉