SARS-CoV-2 et bain de bouche

Stop covid avec le bain de bouche !

De nouvelles données en faveur de l’utilisation du bain de bouche contre la transmission du SARS-CoV-2

Une nouvelle étude in vitro démontre une efficacité virucide d’un bain de bouche avec la technologie CPC (chlorure de cétylpyridinium) pour réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %. Cette étude a été réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant, de renommée internationale, Microbac Laboratories, pour le compte d’Unilever Research Laboratories.

  • Les résultats préliminaires de ces essais montrent qu’une utilisation appropriée d’un bain de bouche contenant la technologie CPC pourrait jouer un rôle important en tant que mesure d’hygiène préventive supplémentaire pour réduire la transmission virale de la COVID-19, en plus de prévenir certains problèmes bucco-dentaires, lorsqu’il est utilisé comme indiqué sur l’emballage.
  • Le CPC est déjà largement utilisé dans le milieu médical et est connu pour ses propriétés antivirales.

« Même s’il est évident qu’il ne s’agit ni d’un traitement curatif ni d’un moyen totalement éprouvé de prévenir la transmission du SARS-CoV, les résultats obtenus ici sont très prometteurs. Étant donné le stade critique actuel de la pandémie, nous pensons qu’il est important de les partager afin que les consommateurs soient conscients des avantages potentiels des bains de bouche contenant du CPC, parallèlement aux autres mesures d’hygiène préventives », Glyn Roberts, PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever.

Aujourd’hui, la meilleure façon de se prémunir contre cette maladie qui a causé plus d’un million de décès à travers le monde à ce jour reste les mesures d’hygiène préventives visant à limiter la propagation du SARS-CoV. Comme le rappelle le ministère des Solidarités et de la Santé, il est primordial d’appliquer les mesures barrières suivantes pour limiter la transmission du virus : se laver les mains régulièrement, tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir, se moucher dans un mouchoir à usage unique et se laver les mains après, ne pas serrer les mains et éviter les embrassades, respecter une distance d’au moins 1 mètre avec les autres et enfin porter un masque en public. Les données disponibles à date indiquent que le SARS-CoV semble être principalement transmis par les gouttelettes de salive ou les écoulements nasaux lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue, avant, pendant et après la phase aiguë de la maladie, ainsi que dans les cas asymptomatiques. Par conséquent, réduire la charge virale buccale pourrait permettre de réduire la transmission de la COVID-19.

SARS-CoV-2 présent dans la bouche (Copyright Unilever).

Une nouvelle étude, menée in vitro par l’équipe de Glyn Roberts PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever, et réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant de renommée internationale — Microbac Laboratories — fournit des preuves d’une activité virucide efficace contre le SARS-CoV-2 d’un bain de bouche avec du CPC (chlorure de cétylpyridinium), une molécule aux propriétés antiseptiques présentes dans certains bains de bouche. Comme l’explique Glyn Roberts : « Le bain de bouche, qui contient du CPC à hauteur de 0,07 % et que nous avons testé, réduit de 99,9 % la charge virale du SARS-CoV, le virus responsable de la COVID-19, après 30 secondes de rinçage ».

Les résultats préliminaires de ces essais menés sur le SARS-CoV s’appuient sur des recherches réalisées précédemment par Unilever sur un substitut du virus dont les résultats ont été publiés sur la plateforme bioRxiv, et font suite aux discussions en cours au sein de la communauté médicale et scientifique mondiale sur l’utilisation potentielle d’un bain de bouche contenant du CPC comme mesure complémentaire pour réduire la transmission du virus. Les recherches effectuées sur la durée de l’effet du CPC se poursuivent, mais une étude publiée plus tôt cette année et qui portait sur un petit groupe de patients atteints de la COVID-19 suggère que la charge virale — la quantité de particules virales — pourrait être réduite dans la bouche sur une durée allant jusqu’à 6 heures avec des bains de bouche contenant du CPC.

Ces résultats d’essais préliminaires montrant l’efficacité du CPC contre le SARS-CoV sont parmi les plus avancés et les derniers d’une large série d’études en cours qui ont pour objectifs d’évaluer l’efficacité des bains de bouche contre un certain nombre de virus. Dans les tests effectués par Unilever, seule la technologie CPC a jusqu’à présent donné des résultats positifs et cohérents contre le SARS-CoV.

« Les bains de bouche contenant du CPC, produits par d’autres entreprises, pourraient également avoir un effet positif. Nous partageons ici nos résultats dans un esprit d’ouverture et de collaboration avec la communauté scientifique. Nous encourageons les autres laboratoires à poursuivre leurs recherches sur le rôle que les produits d’hygiène buccale pourraient jouer en tant que mesure préventive complémentaire pendant la pandémie. D’éminents scientifiques ont examiné les données issues des recherches d’Unilever et conviennent qu’il est dans l’intérêt général de partager largement ces résultats » déclare Glyn Roberts.

« La cavité buccale est une zone de forte concentration de SARS-CoV : un millilitre de salive peut contenir jusqu’à un million de particules virales. La désinfection de la bouche par l’utilisation régulière d’un bain de bouche est donc un geste simple, peu contraignant qui peut renforcer la série des gestes barrières recommandés par les autorités de santé.

L’étude in vitro conduite par Unilever est la première à démontrer qu’un bain de bouche contenant du CPC permettrait de réduire la charge virale du SARS-CoV de 99,9 %. D’autres recherches sur la durée de l’effet du CPC suggèrent que la réduction de la charge virale est susceptible d’être durable.

Le CPC est un actif connu depuis plus de 40 ans, largement utilisé en hygiène buccale pour le contrôle de la plaque. Il induit peu de résistances bactériennes lui permettant ainsi d’être globalement bien toléré. De sensation agréable, il permet une utilisation régulière.

Dans le cadre de la pandémie de COVID-19, l’utilisation avant tout soin d’un bain de bouche à base de CPC pourrait donc constituer un nouveau geste barrière qui améliorerait la maitrise de la contamination de la COVID-19 en cabinet dentaire », explique le Pr. Michel Sixou, PU — PH, Professeur en Santé Publique, département d’Épidémiologie et de Prévention (Université Paul Sabatier, Toulouse).

« Dans la transmission d’une infection virale, plusieurs éléments jouent des rôles importants : la quantité de virus émise par la personne infectée et la quantité de virus nécessaire au déclenchement de l’infection y tiennent une place majeure. Ainsi, les résultats obtenus sur le CPC par l’étude conduite par Unilever, selon les normes de référence “ASTM International Standard  suspension protocol” et faisant l ’objet d’une pré-publication, sont particulièrement intéressants. De fait, en réduisant la charge virale présente dans la cavité buccale d’une personne infectée, on peut également espérer diminuer le risque de transmission du virus. Certaines études indiquent également que plus la quantité de virus émise est faible, plus le risque de développer une infection sévère pour la personne contaminée diminue. Les travaux préliminaires présentés par Unilever suggèrent ainsi que des bains de bouche contenant du CPC ajouteraient une sécurité complémentaire, en association avec les gestes barrière. Un des futurs objectifs sera de démontrer la durée d’action de ce type de produit sur la charge virale buccale.

L’utilisation de ces bains de bouche pourrait être particulièrement utile dans toutes les situations où une personne éventuellement infectée ne serait pas en mesure de porter un masque chirurgical ; par exemple pour la réalisation de soins dans la cavité buccale par des professionnels de santé », ajoute le Pr. Vincent Thibault, Chef de service du laboratoire de virologie, CHU de Rennes.

Pour en savoir plus

  • Comment ces essais ont-ils été effectués ? Ces essais ont été menés aux États-Unis par un laboratoire de virologie indépendant de renommée internationale, Microbac Laboratories. Les tests ont été effectués avec un temps de rinçage de 30 et 60secondes, dans le but de reproduire, dans un contexte in vitro, les conditions réelles d’utilisation du bain de bouche.
  • Que montrent les résultats ? Les résultats préliminaires montrent qu’un bain de bouche contenant du CPC permet de réduire la quantité de SARS-CoV-2 de 99,9%, après 30 secondes de rinçage, ce qui correspond au temps d’utilisation classique d’un bain de bouche. Les tests ne suggèrent pas que ce bain de bouche puisse servir de traitement contre la COVID -19, ni qu’il permettra de prévenir la transmission à lui seule. Les mesures barrières (lavage des mains, distanciation sociale et port de masque) recommandées par les autorités de santé doivent être poursuivies.
  • Qu’est-ce que le CPC ? Le chlorure de cétylpyridinium ou CPC est un ingrédient largement utilisé et connu pour ses propriétés antibactériennes et antivirales. Il est d’ores et déjà recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) contre le SARS-CoV-2 dans le cadre de la désinfection et de la stérilisation des établissements de soins de santé.
  • Qu’en est-il de l’alcool présent dans les bains de bouche ? Les bains de bouche contenant de l’alcool (éthanol) en contiennent généralement entre 11 et 14%. Les données à disposition suggèrent qu’à cette concentration et à cette durée d’utilisation du bain de bouche, l’éthanol a peu de chances d’être efficace contre les virus.

UNILEVER

1 Test in vitro tentant de simuler la charge virale dans la bouche.

2 Résultats soumis à un audit final.

3 Résultats soumis à un audit final.

4 Toutes les références aux coronavirus font référence au « SRAS-CoV-2 », la souche virale responsable du Covid-19].

5 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) (Sept. 2020) Mise à jour de la situation de la COVID-19 dans le monde https://www.ecdc.europa.eu/en/geographical-distribution-2019-ncov- cases# : ~ : text=Summary: Since 31 December 2019, reported, including 893 084 deaths.

6 Je limite la transmission du virus en adoptant la bonne conduite à tenir. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_grand_public-2.pdf.

7 Coronavirus. OMS. https://www.who.int/health-topics/coronavirus#tab=tab_1.

8 Fernandes LL, et al. Saliva in the Diagnosis of COVID-19: A Review and New Research Directions. J Dent Res 2020 ; 22034520960070.

9 Wölfel R, et al. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature 2020 ; 581 (7809) : 465-9.

10 Stadnytskyi V, et al. The airborne lifetime of small speech droplets and their potential importance in SARS -CoV-2 transmission Proc NatlAcad Sci U S A. 2020; 117(22):11875-7.

11 Résultats soumis à un audit final.

12 Résultats soumis à un audit final.

13 Résultats soumis à un audit final.

14 Green A, et al. In vitro assessment of the virucidal activity of four mouthwashes containing Cetylpyridinium Chloride, ethanol, zinc and a mix of enzyme and proteins against a human coronavirus. https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.10.28.359257v1.

15 Seneviratne CJ, et al. Efficacy of commercial mouth-rinses on SARS-CoV-2 viral load in saliva : Randomized Control Trial in Singapore (non-Unilever research). https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.14.20186494v1.

Bain de bouche contre Covid

info relayée par Olespiedsbain de bouche et covid

Article bain de bouche contre covid du :
| 04 déc. 2020 | par Unilever | | Partager

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Une nouvelle étude

Parce qu’une nouvelle étude in vitro démontre une efficacité virucide d’un bain de bouche avec la technologie CPC (chlorure de cétylpyridinium) pour réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %.

Cette étude a été réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant, de renommée internationale, Microbac Laboratories, pour le compte d’Unilever Research Laboratories.

Les résultats préliminaires de ces essais montrent qu’une utilisation appropriée d’un bain de bouche contenant la technologie CPC pourrait jouer un rôle important en tant que mesure d’hygiène préventive supplémentaire pour réduire la transmission virale de la COVID-19. En plus de prévenir certains problèmes bucco-dentaires, lorsqu’il est utilisé comme indiqué sur l’emballage.
Le CPC est déjà largement utilisé dans le milieu médical et est connu pour ses propriétés antivirales.

Mise en garde


« Même s’il est évident qu’il ne s’agit ni d’un traitement curatif, ni d’un moyen totalement éprouvé de prévenir la transmission du SARS-CoV-24, les résultats obtenus ici sont très prometteurs. Étant donné le stade critique actuel de la pandémie, nous pensons qu’il est important de les partager afin que les consommateurs soient conscients des avantages potentiels des bains de bouche contenant du CPC. Parallèlement aux autres mesures d’hygiène préventives précise, Glyn Roberts, PhD, Responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever.

Aujourd’hui

Aujourd’hui, la meilleure façon de se prémunir contre cette maladie qui a causé plus d’un million de décès 5 à travers le monde à ce jour reste les mesures d’hygiène préventives visant à limiter la propagation du SARS-CoV-2. Comme le rappelle le ministère des Solidarités et de la Santé. Il est primordial d’appliquer les mesures barrières suivantes pour limiter la transmission du virus : se laver les mains régulièrement, tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir, se moucher dans un mouchoir à usage unique et se laver les mains après, ne pas serrer les mains et éviter les embrassades, respecter une distance d’au moins 1 mètre avec les autres et enfin porter un masque en public. Sans oublier une bonne hygiène de vie, sport, sommeil, alimentation équilibrée & une séance de réflexologie plantaire à O Les Pieds le plus régulièrement et souvent possible 😉

Des données disponibles

Les données disponibles à date indiquent que le SARS-CoV-2 semble être principalement transmis par les gouttelettes de salive ou les écoulements nasaux lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue, avant, pendant et après la phase aiguë de la maladie, ainsi que dans les cas asymptomatiques. Par conséquent, réduire la charge virale buccale pourrait permettre de réduire la transmission de la COVID-19.

Une nouvelle étude, menée in vitro par l’équipe de Glyn Roberts PhD, responsable de la R&D soins bucco-dentaires d’Unilever, et réalisée par un laboratoire de virologie accrédité indépendant de renommée internationale — Microbac Laboratories — fournit des preuves d’une activité virucide efficace contre le SARS-CoV-2 d’un bain de bouche avec du CPC (chlorure de cétylpyridinium). Une molécule aux propriétés antiseptiques présentes dans certains bains de bouche. Comme l’explique Glyn Roberts : « Le bain de bouche, qui contient du CPC à hauteur de 0,07 % et que nous avons testé, réduit de 99,9 % la charge virale du SARS-CoV -2, le virus responsable de la COVID-19, après 30 secondes de rinçage».

Les résultats

Les résultats préliminaires de ces essais menés sur le SARS-CoV-2 s’appuient sur des recherches réalisées précédemment par Unilever sur un substitut du virus dont les résultats ont été publiés sur la plateforme bioRxiv, et font suite aux discussions en cours au sein de la communauté médicale et scientifique mondiale sur l’utilisation potentielle d’un bain de bouche contenant du CPC comme mesure complémentaire pour réduire la transmission du virus. Les recherches effectuées sur la durée de l’effet du CPC se poursuivent, mais une étude publiée plus tôt cette année et qui portait sur un petit groupe de patients atteints de la COVID-19 suggère que la charge virale — la quantité de particules virales — pourrait être réduite dans la bouche sur une durée allant jusqu’à 6 heures avec des bains de bouche contenant du CPC15.

Ces résultats d’essais préliminaires montrant l’efficacité du CPC contre le SARS-CoV-2 sont parmi les plus avancés et les derniers d’une large série d’études en cours qui ont pour objectifs d’évaluer l’efficacité des bains de bouche contre un certain nombre de virus. Dans les tests effectués par Unilever, seule la technologie CPC a jusqu’à présent donné des résultats positifs et cohérents contre le SARS-CoV-2.

La preuve

« Les bains de bouche contenant du CPC, produits par d’autres entreprises, pourraient également avoir un effet positif. Nous partageons ici nos résultats dans un esprit d’ouverture et de collaboration avec la communauté scientifique. Nous encourageons les autres laboratoires à poursuivre leurs recherches sur le rôle que les produits d’hygiène buccale pourraient jouer en tant que mesure préventive complémentaire pendant la pandémie. D’éminents scientifiques ont examiné les données issues des recherches d’Unilever et conviennent qu’il est dans l’intérêt général de partager largement ces résultats » déclare Glyn Roberts.

« La cavité buccale est une zone de forte concentration de SARS-CoV-2 : un millilitre de salive peut contenir jusqu’à un million de particules virales. La désinfection de la bouche par l’utilisation régulière d’un bain de bouche est donc un geste simple, peu contraignant qui peut renforcer la série des gestes barrières recommandés par les autorités de santé.

L’étude in vitro conduite par Unilever est la première à démontrer qu’un bain de bouche contenant du CPC permettrait de réduire la charge virale du SARS-CoV-2 de 99,9 %. D’autres recherches sur la durée de l’effet du CPC suggèrent que la réduction de la charge virale est susceptible d’être durable.

Le CPC

Le CPC est un actif connu depuis plus de 40 ans, largement utilisé en hygiène buccale pour le contrôle de la plaque. Il induit peu de résistances bactériennes lui permettant ainsi d’être globalement bien toléré. De sensation agréable, il permet une utilisation régulière.

Dans le cadre de la pandémie de COVID-19, l’utilisation avant tout soin d’un bain de bouche à base de CPC pourrait donc constituer un nouveau geste barrière qui améliorerait la maitrise de la contamination de la COVID-19 en cabinet dentaire », explique le Pr. Michel Sixou, PU — PH, Professeur en Santé Publique, département d’Épidémiologie et de Prévention (Université Paul Sabatier, Toulouse).

L’explication

« Dans la transmission d’une infection virale, plusieurs éléments jouent des rôles importants : la quantité de virus émise par la personne infectée et la quantité de virus nécessaire au déclenchement de l’infection y tiennent une place majeure. Ainsi, les résultats obtenus sur le CPC par l’étude conduite par Unilever, selon les normes de référence “ASTM International Standard E1052-20 suspension protocole” et faisant l ’objet d’une pré-publication, sont particulièrement intéressants.

De fait, en réduisant la charge virale présente dans la cavité buccale d’une personne infectée, on peut également espérer diminuer le risque de transmission du virus.

Certaines études indiquent également que plus la quantité de virus émise est faible, plus le risque de développer une infection sévère pour la personne contaminée diminue.

Les travaux préliminaires présentés par Unilever suggèrent ainsi que des bains de bouche contenant du CPC ajouteraient une sécurité complémentaire, en association avec les gestes barrière.

Un des futurs objectifs sera de démontrer la durée d’action de ce type de produit sur la charge virale buccale.

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Bain de bouche contre covid

L’utilisation de ces bains de bouche pourrait être particulièrement utile dans toutes les situations où une personne éventuellement infectée ne serait pas en mesure de porter un masque chirurgical ; par exemple pour la réalisation de soins dans la cavité buccale par des professionnels de santé », ajoute le Pr. Vincent Thibault, Chef de service du laboratoire de virologie, CHU de Rennes.

Comment ces essais ont-ils été effectués ?

Ces essais ont été menés aux États-Unis par un laboratoire de virologie indépendant de renommée internationale, Microbac Laboratories. Les tests ont été effectués avec un temps de rinçage de 30 et 60secondes, dans le but de reproduire, dans un contexte in vitro, les conditions réelles d’utilisation du bain de bouche.


Que montrent les résultats ?

Les résultats préliminaires montrent qu’un bain de bouche contenant du CPC permet de réduire la quantité de SARS-CoV-2 de 99,9%, après 30 secondes de rinçage, ce qui correspond au temps d’utilisation classique d’un bain de bouche. Les tests ne suggèrent pas que ce bain de bouche puisse servir de traitement contre la COVID -19, ni qu’il permettra de prévenir la transmission à lui seule. Les mesures barrières (lavage des mains, distanciation sociale et port de masque) recommandées par les autorités de santé doivent être poursuivies.


Qu’est-ce que le CPC ?

Le chlorure de cétylpyridinium ou CPC est un ingrédient largement utilisé et connu pour ses propriétés antibactériennes et antivirales. Il est d’ores et déjà recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) contre le SARS-CoV-2 dans le cadre de la désinfection et de la stérilisation des établissements de soins de santé16.


Qu’en est-il de l’alcool présent dans les bains de bouche ?

Les bains de bouche contenant de l’alcool (éthanol) en contiennent généralement entre 11 et 14%. Les données à disposition suggèrent qu’à cette concentration et à cette durée d’utilisation du bain de bouche, l’éthanol a peu de chances d’être efficace contre les virus17.
UNILEVER

Les sources

1 Test in vitro tentant de simuler la charge virale dans la bouche.

2 Résultats soumis à un audit final.

3 Résultats soumis à un audit final.

4 Toutes les références aux coronavirus font référence au « SRAS-CoV-2 », la souche virale responsable du Covid-19].

5 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) (Sept. 2020) Mise à jour de la situation de la COVID-19 dans le monde https://www.ecdc.europa.eu/en/geographical-distribution-2019-ncov- cases# : ~ : text=Summary: Since 31 December 2019, reported, including 893 084 deaths.

6 Je limite la transmission du virus en adoptant la bonne conduite à tenir. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_grand_public-2.pdf.

7 Coronavirus. OMS. https://www.who.int/health-topics/coronavirus#tab=tab_1.

8 Fernandes LL, et al. Saliva in the Diagnosis of COVID-19: A Review and New Research Directions. J Dent Res 2020 ; 22034520960070.

9 Wölfel R, et al. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature 2020 ; 581 (7809) : 465-9.

10 Stadnytskyi V, et al. The airborne lifetime of small speech droplets and their potential importance in SARS -CoV-2 transmission Proc NatlAcad Sci U S A. 2020; 117(22):11875-7.

11 Résultats soumis à un audit final.

12 Résultats soumis à un audit final.

13 Résultats soumis à un audit final.

14 Green A, et al. In vitro assessment of the virucidal activity of four mouthwashes containing Cetylpyridinium Chloride, ethanol, zinc and a mix of enzyme and proteins against a human coronavirus. https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.10.28.359257v1.

15 Seneviratne CJ, et al. Efficacy of commercial mouth-rinses on SARS-CoV-2 viral load in saliva : Randomized Control Trial in Singapore (non-Unilever research). https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.14.20186494v1.

& surtout, prenez bien soin de vous en faisant appel à la réflexologie plantaire Olespieds 😉

http://olespieds.fr/

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18 avenue du professeur Grasset… Le nouveau cabinet en centre ville à Montpellier ! OLP

carte de situation de O Les Pieds en centre ville

Osez aller au 18 avenue professeur Grasset et entrer dans l’univers bienveillant d’ O les pieds !

Contactez-nous facilement pour une séance au 18 avenue professeur Grasset :

  • Par téléphone au +33 06 01 95 91 52

Virginie Delolme-Forest – Reflexologue – O les Pieds – 18 AV. Professeur Grasset – Montpellier

(Maison transformée en cabinet-Entrée sur cour Rue Pierre Adhémar)

34090 Montpellier

Logo O les pieds
Carte de visite O les pieds réflexologie plantaire en cabinet à Montpellier

(voir sur une carte Cabinet de réflexologie Ô Les Pieds)

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Comment marche le Brain Gym ?

BIENFAITS DU BRAIN GYM

Le Brain Gym est l’apprentissage par le mouvement des yeux jusqu’aux orteils en passant par le cerveau droit et le cerveau gauche. C’est un programme de stimulation de l’apprentissage basé sur le mouvement et le jeu.

Le Brain Gym permet d’améliorer la lecture, l’écriture, les maths, la logique, la mémorisation, l’adaptation, la concentration, l’organisation, la participation, la communication, l’écoute, la compréhension mais aussi de retrouver sa sécurité intérieure ou aider à préparer un examen…

En utilisant des mouvements issus des 26 activités du Brain Gym (vu, appris, personnalisé en séance avec Ô les pieds) à la maison mais aussi en classe, à la fac, au bureau… De façon autonome avant les devoirs, les leçons, les cours, les examens, les routines de début de journée…

Chaque séance est individuelle adaptée aux besoins spécifiques de chacun. Mais, Ô les pieds est en mesure d’intervenir, sur devis, auprès d’un groupe pour des enseignants, orthophonistes, parents, adolescents, étudiants…

L’apprentissage n’est pas uniquement une faculté intellectuelle. Le mouvement libère l’accès au potentiel de chacun tout en soulageant le stress pour se préparer à apprendre.

« Le mouvement est la clé de l’apprentissage »Paul Dennison, fondateur du Brain Gym.

Une solution adaptée pour mieux s’adapter, voilà ce que le Brai Gym propose. N’attendez pas pour mieux vous connaître et offrez-vous cette opportunité avec Ô les pieds ! Contactez-nous pour prendre rendez-vous ici.

T.F.H. Quid ?

T.F.H. qu’est-ce-que c’est ?

T.F.H. signifie Touch For Health traduit en français par « Touché Par la Santé ».

Cette technique est manuelle, douce, venant des États-Unis. Elle aide l’organisme à retrouver ses pleines capacités. Le soin, s’effectue sur l’ensemble de l’organisme. La personne reste habillée et est considérée dans sa globalité.

Sa vocation est d’aider le corps à évacuer tous les traumatismes présents et passés. En effet, l corps doit lutter au quotidien contre les agressions de toutes natures et de différentes intensités. Ces agressions proviennent de l’extérieur  tel que les virus, toxines, chocs physiques, émotionnels. Ou elles peuvent venir également de l’intérieur telle qu’une faiblesse d’un organe, sa fatigue. Ce qu’il faut savoir, c’est que l’organisme s’auto-répare et ce, la majorité du temps. Cependant, si ces atteintes ne sont pas identifiées ou trop fortes, le corps ne peut plus réagir efficacement. L’agression laisse alors une cicatrice dans les tissus comme un mémoire de l’évènement. C’est ainsi que peut arriver une douleur, une fatigue excessive, une allergie, des troubles émotionnels, voire le développement d’une maladie. Car, le corps trop affaibli ne pourra plus lutter. Acculer, il ne sera plus en mesure d’éliminer naturellement ces mémoires. Grâce au T.F.H. il est possible pour l’organisme de se libérer et stimuler ses capacités perdues même les plus anciennes.

Une séance de T.F.H. et après ?

Le T.F.H. a un but autant préventif que curatif. Une séance dure environ 45 minutes. Tout travail entamé lors d’une séance d’auto-réparation va créé une immunité, une réaction tel un virus ciblé face au vaccin adapté. Ce sera le même procédé pour cicatriser la plaie, calcifier la fracture. Ce travail peut donc occasionner une certaine fatigue. Il est donc préférable de boire de l’eau et éviter toute dépense physique excessive les heures suivants la séance. Il a été observé que trois séances sur un thème, une problématique permettaient de la corriger. Et que l’espace entre chaque séance devait respecter trois semaines pour permettre au corps d’intégrer les modifications, l’évolution proposée d’une séance à l’autre. Pour les troubles chroniques, un suivi, sans contre indication, peut-être envisagé. Pour un effet préventif et durable, une séance annuelle est préconisée.

Le T.F.H. pour quel usage ?

Le T.F.H. ne fait pas partie des actes remboursables par la sécurité sociale. Mais elle est prise en charge par certaines mutuelles.

Les séances peuvent venir en aide sur les troubles du dos, de la nuque, des problèmes gastriques, digestifs, des douleurs articulaires ou tendineuses et aussi des angoisses, des anxiétés, des migraines, des troubles du sommeil et de la concentration… Les effets de cette technique sont reconnues. Alors, à vous d’en profiter !