#Coronavirus : « la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation »

Hygiène & sécurié

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation, tel est l’article du jour proposé par O les pieds.

Article tiré du caducée « Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ».

Le Comité pour le développement durable en santé s’alarme du retour à une désinfection chimique des lieux publics au prétexte d’une lutte contre l’épidémie de Coronavirus SARS-COV-2 et au mépris du code de l’Environnement. Tout en pointant les risques inhérents à un mauvais usage des désinfectants, il rappelle que dans la plupart des cas un nettoyage simple est largement suffisant pour éliminer un virus très sensible aux détergents. Le silence du ministère de la Transition écologique, des ARS et des agences en charge de la qualité des eaux sur ce sujet est pour le moins inquiétant.

La Terre est précieuse, magique & magnifique, fragile, protégeons la !

Les innombrables recommandations d’organisations publiques nationales et régionales s’abattent sur les professionnels de santé comme sur ceux d’établissements recevant du public. Primum Non Nocere, filiale d’expertise du Comité pour le développement durable en santé, les a recensées et comparées. Elles sont complexes, parfois incohérentes ou contradictoires.
Les professionnels de santé sont formés et rompus aux pratiques d’hygiène et disposent d’experts hygiénistes au sein des établissements hospitaliers. Les bonnes pratiques en milieu hospitalier devraient inspirer les autres secteurs économiques.
Désinfecter aveuglément ?!
Une confusion est entretenue entre le nettoyage et la désinfection. Une question pourtant primordiale à se poser pour respecter la balance bénéfice/risque, alpha et oméga d’une démarche en santé.

Stop à l'hygiène excessive qui a un effet dramatique pour l'écologie, notre planète Terre !


« Il faut rappeler que dans un hôpital, seul le sol des blocs opératoires justifie une désinfection, tous les autres sols peuvent simplement être nettoyés. Or, nous assistons actuellement à des désinfections massives inutiles dans des lieux publics : écoles, rues, Ehpad, etc. La peur et la désinformation génèrent la généralisation d’une désinfection chimique massive aux conséquences humaines et environnementales délétères. Il faut stopper cette destruction microbiologique », rappelle le Dr Philippe Carenco, médecin hygiéniste.
Les détergents et les savons sont efficaces pour inactiver le virus du Covid, parce que son enveloppe est constituée d’une membrane lipidique.
Pour le virus de la grippe par exemple (virus aussi enveloppé), il est démontré que le savonnage actif est plus rapidement efficace pour détruire le virus sur les mains que la simple application d’alcool sans frottage. Il est fort probable qu’il en soit de même pour le coronavirus.
Impact de la désinfection :
Le ministère de la Santé lançait il y a plus de 10 ans la campagne « Les antibiotiques, c’est pas automatique » sur le bon usage des antibiotiques pour lutter contre les effets d’antibiorésistance, c’est-à-dire l’adaptation des bactéries aux attaques antibiotiques qui mettent en échec le ou les traitements. Cette résistance entraîne de nombreux problèmes de santé publique, car des pathologies évoluent vers des formes plus sévères. Elle génère des bactéries multi-résistantes (BMR) qui sont la cause de 25 000 décès par an (source INSERM).
Les mêmes effets délétères d’une utilisation intensive des désinfectants, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires, sont prévisibles et font craindre le renforcement de la mutation des bactéries et virus.

Se laver les mains, porter un masque dans les lieux clos, nettoyer au savon régulièrement les surfaces de contact suffit à maintenir une bonne hygiène pour lutter contre le Covid19


« Les fondamentaux de la santé publique sont oubliés dans cette folle fuite en avant. De même que “Les antibiotiques, c’est pas automatique”, la désinfection ne doit pas devenir une obligation. À court terme, nous devons déjà être très vigilants sur la santé des personnes qui utilisent ces produits. Certains établissements se sont vu proposer des désinfectants avec des allégations commerciales contre le Coronavirus, qui contiennent des substances reconnues dangereuses pour la santé comme des CMR (cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques) et/ou des perturbateurs endocriniens », souligne Olivier Toma, fondateur de l’agence Primum Non Nocere et administrateur du C2DS.
Le rejet des désinfectants dans les milieux naturels est règlementé par le code de l’Environnement !
L’article L.1331-10 du code de la Santé publique précise : « Tout déversement d’eaux usées non domestiques dans les égouts publics doit être préalablement autorisé par la collectivité compétente et à laquelle appartiennent les ouvrages qui seront empruntés par ces eaux usées avant de rejoindre le milieu naturel. »
L’article L.216-6 du code de l’Environnement prévoit 2 ans d’emprisonnement et 75 000 €
d’amende pour les contrevenants.
Des recommandations contradictoires…

Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation


Le Haut Conseil en santé publique (HCSP) recommande les désinfectants, mais l’Institut national de recherche et sécurité (INRS) ou le ministère du Travail, dans le protocole de déconfinement pour les entreprises par exemple, conseillent les détergents comme virucide, en particulier dans le cas où le virus est dit « enveloppé », ce qui est le cas du Covid-19.
« Une analyse bénéfice/risque doit être appliquée pour les milieux hébergeant des personnes sensibles (petite enfance, périnatalité, personnes allergiques) afin de décider du choix de la méthode de nettoyage, pendant l’épidémie de Covid-19, comme au long cours. Les « simples » détergents sont efficaces aussi parce qu’ils sont appliqués avec une action mécanique, le frottement par exemple. Comme à l’hôpital, les sols des écoles, des crèches, des Ehpad ou des restaurants peuvent être simplement nettoyés et non désinfectés », analyse le Dr Carenco.
Pas de désinfection sans nettoyage préalable à l’aide d’un détergent.
L’état de propreté de la surface conditionne la qualité de la désinfection ultérieure. Il s’agit en effet d’éliminer les matières organiques et les germes présents (bactéries, virus, champignons).
De plus, la désinfection est une opération au résultat éphémère : 2 heures en moyenne seulement.
Ensuite, les bactéries recolonisent naturellement le milieu (elles n’ont pas forcément besoin d’un hôte pour survivre), et les virus également par le toucher, le postillonnage, etc.
Si une désinfection s’impose : comment désinfecter ?
La désinfection mécanique, parfaitement efficace, perd du terrain face au tout chimique, dont 3 industriels détiennent 97 % du marché.
La désinfection peut se faire de manière mécanique, thermique ou chimique.
Des établissements hospitaliers utilisent par exemple la vapeur recommandée par la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), les ultraviolets (utilisé chez O Les Pieds grâce à son four dans son back-office ;-), et la micro-fibre en complément.

Les détergents sont issus soit de la biologie — ils sont appelés alors probiotiques et sont produits par plusieurs entreprises françaises — ; soit issus du pétrole, ils coûtent moins cher et 97 % du marché sont entre les mains de trois entreprises internationales Unilever/Procter&Gamble/Ecolab.
« Les industriels du pétrole expliquent que la désinfection est indispensable comme ceux du plastique cherchent à nous convaincre que les surfaces plastiques sont plus hygiéniques.

Nous revenons en arrière et perdons 15 ans de connaissances et de bonnes pratiques !

Cette désinformation est dangereuse et est cautionnée par l’État qui cherche à rassurer la population, même au mépris du code de l’Environnement ou en présence de fortes contradictions. Reprenons nos esprits, analysons la situation et assurons l’hygiène
indispensable en priorité avec des produits adaptés et fabriqués en France », explique OlivierToma, fondateur de PNN.
Quels sont les impacts environnementaux de cette fuite en avant ? Les désinfectants puissants, utilisés de façon déraisonnée, sont déversés directement dans l’environnement. Une pratique hautement nuisible et totalement disproportionnée dans l’immense majorité des cas.

Le monde pleure, la Terre souffre par la pollution.


L’air intérieur se charge en composés organiques volatils issus de ces produits et sa qualité est fortement impactée. Elle est « un enjeu majeur de santé publique » pour l’ANSES.
La qualité de l’eau, et en premier lieu sa potabilité via le retour inéluctable des eaux usées, est également impactée.

« La javel (hypochlorite de sodium) est utilisée pour rendre l’eau potable or sa surconsommation actuelle met en péril son approvisionnement pour potabiliser l’eau brute. De plus, les rejets de désinfectants dans les eaux usées altèrent le
fonctionnement des stations d’épuration qui utilisent des bactéries pour épurer les égouts. Les rejets au milieu naturel s’ajoutent aux désinfectants répandus hors de tout réseau d’assainissement sur les voiries, les parkings, les milieux extérieurs, et l’ensemble provoque
un déséquilibre de la microfaune et de la flore des milieux naturels récepteurs, allant jusqu’à favoriser la résistance bactérienne aux antibiotiques », explique le Dr Carenco.
Enfin, les centres antipoison constatent une augmentation des appels de la population.
Quelle est la position des multiples administrations en charge de ce sujet ?
Le C2DS et l’agence Primum Non Nocere s’inquiètent du silence de nombreuses agences et administrations publiques concernées par ce sujet.
Quelle est la position du ministère de la Transition écologique et solidaire sur les recommandations officielles qui entraînent le non-respect du code de l’Environnement ?
Quelle est la position des agences régionales de santé qui s’enquièrent de la présence de pesticides dans l’eau, mais ne s’intéressent pas à celle des biocides ?
Que disent les organismes chargés de la gestion et la qualité de l’eau ?
La « police de l’eau » s’appuie sur des réseaux d’alertes et de mesures et des laboratoires d’analyses (chimie, physique, toxicologie, écotoxicologie, hydrologie, hydrogéologie…). Qu’en disent les 6 Agences de l’eau, la Direction départementale des territoires (DDT),
l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la Mission inter-services de l’eau et de la nature (MISEN) pôle de coordination, ainsi que les maires ?
A propos ?
Comité pour le Développement Durable en Santé (C2DS)
Association de loi 1901, le Comité pour le développement durable en santé (C2DS) fédère plus de 500 établissements sanitaires et médico-sociaux de tout type d’activité et de tout statut juridique, engagés ou souhaitant s’engager dans une démarche de développement durable. Il met à disposition de ses adhérents de l’information, des outils opérationnels et de mobilisation, et des formations.
Primum Non Nocere®
L’agence PNN est une des premières entreprises à mission depuis la loi Pacte en janvier 2020. Elle est fidèle à sa raison d’être inscrite dans ses statuts : « promouvoir un développement pérenne préservant l’environnement et la santé de chacun ». PNN est une agence de conseil et d’accompagnement en développement durable et en santé environnementale notamment dans les secteurs sanitaire et médico-social depuis 10 ans.

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Coronavirus : la désinfection chimique ne doit pas devenir une obligation ! Prenons soin de notre planète !

Réflexo & fin de vie

Coeur du projet ô les pieds faire du bien !

La fin de vie, c’est préparer les adieux avec le monde connu d’ici et se rendre disponible pour l’inconnu.

Notre vie ici n’est qu’un passage, jusqu’au jour où nous aurons le passage à faire…

«La vie est envoi en mission,
et la mort, le retour.»

Huainan Zi, chapitre 7
J’interviens en soins palliatifs avec Dominique, infirmière et réflexologue suisse formée en énergétique chinoise, à l’hôpital de notre petite ville. Nous consacrons environ 30 minutes par patient, et pratiquons soit de la réflexologie plantaire, soit palmaire, soit les deux. Dans les états assez avancés, je privilégie la palmaire, car, si la plantaire agit plus particulièrement sur le physique, la palmaire met l’accent sur l’échange. La main est « le prolongement du cœur », et dans ces moments particuliers, lorsque le corps lâche, il reste encore le cœur, le souffle vital, la « Conscience ». Non pas la « conscience » de l’état éveillé, mais la « Conscience » du Shen, de l’Esprit de Vie, qui œuvre même lorsque nous sommes en dormance…
Le Cœur est le réceptacle de la conscience, et la main en est le prolongement…

Dans ce moment particulier, l’accompagnement réflexologique consiste à apaiser les événements du passé, les choses réussies et moins réussies, les succès et les regrets… par l’expression qui reste encore possible, que ce soit par la mise en mots, ou en regard, ou même simplement en énergie… Processus similaire pour les membres de la famille, qui sont, la plupart du temps, favorables à un temps réflexologique également pour eux. Ils apprécient recevoir, dans cette situation qui ne peut que toucher l’identité profonde, cette écoute accompagnée d’un toucher réflexe. Les séances ne durent parfois que 10 minutes, mais sont d’une grande intensité et mobilisent notre humanité, ce que nous sommes en dehors de notre physicalité et temporalité. Quelle richesse de rencontres, grâce à la réflexologie exercée selon la tradition chinoise.

Mireille

Des êtres de contact

Calin thérapie

Si la téléconsultation a subi un formidable essor et a rendu d’indiscutables services face à la panique et aux interdits du moment. Cet instrument a mis tout autant en valeur ce dont a le plus besoin la médecine, aujourd’hui : le contact, l’humanisme !


De l’urgente nécessité de la reprise des liens humains !


La durée du confinement a mis en évidence le besoin viscéral des personnes. Se parler, se regarder, échanger de visu c’est important. Nous sommes des êtres de contact ! Des êtres de contact, certes mais de chair qui plus est ! Ce que nous avons vécu a été un supplice pour beaucoup d’entre nous.


Il existe tellement d’éléments infra-verbaux, indicibles à la simple attention orale, qui se passent dans le regard, l’attitude, le comportement…
D’où l’urgente nécessité de la reprise des liens humains !

Nous avons tellement développé, avec la mondialisation, la finesse de nos capacités de perception et de lecture des ressentis de chacun, qu’il est une évidence, pour tout médecin attaché à la spécificité de l’interrogatoire et de l’examen clinique, que la consultation téléphonique n’est qu’un triste palliatif à notre condition !


Au-delà de l’utilité de l’interrogatoire pour le médecin qui sert également à rassurer (tout simplement) le patient inquiet de sa maladie, n’en va-t-il pas de même pour tout un chacun dans ses besoins relationnels ?
Nous ressentons tous la nécessité de se rapprocher, de se retrouver, de vivre la présence de l’autre, de se toucher, d’exprimer de la tendresse en sachant que celle-ci passe avant tout par la proximité réelle, la chaleur, l’expression du regard…
Ne percevons-nous pas une certaine tension, une certaine irritabilité intérieure à vivre cette sécheresse de l’absence de la relation où chacun est éloigné, où nous dépendons de l’outil technique ?
A quand, la prochaine partie de foot pour nos adolescents ; à quand, la prochaine virée dans un bar ; à quand un bon cinoche pour ressentir les vraies émotions nous envahir, devant le grand écran… ?
Raisonnablement, tout cela peut paraître secondaire, sans importance face au danger du virus.

Mais inversement, à quoi nous sert-il de vivre durablement cette « pauvreté » si c’est pour rester continuellement dans l’hiver ? Est-ce l’esprit de l’humanité de se refermer durablement sur lui-même, de vivre dans la peur, de marcher avec le frein à main en permanence ?


Peu à peu nous sentons que l’esprit d’extrême prudence actuellement édicté va de plus en plus être remis en question ; que l’absence de vie réelle, l’absence d’engagement social et sociétal pour chacun, le ralentissement de l’économie va de plus en plus se faire entendre.
Prenons l’exemple des soignants qui sont honorés chaque soir.
Mais que ressentent donc ces mêmes soignants, dont je suis, à voir leurs services hospitaliers, leurs cliniques privées, à moitié vide depuis 2 mois ; nos cabinets médicaux ne plus recevoir que des urgences ; nos centres thermaux et l’ensemble des curistes qui y séjournent être interdits de séjour.
Peut-être qu’en dehors des urgences vitales, la médecine ne sert à rien, après tout ?
Peut-être que nos soins n’ont pour principal but que de les sortir de leur ennui, en temps normal ?
Peut-être que la chronicité d’une maladie ne justifie plus de suivi ni de prévention et que seul comptera désormais le renouvellement occasionnel des médicaments ?
Peut-être que l’examen médical ne servira plus que pour distinguer l’abdomen souple de la gastroentérite, du ventre dur signifiant un début de péritonite ?
Un projet pour demain : laisser les patients revenir voir les soignants
Je lance un cri :
Hormis dans les centres de réanimation davantage chargés aujourd’hui qu’avant, la plupart de nos lieux d’activité médicale tournent à régime réduit ! N’est-ce pas regrettable et illogique ?
Les soignants demandent qu’on les laisse travailler et que l’on cesse d’apeurer les patients en leur conseillant de rester chez eux.
Nous souhaitons reprendre nos entretiens en cabinet et ne pas laisser germer de nouveau problème de santé pour nombre de nos concitoyens !
Encourageons les patients à revenir vers nous, y compris dans nos établissements de soin !
Préconisons à tous nos dépressifs qui perdent peu à peu espoir et la force de tenir dans cette épreuve, de se faire soigner comme il se doit, que ce soit dans nos cabinets désormais sécurisés, dans nos hôpitaux et cliniques psychiatriques privées qui sont structurées et équipées en masques, tests, et unités covid, mais aussi dans nos établissements thermaux qui sont des lieux formidablement organisés pour devenir des centres de « déconfinement » pour décompensations anxieuses, dont le nombre ne cessera évidemment de croître dans les prochains mois.

Docteur Olivier Dubois

Gommage des pieds !

Bain de pieds

Pour des pieds prêts à se montrer…

Gommage des pieds ! O les pieds a opté pour des pieds massés, des pieds reposés, des pieds sains ! Des pieds prêts à respirer & à être montré ! Alors, tous au gommage de pieds !

Car O les pieds vous a montré au combien vos pieds massés vous maintiennent en bonne santé (grâce à la réflexologie plantaire), au combien il était facile et simple d’avoir des pieds reposés (grâce aux bains de pieds & les recettes Olp données la semaine dernière)… l était donc temps qu’Olp vous donne les moyens d’obtenir des pieds sains, prêts à respirer & à être montré pour cet été…& bien plus ! Alors, tous au gommage de pied !

Olp vous propose un bon gommage de pieds :

– 2 cuillères à soupe de farine d’orge ou d’argile

– 1 cuillère à soupe de farine de pois chiche

– 1/2 cuillère à soupe de poudre de pantes parfumées (achetée toute prette chez votre herboriste préféré ou à fabriquer avec votre mixer en fonction de vos envies…Bois de santal, rose…

Pour l’été, partez du bon pied !

Bain de pieds !

Bain de pieds

Un bain de soleil… C’est de saison au printemps, en été… Mais, un bain de pieds…se fait en toute saison !! C’est le pied de se relaxer, de s’occuper de soi en douceur & en toute simplicité !

& O les pieds est fan des bains de pieds. Pour Olp, pour vous comme pour vos proches, c’est si simple de prendre soin de soi ! Le bain de pied à exécuter pour se faire du bien, sans modération, sans contre indication !

Bain de pied, mode d’emploi :

une bassine

une eau fraîche, tiède, chaude (celle qui vous donne envie, ici & maintenant)

une grosse poignée de sel (de cuisine, marin, d’Epson (mon préféré)

& c’est le pied…

Vous pouvez toujours y ajouter quelques feuilles de menthe, de basilic ou d’autres herbes aromatiques fraîches du jardin… ou encore une goutte d’huile essentielle !

Vous pouvez aussi, vous lancer dans le fabuleux mélange tri-doshiques avec :

Bain de pied complet & plus sophistiqué :

– une goutte de Laurier qui calme Vata & a des propriétés antiseptique

– une goutte d’ Eucalyptus qui booste Pitta & a des propriétés antiseptique, anti-rhumatismal, antiinflammatoire

– une goutte de Gingembre qui stimule Kapha & a des propriétés tonique, stimulante qui élimine les toxines et augmente l’énergie (le Feu, le Yang).